Étude de la teneur en sélénium du sang, du muscle...
Le sélénium est reconnu comme élément essentiel depuis 1957. Il a été identifié comme facteur de prévention de la dégénérescence du foie chez le rat. L’année suivante, on l’identifiait comme facteur de prévention de la dystrophie musculaire chez le veau (Muth 1958). Par la suite, on s’intéressa à son mécanisme d’action dans l’organisme, particulièrement au niveau cellulaire. Au début des années 70, on s’attarda à vérifier la teneur en sélénium des sols et des plantes. Plusieurs régions ont été identifiées pour leurs caractéristiques en sélénium. Il est présent dans tous les sols mais sa teneur est très variable. C’est ainsi que, dans toute la partie Est du Canada, les sols et les plantes sont très pauvres en sélénium.