Nanoparticules d’origine végétale : une tendance écologique pour le contrôle des moustiques
Le contrôle des vecteurs de transmission de maladies épidémiques comme la malaria, la filariose et la dengue est très important. Les insecticides fabriqués de produits naturels comme ceux avec des nanoparticules d’argent, d’or ou de silicium deviennent une priorité dans ce champ de recherche. Mais la bioactivité de ces composés n’est pas toujours bien comprise. Une plus grande place aux investissements dans ce secteur serait à considérer.
Une lettre de chercheurs du Bengale à l’éditeur du Asian Pacific Journal of Tropical Disease mentionne quelques exemples de réussite en ce domaine notamment l’utilisation de NP d’argent (35-60 nm) produites dans la plante herbacée à larges feuilles plates Mahakanni (Eclipta prostrata) pour contrôler le moustique (Culex quinquefasciatus), vecteur de diverses maladies dont le virus du Nil occidental et du paludisme aviaire.
Une lettre de chercheurs du Bengale à l’éditeur du Asian Pacific Journal of Tropical Disease mentionne quelques exemples de réussite en ce domaine notamment l’utilisation de NP d’argent (35-60 nm) produites dans la plante herbacée à larges feuilles plates Mahakanni (Eclipta prostrata) pour contrôler le moustique (Culex quinquefasciatus), vecteur de diverses maladies dont le virus du Nil occidental et du paludisme aviaire.