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23 avril 2024
Traitements en période de dormance. Inspection des végétaux en début de saison. TRAITEMENTS EN PÉRIODE DE DORMANCE Dans les régions les plus chaudes du Québec, on a débuté les applications de traitements en période de dormance, soit l’emploi de CHAUX SOUFRÉE et/ou d’huile de dormance. Ces interventions
permettent de limiter le développement de certains acariens et insectes, et potentiellement, de diminuer le nombre de pulvérisations d’insecticides plus tard en saison. Certaines précautions sont à prendre pour prévenir la phytotoxicité. Par exemple, s’assurer d’appliquer avant le débourrement des bourgeons, et lorsque la température est au-dessus de 4 °C. Le document suivant fait le rappel des bonnes méthodes pour ces applications : Traitements en période de dormance. INSPECTION DES VÉGÉTAUX EN DÉBUT DE SAISON Symptômes d'Agrobacterium tumefasciens sur un Syringa sp. Photo : IQDHO Nos collaborateurs nous ont rapporté la présence de tumeurs du collet fort probablement provoquées par Agrobacterium tumefasciens, sur des arrivages de plantes ligneuses, notamment des poiriers (Pyrus sp.). La vigilance est de mise afin de repérer tout problème phytosanitaire sur des plantes livrées en pépinière. C’est aussi un bon moment pour inspecter les végétaux ligneux ayant hiverné en pépinière ou en entrepôt. Puisqu’il n’y a pas encore de feuilles, il est plus facile de repérer les chancres sur l’écorce et intervenir, s'il y a lieu. Il faut tailler dans la partie saine, à 15 cm ou plus sous la plaie. Après chaque coupe, pour aseptiser l'outil, un désinfectant approprié doit être utilisé en suivant le mode d’emploi, par exemple en ce qui a trait au temps de trempage. Fiche technique : Les chancres : à surveiller dès le début de la saison POUR PLUS D’INFORMATION Bulletin d’information N° 3 du 20 avril 2023, Les pesticides et biopesticides homologués en pépinières ornementales Le
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18 avril 2024
Cette fiche porte sur certains éléments importants à prendre en compte avant d’installer un système de captage de l’eau pluviale sur un bâtiment d’élevage ou une serre. Elle s’adresse aux producteurs agricoles et aux conseillers en agroenvironnement intéressés par la préparation d’un projet d’approvisionnement en eau. Elle
contient des informations utiles sur les thèmes suivants : 1. Les avantages du captage de l’eau pluviale 2. Les usages possibles et la qualité d’eau nécessaire 3. La réglementation, les normes et les recommandations applicables 4. Les principaux éléments du système de captage de l’eau pluviale 5. La pluviométrie et le potentiel de captage 6. L’établissement du besoin en eau et du bilan de stockage 7. Les équipements de collecte et le détournement initial de l’eau 8. La préfiltration 9. L’entreposage de l’eau brute 10. Le système de pompage 11. Les traitements de l’eau selon les usages prévus 12. L’entretien du système et la vidange hivernale 13. Quelques exemples agricoles
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16 avril 2024
Arrivages : présence de pucerons et de tétranyque à deux points. Cultures en croissance : pucerons, tarsonème trapu, blanc et Thielaviopsis. Cliquer sur le nom de l’ennemi pour consulter la fiche technique. Cliquer sur les photos pour les agrandir. DÉPISTAGE DES ARRIVAGES Il est recommandé de placer
les plants dans une zone de quarantaine dès leur arrivée et de les inspecter sans tarder. Pucerons (plusieurs espèces) : Présents dans des arrivages de Carex buchananii et de Senecio peregrinus. Tétranyque à deux points (Tetranychus urticae) : Présent dans des arrivages de palmiers provenant de Floride, d’Acalypha, de Canna, de Brugmansia et de Dichondra. DÉPISTAGE DES CULTURES EN CROISSANCE DANS LES SERRES Différentes espèces de pucerons sur Muehlenbeckia Photo : IQDHO Pucerons (plusieurs espèces) : Nos collaborateurs nous ont rapporté l’apparition de nombreux foyers de pucerons cette semaine dans les serres. Parmi les plus importants, on a identifié le puceron bicolore des céréales dans des Stipa et des Carex, le puceron vert du pêcher dans des Alternanthera, des Ficus elastica, des Syngonium et des Cyperus et le puceron de la pomme de terre dans des plants d'Argyranthemum, de Calibrachoa et d'Ipomoea batatas. De plus, diverses espèces de pucerons ont aussi été vues dans un grand nombre de végétaux. Un bon dépistage est de mise. L’emploi de drapeaux ou d’indicateurs colorés pour marquer les foyers d'infestation aide aux suivis et aux interventions phytosanitaires. Dommages de tarsonème trapu sur des jeunes feuilles de Thunbergia Photo : IQDHO Tarsonème trapu (Polyphagotarsonemus latus) : Des dommages liés à la présence de tarsonèmes trapus se manifestent par foyers dans plusieurs entreprises. Le Begonia de type Rieger et d’autres cultivars de bégonias tubéreux sont particulièrement affectés. Des populations ont aussi été vues dans de l’Impatiens de
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10 avril 2024
Gratuité pour les amarantes : identification et détection de la résistance. Courriel pour faciliter l’identification des mauvaises herbes. Tests pour la détection de la résistance aux herbicides. GRATUITÉ POUR L’IDENTIFICATION ET LA DÉTECTION DE LA RÉSISTANCE AUX HERBICIDES DES AMARANTES Le Laboratoire
d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ maintient la gratuité pour tous les échantillons d’amarante à recevoir pour la saison 2024. Ainsi, l’identification et la détection de la résistance aux herbicides sont gratuites pour l’amarante à racine rouge, l’amarante de Powell, l’amarante tuberculée ou toute autre espèce d'amarante qui serait retrouvée dans un champ cultivé. Les amarantes peuvent entraîner des pertes importantes de rendement et de qualité dans les cultures, soit par leur compétitivité importante, soit par leur résistance à de nombreux herbicides. L’identification des amarantes représente la première étape de la gestion intégrée des ennemis des cultures; elle permet d’adapter la stratégie de lutte aux mauvaises herbes en appliquant judicieusement les méthodes de désherbage ciblées et adaptées à la réalité de l’entreprise. Pour plus de détails, consulter la fiche Gratuité pour l'amarante : identification et détection de la résistance aux herbicides. L’IDENTIFICATION DE MAUVAISES HERBES SIMPLE ET RAPIDE! Pour la saison de culture 2024, le LEDP renouvelle son offre d'aide à l'identification de mauvaises herbes par l'envoi d'images par courriel. Pour qui? Ce service est offert gratuitement à tous les intervenants agricoles. Comment faire? Envoyer plusieurs images de la mauvaise herbe à identifier à l'adresse courriel mauvaiseherbe@mapaq.gouv.qc.ca. Un malherbologiste, s’il est en mesure d’effectuer rapidement l’identification, fournira le nom de la mauvaise herbe identifiée ainsi qu’un ou des hyperliens vers des sources d’intérêt sur l’espèce. Dans le cadre de ce service,
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10 avril 2024
Première mention de chénopode blanc résistant au glyphosate au Québec. PRÉSENCE DE CHÉNOPODE BLANC (Chenopodium album) RÉSISTANT AU GLYPHOSATE De la résistance au glyphosate a été diagnostiquée chez une population de chénopode blanc provenant de la MRC de Pierre-De Saurel, en Montérégie. Au Québec, il s’agit
de la première mention de résistance au glyphosate pour cette plante. Le Centre de recherche sur les grains (CÉROM) inc. a détecté cette résistance à l’aide d’un test classique, c’est-à-dire par aspersion d’herbicide, en serre, en conditions contrôlées. Le laboratoire du chercheur Martin Laforest d’Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) a validé ce résultat à deux reprises en utilisant la même méthodologie. Il s’agit de la sixième mauvaise herbe résistante au glyphosate détectée au Québec depuis 2017, après la moutarde des oiseaux, l’amarante tuberculée, la petite herbe à poux, le kochia à balais et la vergerette du Canada. Le chénopode blanc est l’une des mauvaises herbes les plus communes et répandues sur le territoire agricole québécois et la viabilité de ses semences dans les sols est de plus de 50 ans. La prévention et la biosécurité sont d’une importance capitale, car il est plus difficile d’enrayer des populations de chénopode blanc ayant développé de la résistance au glyphosate. Nous vous invitons à consulter les différentes ressources disponibles dans Votre trousse sur la résistance des mauvaises herbes 2023 pour de plus amples informations sur la résistance des mauvaises herbes aux herbicides et comment la prévenir. Pour contrer le phénomène de la résistance, une stratégie de gestion intégrée des mauvaises herbes doit être appliquée chez toutes les entreprises, qu’elles soient aux prises avec la résistance ou non. Toute intervention envers un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique,
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09 avril 2024
Arrivages : présence de papillons des fougères de Floride, du virus TMV, de pucerons, du tétranyque à deux points, de cochenilles, de thrips et de virus. Cultures en croissance : virus de la tache nécrotique de l’impatiente (INSV). Cliquer sur le nom de l’ennemi pour consulter la fiche technique. Cliquer sur
les photos pour les agrandir. DÉPISTAGE DES ARRIVAGES Il est recommandé de placer les plants dans une zone de quarantaine dès leur arrivée et de les inspecter sans tarder. Papillon des fougères de Floride (Callopistria floridensis) : Des fougères de Boston (Nephrolepis exaltata) récemment livrées transportaient avec elles une grande quantité de papillons des fougères de Floride adultes. Cette noctuelle est repérée assez fréquemment dans des fougères importées de la Floride. Pour de petits lots, le nettoyage manuel pour retirer les chenilles peut être envisagé. Aucun insecticide n’est spécifiquement homologué au Canada contre cet insecte. Papillon des fougères de Floride adulte (Callopistria floridensis) sur une fougère de Boston Photo : LEDP (MAPAQ) Larve de Callopistria floridensis sur une fougère de Boston Photo : LEDP (MAPAQ) Symptômes du virus de la mosaïque du tabac (TMV) sur des deuilles de Calibrachoa Photo : IQDHO Virus de la mosaïque du tabac (TMV) : Des arrivages de Calibrachoa ont reçu des résultats positifs aux tests portatifs (AGDIA), révélant la présence du virus de la mosaïque du tabac (TMV). Il est recommandé de confirmer le diagnostic par une analyse au Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP). Ce virus peut affecter un très grand nombre d’espèces végétales. Les symptômes sont plus prononcés chez les solanacées, comme le Petunia et le Calibrachoa. Ce virus se propage mécaniquement, par exemple par la taille ou même par le simple contact des mains sur une feuille. Il n’existe aucun produit pour lutter contre les virus dans les plantes. Éliminer les végétaux affectés
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