Effet du délai de destruction d’un précédent de culture de couverture de radis, d’avoine et de pois sur l’équivalent en azote minéral du maïs-grain
Ce projet visait à bonifier les connaissances appliquées à propos des cultures de couverture (CC) afin de valoriser leur utilisation et améliorer leur gestion. Dans le cadre de ce projet, les CC sont étudiées principalement comme source d’azote (N) pour la culture suivante de maïs grain, apport qui varie selon les mélanges utilisés et les périodes (ou l’absence) d’incorporation. Différents outils d’estimation d’apports en N ont ainsi été étudiés.
Pendant la saison 2019, deux parcelles ont été mises en place chez des agriculteurs (site A et site B) de la Montérégie. Après la récolte de la céréale, une application de lisier a été effectuée. Deux mélanges de CC ont été faits; soit avec ou sans une espèce légumineuse. Une partie du champ du projet est désignée comme zone témoin, donc sans semence de CC. Les parties semées ont été séparées en deux pour comparer deux moments d’incorporation des CC dans les sols; à l’automne et au printemps. Par contre, dans un des cas (site B), les CC n’ont pu être incorporées à l’automne en raison des conditions climatiques et de récoltes difficiles de la saison 2019. En effet, puisque les récoltes se sont terminées très tardivement et que la neige, puis le gel se sont installés rapidement, le producteur du site B n’a pas été en mesure d’incorporer les CC, car le sol était gelé. Puisque les cultures n’avaient que très peu poussé avant le gel et que leur apport en azote aurait été négligeable, il a été décidé de ne pas poursuivre le projet sur ce site.
Il avait été prévu de réimplanter des zones de cultures de couverture chez le producteur du site B en 2020, mais encore une fois, la récolte a été tardive, puis les conditions étaient trop mouillées et la date de semis était rendue trop avancée pour que les cultures aient le temps de produire suffisamment de biomasse avant l’hiver. Le site a donc été abandonné de nouveau. Deux nouveaux sites (site C et D) ont par contre été implantés, où suite à la récolte de la céréale ou de la prairie, deux mélanges de CC ont été semés dans, et une zone témoin a été conservée, et ce, en répliquant le schéma 3 fois.
Pendant la saison 2019, deux parcelles ont été mises en place chez des agriculteurs (site A et site B) de la Montérégie. Après la récolte de la céréale, une application de lisier a été effectuée. Deux mélanges de CC ont été faits; soit avec ou sans une espèce légumineuse. Une partie du champ du projet est désignée comme zone témoin, donc sans semence de CC. Les parties semées ont été séparées en deux pour comparer deux moments d’incorporation des CC dans les sols; à l’automne et au printemps. Par contre, dans un des cas (site B), les CC n’ont pu être incorporées à l’automne en raison des conditions climatiques et de récoltes difficiles de la saison 2019. En effet, puisque les récoltes se sont terminées très tardivement et que la neige, puis le gel se sont installés rapidement, le producteur du site B n’a pas été en mesure d’incorporer les CC, car le sol était gelé. Puisque les cultures n’avaient que très peu poussé avant le gel et que leur apport en azote aurait été négligeable, il a été décidé de ne pas poursuivre le projet sur ce site.
Il avait été prévu de réimplanter des zones de cultures de couverture chez le producteur du site B en 2020, mais encore une fois, la récolte a été tardive, puis les conditions étaient trop mouillées et la date de semis était rendue trop avancée pour que les cultures aient le temps de produire suffisamment de biomasse avant l’hiver. Le site a donc été abandonné de nouveau. Deux nouveaux sites (site C et D) ont par contre été implantés, où suite à la récolte de la céréale ou de la prairie, deux mélanges de CC ont été semés dans, et une zone témoin a été conservée, et ce, en répliquant le schéma 3 fois.
