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Pépinières ornementales, Avertissement No 11, 7 juillet 2025

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07 juillet 2025
Émergence du scarabée japonais adulte.   SCARABÉE JAPONAIS    Scarabée japonais adulte et ses dommages dans la vigne Photo : IQDHO Les premiers scarabées japonais (Popillia japonica) adultes ont été aperçus en Montérégie ces derniers jours. Pour le moment, aucun dommage important n’a été rapporté en pépinière, mais une attention particulière peut maintenant être portée à cet insecte lors du dépistage. Le scarabée japonais est un coléoptère cuivré, au thorax vert métallique, mesurant entre 9 et 11 mm de long. Au stade adulte, il se nourrit du feuillage et des fleurs de nombreux végétaux ligneux tels que le tilleul, les rosiers et la vigne, ou encore de plantes herbacées. Les scarabées japonais peuvent complètement défolier les plants en ne laissant qu'un feuillage squelettisé. Ils sont notamment attirés par les tilleuls (Tilia spp.), les ormes (Ulmus spp.) et les vignes (Vitis spp.). Si le dépistage le justifie, des traitements phytosanitaires peuvent être requis pour limiter les dommages esthétiques pouvant nuire aux ventes des végétaux. Les végétaux qui ne sont pas commercialisés lors des prochaines semaines (ex : arbres en champs) tolèrent la défoliation causée par cet insecte et produiront du nouveau feuillage sans intervention phytosanitaire. En juillet, seuls les adultes seront susceptibles d’être contrôlés par les insecticides foliaires biologiques ou conventionnels. Plus tard, en août, il sera possible d’intervenir contre les jeunes larves (au sol) en utilisant, par exemple, le nématode entomopathogène Heterorhabditis bacteriophora.   Fiche technique Scarabée japonais     Toute intervention de contrôle d’un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique, physique et chimique). Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) préconise la gestion intégrée des ennemis Lire la suite
Pépinières ornementales, Avertissement No 10, 2 juillet 2025
02 juillet 2025
Émergence de l’altise à tête rouge adulte. Autres observations : pucerons à galle de l’épinette. Suivi du tétranyque de l’épinette dans le thuya.   ALTISE À TÊTE ROUGE   Altise à tête rouge adulte Photo : IQDHO Cette semaine, les toutes premières altises à tête rouge (Systena frontalis) adultes ont été aperçues dans des arbustes cultivés en contenants. La surveillance est recommandée.   Ces coléoptères mesurent entre 4 et 6 mm, et sont de couleur foncée avec la tête rougeâtre. Plusieurs végétaux peuvent être affectés, dont Weigela spp., Hydrangea spp., Cornus spp. et Physocarpus spp. Ceux-ci peuvent également servir de plantes indicatrices pour le dépistage. Les altises à tête rouge font des trous arrondis caractéristiques dans le feuillage.   Actuellement, les traitements contre les larves à l’aide des nématodes peuvent encore être effectués. En effet, des larves sont toujours présentes dans le sol durant les premières semaines suivant l’apparition des premiers adultes. Des traitements phytosanitaires foliaires peuvent être requis peu de temps après l'observation des premiers dommages. Comme l'altise à tête rouge a tendance à demeurer sur les plantes dont elle se nourrit, on peut se limiter à traiter ces espèces. Choisir des insecticides à risques réduits : des produits à base de spinosad (SUCCESS, ENTRUST) sont efficaces et sont homologués en pépinière contre les chrysomélidés, incluant les altises. Fiche technique Altise à tête rouge AUTRES OBSERVATIONS   Des galles de pucerons gallicoles (probablement Adelges abietis) ont été observées dans l’épinette (Picea sp.) ces dernières semaines. Ces excroissances en forme d’ananas sont des bourgeons d’épinette infestés abritant des larves. La seule intervention praticable à cette période de l’année est la taille des branches portant des galles et leur destruction. En août, quand les galles ouvrent pour libérer les pucerons, il est possible d’appliquer un insecticide homologué sur ces insectes, qui Lire la suite
Pépinières ornementales, Avertissement No 9, 25 juin 2025
25 juin 2025
Stades vulnérables de la lécanie de Fletcher. Tétranyque à deux points. Autres observations : mildiou dans quelques espèces.   LÉCANIE DE FLETCHER   Coquille d'une femelle de lécanie de Fletcher et ses oeufs blancs Photo : IQDHO Nos collaborateurs ont observé l’éclosion des œufs de la lécanie de Fletcher (Parthenolecanium fletcheri) dans certains lots de Thuja sp. De plus, certaines livraisons de Taxus sp. ont été reçues avec des populations de lécanies femelles recouvrant des œufs la semaine dernière. Lorsque les larves de premier stade ne sont plus protégées par la carapace de la femelle, elles sont plus vulnérables aux traitements phytosanitaires. En plus de certains produits conventionnels, des huiles sont homologuées pour une pulvérisation d’été sur le thuya, comme SUFFOIL-X (huile minérale) et VEGOL (huile de canola). Les traitements contre la lécanie en cours de saison sont toutefois moins efficaces qu’une application d’huile durant la période de dormance au printemps. Au besoin, vérifier l’étiquette pour choisir une huile permise en période de croissance et sur les conifères. Si des acariens prédateurs naturels contrôlent d’autres ravageurs du thuya, comme le tétranyque de l’épinette, l’application d’huile leur sera néfaste. Fiche technique Lécanie de Fletcher TÉTRANYQUE À DEUX POINTS   Tétranyque à deux points  Photo : IQDHO Nos collaborateurs rapportent la présence de tétranyques à deux points (Tetranychus urticae) dans les plantes vivaces et les arbustes. Pour l’instant, les populations ne sont pas très élevées. Vérifier la présence de prédateurs indigènes dans les foyers de tétranyques; ils peuvent faire un contrôle suffisant et adéquat. Il est possible de contrôler les tétranyques à deux points en pépinière à l’aide de prédateurs (Phytoseiulus persimilis et autres) en commençant les introductions en début d’infestation. Si le dépistage le justifie, employer des acaricides en priorisant ceux à faible risque sur la santé Lire la suite
Pépinières ornementales, Avertissement No 8, 18 juin 2025
18 juin 2025
Dommages de brûlure bactérienne dans les pommiers. Mineuses du thuya. Petit perceur du pêcher.     DOMMAGES DE BRÛLURE BACTÉRIENNE DANS LES POMMIERS   Symptômes de la brûlure bactérienne des rosacées sur un rameau de pommier Photo : IQDHO Les symptômes de brûlure bactérienne des rosacées (Erwinia amylovora) sont apparus sur des branches de pommiers et de pommetiers (Malus sp.) dans certaines régions.   Généralement, l’infection a lieu durant la floraison et la bactérie progresse à travers les tiges, vers les branches. Ces rameaux ont commencé à faner et à se recourber comme une canne. Des lésions (stries) de couleur rouge-brun à l’aspect humide et brillant peuvent aussi être visibles sur les arbres affectés. Il peut y avoir présence d’exsudat bactérien de couleur blanc laiteux à brune. Il est important d’intervenir dès les premiers symptômes, afin d’éviter que la maladie se propage. Il est recommandé de tailler au moins 30 cm sous la zone où les symptômes sont visibles, ce qui équivaut bien souvent à la destruction des jeunes plants atteints en pépinière. Il faut également brûler le bois à éliminer pour ne pas contaminer d’autres arbres. Fiche technique Brûlure bactérienne des rosacées   MINEUSES DU THUYA   Papillons de mineuses du thuya Photo : IQDHO Des adultes de mineuses du thuya (Argyresthia spp. – différentes espèces) ont été observés en grand nombre dans des thuyas, notamment dans les régions de Chaudière-Appalaches et de la Montérégie.   Ces papillons de nuit sont de couleur crème avec des taches noires, brunes ou beiges. Ils mesurent de 1 à 5 mm. On les reconnaît à leur vol malhabile : ils se déplacent de haut en bas. Ces adultes pondent sur les feuilles de thuya; les larves qui vont en éclore y creuseront des galeries. Les ramilles jaunissent et peuvent tomber. La majorité des infestations ne causent pas de dommages importants, mais des infestations répétées peuvent faire dépérir un plant. Seulement si Lire la suite
Pépinières ornementales, Avertissement No 7, 10 juin 2025
10 juin 2025
Lutte aux larves d’altise à tête rouge. Anthracnose des graminées. Anthracnose des plantes ligneuses. Suivi des punaises dans le thuya. Autres observations : mineuses du thuya.   LUTTE AUX LARVES D’ALTISE À TÊTE ROUGE   Les altises à tête rouge (ATR) (Systena frontalis) sont présentes au stade larvaire dans le terreau de plants de plus d'un an, cultivés en contenants, en pépinière. On peut restreindre le nombre de plants à traiter en ne ciblant que les espèces les plus attractives pour cette altise. Le bon moment pour appliquer les nématodes débute à 335 degrés-jours*, qui devraient être atteints le 15 juin prochain dans les régions les plus chaudes du Québec. À 427 degrés-jours, soit 9 à 10 jours plus tard, la fenêtre idéale pour un traitement se referme. Il est donc préférable de s’y prendre tôt, afin de profiter des jours nuageux essentiels au succès de l’application.   Fiche technique Culture en pots : lutte contre l’altise à tête rouge à l’aide de nématodes *degrés-jours (DJ) en base 10 °C cumulés à partir du 1er mars avec la méthode de calcul sinus simple   Courbe du modèle de l'altise à tête rouge pour différentes régions du Québec - Cliquer pour agrandir   ANTHRACNOSE DES GRAMINÉES   Anthracnose des graminées sur Calamagrostis Photo : IQDHO Les symptômes de l’anthracnose des graminées (Colletotrichum spp.) ont été observés dans une production de Calamagrostis sp. Des taches foliaires, d’abord petites et d’aspect huileux, qui s’allongent et brunissent, sont visibles sur le feuillage. La température chaude et l’humidité (26 °C, humidité relative près de 100 %) sont des conditions favorables à la propagation de la maladie. Le Calamagrostis sp. est l’espèce la plus sensible, mais le Miscanthus sp., le Panicum sp. et d’autres graminées ornementales sont aussi vulnérables à l’anthracnose des graminées. Tailler le feuillage gravement atteint et désinfectez les outils de taille. Espacer les Lire la suite
Pépinières ornementales, Avertissement No 6, 3 juin 2025
03 juin 2025
Blanc. Tétranyque de l’épinette dans le thuya, taches bactériennes. Autres observations : mildiou, galéruque de la viorne, moisissure grise de la pivoine, chrysomèle de la salicaire.   BLANC (OÏDIUM)   Symptômes d'oïdium sur un Quercus sp. Photo : IQDHO Le blanc a été vu, notamment dans les amélanchiers (Amelanchier sp.), les physocarpes (Physocarpus sp.) et dans le chêne anglais (Quercus robur), dans les secteurs de la Montérégie et de l’Estrie. Différents microorganismes apparentés provoquent la maladie du blanc chez une grande diversité d’hôtes. On voit apparaître un duvet blanc à la face supérieure des feuilles. Les fortes infections peuvent provoquer la chute prématurée des feuilles. En plus des hôtes déjà mentionnés, surveillez les fusains (Euonymus spp.), les rosiers (Rosa spp.), les pommiers (Malus spp.), les cerisiers (Prunus spp.), les hydrangées (Hydrangea spp.) et autres. Plusieurs vivaces peuvent également développer la maladie, comme les espèces de Sedum, de Monarda, d'Aquilegia et de Phlox. Il peut être difficile de contrôler la maladie lorsque l’infection est importante; il est recommandé d'effectuer des traitements préventifs sur les espèces reconnues comme sensibles, par exemple avec des biofongicides homologués. Favoriser la circulation d’air entre les plants. Des fongicides curatifs sont homologués, mais il est plus facile de contrôler la maladie en début d’infection. Fiche technique Blanc TÉTRANYQUE DE L’ÉPINETTE DANS LE THUYA   Tétranyque de l'épinette Photo : IQDHO Le tétranyque de l’épinette (Oligonychus ununguis) est présent dans certaines cédrières de la Montérégie et de l’Estrie. Aucun dommage important n’a été observé pour le moment. Un suivi est recommandé dans les cultures de thuyas. Les dommages débutent sur le vieux feuillage : les aiguilles et les rameaux deviennent grisâtres et prennent une apparence poussiéreuse. Un projet de recherche a permis d’observer qu’il n’y avait aucun dommage visible lorsque moins de 50 à 75 Lire la suite
30 mai 2025
Lutte aux mauvaises herbes au printemps
29 mai 2025
Traitements préventifs contre différentes maladies foliaires des plantes ligneuses
Pépinières ornementales, Avertissement No 5, 27 mai 2025
27 mai 2025
Punaises dans le thuya. Autres observations : tache noire du rosier, cicadelle de la pomme de terre, criblure, alternariose dans le Hosta, brûlure bactérienne des rosacées. PUNAISES DANS LE THUYA   Larve de Dichrooscytus repletus Photo : IQDHO Des larves de punaises mirides du genre Dichrooscytus sp. ont été observées dans des Thuja occidentalis dans les régions de l’Outaouais, de Lanaudière, du Centre-du-Québec et de l’Estrie. Les populations étaient localisées par foyers et il n’y a pas de dommages rapportés. Dans le thuya, ce genre de punaise semble produire des dommages similaires à ceux de la punaise terne. Le suivi des populations est recommandé. L’apparition de dommages ou d’une grande quantité de punaises pourrait justifier une intervention à l’aide d’insecticides homologués. Revue de littérature Caractérisation de trois espèces de punaise présentes dans les thuyas ornementaux en champ  Fiche technique Punaise terne   AUTRES OBSERVATIONS Des symptômes de la tache noire du rosier (Diplocarpon rosa) ont été observés sur les cultivars les plus sensibles en Estrie et dans Lanaudière. Les taches noires sont entourées d’une auréole jaune. Dans plusieurs cas, il est encore temps d’appliquer des biofongicides à action préventive. La semaine dernière, nous vous informions de la capture de spécimens de cicadelles. L’identification en laboratoire a confirmé qu’il s’agissait de la cicadelle de la pomme de terre (Empoasca fabae). Le dépistage est recommandé dans les espèces sensibles en production. Revoir l’avertissement N° 3 du 21 mai 2025. Des taches foliaires de criblure (Blumeriella jaapii) ont été observées sur des cerisiers en Estrie, en Montérégie et dans le Centre-du-Québec. Les taches de couleur pourpres vont évoluer et créer des trous dans les feuilles. Éviter les éclaboussures d’eau sur le feuillage pour prévenir la dispersion de la maladie. Éliminer les feuilles mortes au sol en fin de saison. Privilégier Lire la suite
Pépinières ornementales, Avertissement No 4, 26 mai 2025
26 mai 2025
APPLICATION DE NÉMATODES ENTOMOPATHOGÈNES CONTRE L’ALTISE À TÊTE ROUGE EN CONTENANTS   Chaque été, l’altise à tête rouge (Systena frontalis) cause d'importants dommages en criblant les feuilles de plusieurs végétaux en pépinière. Il est possible de réduire l’émergence des altises adultes lorsqu’elles sont au stade larvaire en appliquant des nématodes entomopathogènes (Heterorhabditis bacteriophora) au sol. Les nématodes seraient plus efficaces contre le dernier stade larvaire de l’insecte, qui est atteint autour de la mi-juin en Montérégie. Commandez-les maintenant! Les nématodes sont distribués par la plupart des fournisseurs en lutte biologique. En général, un délai de deux semaines est à prévoir pour les recevoir. La durée d’entreposage étant limitée, il faut donc planifier la commande afin de les utiliser le plus frais possible. Les principaux produits commerciaux suivants contiennent le nématode H. bacteriophora : BIOHB (Biobee, distribué par Anatis bioprotection et Groupe horticole Ledoux); Heterorhabditis bacteriophora (distribué par Plant Products); LARVANEM (Koppert); NEMATODE HB (AEF Global, aussi distribué par Royal Brinkman). Plusieurs autres petits formats contenant H. bacteriophora sont disponibles sous d’autres noms commerciaux pour la vente au détail.   Altises à tête rouge et leurs dommages sur des feuilles de Weigela sp. Photo : IQDHO Larve d'altise à tête rouge dans le substrat d'un pot de Weigela sp. Photo : IQDHO Efficacité Dans un projet de recherche, l’IQDHO a observé 94 % de réduction de la population d’altises à tête rouge avec une application des nématodes Heterorhabditis bacteriophora sur le substrat des pots avant l’émergence des adultes. Notons que même si ces essais ont démontré des résultats de contrôle inférieurs (81%), les nématodes Steinernema carpocapsae permettent une réduction appréciable des larves de l'altise à tête rouge. En pépinière, ces altises pondent presque essentiellement Lire la suite
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