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On devrait penser à une surface enherbée comme à une communauté, un écosystème composé de plantes, d’animaux et de sols qui dépendent tous les uns des autres. Un bon pâturage profite à ces trois composantes. / Le fait qu’un animal pâture n’est en soi ni bon ni mauvais. Après tout, l’animal cherche simplement à satisfaire son appétit. C’est la manière de pâturer qui peut être soit bénéfique, soit nuisible pour les plantes, le sol ou les animaux. La croissance des plantes et leur contenu nutritif changent à mesure que la saison avance. Aussi, le producteur doit-il gérer le pâturage de manière à répondre à tous les besoins – ceux des plantes comme ceux des animaux. Pour aider à saisir les principes du pâturage, je les ai répartis en quatre catégories : la croissance des plantes, le pâturage, le caractère nutritif et la gestion.
Organisation : Bovins du Québec, Avril-mai 2004
Auteur(s) : Jim Bauer
Date de publication : 17 novembre 2005