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Grandes cultures, Avertissement No 16, 13 août 2021

Réseau d'avertissements phytosanitaires Avertissement - Grandes cultures
CHRYSOMÈLES DES RACINES DU MAÏS : vidéo sur leur gestion. POURRITURE À SCLÉROTES DU SOYA : quelques champs sévèrement infectés. VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS : captures en baisse, mais observation possible de pontes. PUCERON DU SOYA : diminution, excepté en Chaudière-Appalaches. LÉGIONNAIRE D'AUTOMNE dans le maïs-grain en Montérégie. CICADELLE DE LA POMME DE TERRE : état de la situation. CHRYSOMÈLE DU HARICOT : pas de dommages sévères constatés. DÉPISTAGE DES MAUVAISES HERBES en fin de saison. RÉSISTANCE et vigilance pour l'ÉRIOCHLOÉ VELUE.
 
 
NOUVELLE VIDÉO : COMMENT GÉRER LES CHRYSOMÈLES DES RACINES DU MAÏS?
Julien Saguez, entomologiste (CÉROM), Mathieu Neau, entomologiste (CÉROM) et Brigitte Duval, agr. (MAPAQ)

Les chrysomèles des racines du maïs constituent d’importants ravageurs du maïs, notamment les larves qui s’attaquent aux racines et peuvent entraîner des pertes de rendement. Une gestion intégrée de ce ravageur permet de réduire les risques de dommages et de développement de la résistance.

Les connaissances actuelles sur les chrysomèles des racines du maïs au Québec sont regroupées dans une vidéo explicative créée par le Centre de recherche sur les grains (CÉROM), en collaboration avec le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), Corteva et les Producteurs de grains du Québec. Cette vidéo présente les chrysomèles observées au Québec et leur biologie, les dommages causés au maïs, les différentes méthodes de gestion intégrée, les hybrides Bt, la résistance des chrysomèles des racines du maïs au Bt et les façons de limiter le développement de cette résistance.
 

Cette vidéo a été financée par le MAPAQ, dans le cadre du volet 3 du programme Prime-Vert, et est liée à la Stratégie phytosanitaire québécoise en agriculture 2011-2021.
 

POURRITURE À SCLÉROTES DU SOYA : QUELQUES CHAMPS SÉVÈREMENT INFECTÉS
Groupe de travail sur les maladies des grandes cultures

Des cas sévères de pourriture à sclérotes (ou moisissure blanche) ont été observés dans certains champs de soya en Estrie et au Centre-du-Québec. Comme expliqué dans l’avertissement Nº 15 du 6 août 2021, l’application de fongicides n’est pas recommandée à partir du stade R4. Au Québec, la majorité des champs de soya sont actuellement aux stades R5 et R6. Il est donc conseillé de mettre en place des mesures préventives pour les prochaines années :
  • Prévoir une culture non sensible en 2022, comme du maïs ou de préférence, une céréale, sans travail ou en travail minimum du sol, ce qui favorisera la germination des sclérotes au printemps suivant. Les sclérotes ne germent qu’une fois, autant trouver un moyen de les « épuiser ».
  • Envisager l’achat de cultivars de soya tolérants dans les années suivant l’infection.
  • Éviter d’enfouir les sclérotes par un labour. Une fois enfouis, les sclérotes demeureront dormants et ils pourront germer et infecter le soya lorsqu’ils seront remis en surface.
  • Ajuster le taux de semis du soya et utiliser un écartement des rangs favorisant l’aération des plants.
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Plants de soya (A) et champ de soya (B) infectés par la pourriture à sclérotes

Photo A : B. Duval (MAPAQ)   Photo B : A. Rondeau (MAPAQ)



Pour plus d’information

 
VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS : LES CAPTURES DE PAPILLONS DIMINUENT, MAIS DES PONTES POURRAIENT ENCORE ÊTRE OBSERVÉES
Groupe de travail du RAP Grandes cultures sur les papillons

À travers le Québec, les captures totales de papillons du ver-gris occidental des haricots (VGOH) ont diminué de moitié comparativement à la semaine dernière. Cliquez ici pour accéder aux résultats détaillés pour chacune des régions. La diminution des captures ne signifie pas pour autant que la ponte est terminée.

De nouvelles masses d’œufs ont été observées cette semaine. La vigilance est donc toujours de mise, notamment dans les champs où les stades de croissance sont inégaux. Les papillons femelles cherchent à pondre sur des plants dont les croix sont sur le point de sortir ou tout juste sorties. En fin de saison, les masses d’œufs peuvent aussi être pondues plus près des épis.

Les ennemis naturels sont bien présents dans les champs de maïs (coccinelles, punaises prédatrices, etc.). Plusieurs masses d’œufs ont été récoltées dans des champs en Estrie et en Outaouais, et des guêpes parasitoïdes (trichogrammes) ont émergé de ces masses d’œufs. Ces insectes bénéfiques assurent donc un certain contrôle du VGOH avant même l’éclosion des œufs. Cela réduit donc les risques de dommages et la nécessité d’avoir recours à l’application d’insecticides.

Il peut être difficile de distinguer les œufs de VGOH sains et matures des œufs de VGOH parasités. Une loupe est utile pour faire la distinction. Les œufs sains et matures sont de couleur mauve foncé alors que les œufs parasités deviennent gris foncé ou noirs. Lorsque les larves de VGOH sortent des œufs, elles mangent la coquille, ne laissant qu’une trace bleu pâle à la place des œufs. Lorsque des trichogrammes ont émergé des œufs, ces derniers gardent leur coloration grise/noire, mais sont percés (trou d’émergence des trichogrammes).
 
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Évolution d’œufs de VGOH sains et parasités

Photos : J. Saguez (CÉROM)



Selon certains États américains, en présence d’ennemis naturels, le seuil économique d’intervention de 5 % pourrait être augmenté à 8 %. Pour en savoir plus sur la technique de dépistage des masses d’œufs, consultez l’avertissement Nº 12 du 16 juillet 2021.
 
Résultats du dépistage des masses d'œufs (champs du RAP du 14 juillet au 12 août 2021)
Région Nombre de champs dépistés pour les masses d’œufs Nombre de dépistages hebdomadaires réalisés dans chacun de ces champs Nombre de champs où la présence de masses d’œufs ou de jeunes larves a été détectée Nombre de champs atteignant le seuil cumulatif de 5 % des plants porteurs de masses d’œufs ou de jeunes larves Seuil cumulatif maximum atteint
Abitibi-Témiscamingue 3 3 0 0 -
Bas-Saint-Laurent 3 4 3 0 4 %
Capitale-Nationale 3 3 0 0 -
Centre-du-Québec 3 4 0 0 -
Chaudière-Appalaches 3 3 0 0 -
Estrie 3 3-4 2 0 2 %
Lanaudière 3 3 1 0 1 %
Laurentides 3 4 3 1 7 %
Mauricie 3 4 0 0 1 %
Montérégie-Est 6 3-4 3 1 5 %
Montérégie-Ouest 11 4 8 1 7 %
Outaouais 6 4 5 2 33 %
 
 
PUCERON DU SOYA : TENDANCE À LA BAISSE DANS TOUTES LES RÉGIONS,
EXCEPTÉ EN CHAUDIÈRE-APPALACHES

Groupe de travail du RAP Grandes cultures sur les ravageurs du soya

Depuis la semaine dernière, les populations de pucerons dans plusieurs régions ont diminué, alors que les populations en Chaudière-Appalaches ont plus que doublé. Toutefois, cette région a également connu une augmentation des populations d’ennemis naturels, ce qui pourrait faire diminuer les populations de pucerons prochainement. Les conditions météorologiques (pluies ou orages) pourraient aussi contribuer à cette diminution.

Le puceron du soya ne devrait pas avoir d’impact sur le soya, étant donné que la majorité des champs sont actuellement aux stades R5 et R6 (cliquez ici pour le guide des stades).
 
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Image Agri-Réseau
 

LÉGIONNAIRE D’AUTOMNE OBSERVÉE DANS DU MAÏS-GRAIN EN MONTÉRÉGIE
Brigitte Duval, agr. (MAPAQ), Julien Saguez, entomologiste (CÉROM) et Mathieu Neau, entomologiste (CÉROM)

La légionnaire d’automne est un lépidoptère ravageur occasionnel du maïs. Les papillons migrent depuis le sud des États-Unis. Au Québec, l’insecte est habituellement retrouvé dans du maïs sucré. Cependant, depuis la semaine passée, des masses d’œufs et des larves ont été observées dans quelques champs de maïs-grain en Montérégie. Les champs semés tardivement ou qui présentent un retard de développement sont plus à risque et devraient donc être surveillés.

Les masses d’œufs peuvent être pondues sur toutes les parties d’un plant de maïs. Elles sont recouvertes de poils et d’écailles provenant du corps de la femelle adulte, donnant l’aspect d’une petite boule cotonneuse.
 
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Masse d’œufs de légionnaire d’automne

Photo : J. Saguez (CÉROM)


Les jeunes larves ont la tête noire et le corps jaune-vert avec des tubercules (points) noirs. Quant aux larves matures, leur coloration varie du vert foncé au brun, à presque noire. Leur corps contient trois rayures longitudinales pâles et étroites sur leur dos, et il est recouvert de tubercules noirs proéminents. Elles peuvent être confondues avec d’autres larves, mais elles se distinguent par la présence d’un « Y » pâle inversé sur la tête et la présence de quatre tubercules noirs formant un carré à l’arrière de la larve.

Le papillon est inoffensif, mais les larves s’attaquent généralement au cornet du plant de maïs. Elles grignotent les feuilles, laissant apparaître de gros trous, et plus tard, elles creusent des galeries dans les épis. Si vous remarquez une présence importante de larves, un dépistage peut être réalisé. Il devrait bien couvrir le champ, car les dommages seront concentrés sous forme de foyers.
 
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Dommages de légionnaire d’automne sur un plant de maïs

Photo : M. Neau (CÉROM)

 
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Larve de légionnaire d’automne dans un épi de maïs

Photo : B. Duval (MAPAQ)



Dans le maïs-grain, il est rarement justifié d’intervenir contre la légionnaire d’automne. Selon l’Université de Purdue, un traitement peut être réalisé si 75 % des plants présentent des dommages dans le cornet, que les larves font moins de 3 cm de long et que les plants de maïs sont stressés.

Lors du dépistage, surveillez également la présence d’ennemis naturels. Les larves de légionnaire d’automne peuvent être parasitées par des œufs de mouches blancs généralement localisés derrière la tête. Cela indique que ces larves vont bientôt cesser de s’alimenter.

Certaines technologies de maïs Bt protègent contre la légionnaire d’automne. Pour les connaître, consultez le tableau Maïs Bt disponibles au Canada (avril 2021). Notez que de la résistance au maïs Bt est possible. Contactez votre semencier en cas de doute.

Pour plus d’information, consultez la fiche technique du RAP Maïs sucré sur la légionnaire d’automne et la fiche d’IRIIS phytoprotection.
 

CICADELLE DE LA POMME DE TERRE DANS LA LUZERNE : ÉTAT DE LA SITUATION
Mathieu Neau, entomologiste (CÉROM), Julien Saguez, entomologiste (CÉROM) et Brigitte Duval, agr. (MAPAQ)

Les populations de cicadelle de la pomme de terre dans les luzernières suivies par le RAP Grandes cultures demeurent faibles. Cette semaine, seulement 3 des 13 sites dépistés ont atteint le seuil économique d’intervention. Ces champs se situent à L’Épiphanie et à Saint-Roch-Ouest (Lanaudière), et à Saint-Anicet (Montérégie-Ouest). La majorité des spécimens collectés étaient rendus au stade adulte et sont donc plus mobiles que les nymphes qui ont tendance à rester sur les plants. La vigilance est toujours de mise dans ces secteurs, car les cicadelles peuvent être actives jusqu’aux premières gelées. Par contre, les cicadelles deviennent moins actives à partir de la mi-août. Elles pourraient aussi se déplacer vers d’autres cultures plus attractives à cette époque de l’année. Rappelons que la fauche peut aussi être une méthode permettant de réduire les populations.

Pour en savoir plus sur le ravageur, veuillez vous référer à l'avertissement Nº 10 du 2 juillet 2021.
 

CHRYSOMÈLE DU HARICOT : PAS DE DOMMAGES SÉVÈRES CONSTATÉS
Groupe de travail du RAP Grandes cultures sur les ravageurs du soya

Le RAP suit la chrysomèle du haricot à 12 sites répartis à Lanaudière (2) et en Montérégie (10). Jusqu’à présent, les populations de chrysomèles ne sont pas suffisantes pour causer des dommages d’importance économique. Au Québec, aucun seuil d’intervention n’a été validé, mais ceux utilisés en Ontario aux stades R5 et R6 sont fixés à 25 % de défoliation ou à 10 % de gousses endommagées. La défoliation maximale observée actuellement est de 20 %, et le taux maximal de gousses endommagées est de 1,5 %.

L’abondance du ravageur est évaluée pour chacun des champs et un champ en Montérégie se démarque. Malgré une quantité élevée de chrysomèles du haricot (jusqu’à 5 chrysomèles par coup de filet fauchoir), la défoliation est faible (4 %) et peu de gousses sont endommagées (0,2 %). Pour en connaître davantage sur la méthode de dépistage de la chrysomèle du haricot et les seuils économiques d’intervention, consultez l’avertissement Nº 14 du 30 juillet 2021.
 

DÉPISTAGE DES MAUVAISES HERBES EN FIN DE SAISON, DÉTECTION DE RÉSISTANCES
ET VIGILANCE POUR L’ÉRIOCHLOÉ VELUE

Groupe de travail du RAP Grandes cultures en malherbologie

La saison de culture 2021 tire maintenant à sa fin. La fin de saison est l’occasion privilégiée de marcher vos champs et d’évaluer l’efficacité des moyens de désherbage appliqués pendant l’année contre les mauvaises herbes vivaces (pissenlit, plantain, etc.), les annuelles hivernantes (bourse-à-pasteur, vergerette du Canada, etc.) et les bisannuelles (armoise bisannuelle, petite bardane, etc.). Des mauvaises herbes annuelles problématiques pourraient également être observées, comme la morelle noire de l’Est, l’ériochloé velue et l’amarante tuberculée.
 
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Figure 1 : A)  Morelle noire de l’Est    B) Ériochloé velue    C) Amarante tuberculée    D) Armoise bisannuelle
Photos : LEDP (MAPAQ)



Résistance des mauvaises herbes
Lors du dépistage, gardez à l’œil les possibles cas de résistances aux herbicides. Un diagnostic de résistance vous permettra d’ajuster votre stratégie de désherbage pour les années à venir et vous évitera des applications inutiles d'herbicides et des pertes de rendement.

Attention! Une mauvaise herbe non réprimée n’est pas nécessairement résistante à l’herbicide utilisé. Les éléments suivants renforcent l’hypothèse de la résistance aux herbicides :
  • Seule une espèce de mauvaise herbe a survécu au traitement.
  • Le patron de distribution de la mauvaise herbe est aléatoire.
  • Dans cette population de mauvaise herbe, le niveau de dommages dus à l’herbicide varie d’une plante à l’autre.
  • Le même problème a été observé au cours des dernières années dans ce champ lorsque des herbicides du même groupe ont été utilisés.
  • Des herbicides du même groupe ont été utilisés à répétition, année après année, dans ce champ.
Si vous soupçonnez un problème de résistance, des tests moléculaires et classiques de détection de la résistance sont disponibles. Cliquez ici pour connaître la liste des tests moléculaires disponibles. Si le test moléculaire n’est pas disponible pour la combinaison mauvaise herbe et matière active pour laquelle une résistance est suspectée, il est nécessaire de réaliser le test classique à partir de graines matures de la mauvaise herbe. Pour les détails sur la méthode d’échantillonnage de graines matures, cliquez ici. Veuillez noter que la date limite de réception des échantillons pour le test classique est le 30 novembre 2021.

Pour plus d’information sur la marche à suivre pour le diagnostic de résistance aux herbicides, consultez le document Votre trousse « Résistance des mauvaises herbes » pour 2021. Pour des renseignements complémentaires, vous pouvez contacter le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ au 418 643-5027, poste 2718 ou à [email protected].

Au Québec, plusieurs espèces de mauvaises herbes ont déjà été diagnostiquées résistantes à certains herbicides, dont la petite herbe à poux, la morelle noire de l’Est (figure 1A), l’amarante à racine rouge, le chénopode blanc, la sétaire verte, la vergerette du Canada et l’amarante tuberculée (figure 1C). Cliquez ici pour consulter les résultats à jour de la détection de la résistance aux herbicides.

Ériochloé velue
La période la plus propice pour dépister cette mauvaise herbe se situe entre la mi-août et la fin septembre. Cette plante est facilement reconnaissable par ses inflorescences dont les branches latérales, toutes étalées sur le même plan, font penser à celles du pied-de-coq. L’ériochloé velue est interdite dans tout lot de semences ou de grains vendu ou importé au Canada. Sa présence au champ doit obligatoirement être déclarée à l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA). Les mesures réglementaires à l’égard des parcelles infestées par l’ériochloé velue ayant cependant été suspendues par l’ACIA jusqu’à nouvel ordre, aucune restriction ne sera appliquée à la ferme. Pour plus de détails sur les méthodes de lutte, consultez l’affiche sur l’ériochloé velue et l’avertissement Nº 46 du 25 août 2017.
 
 
Toute intervention de contrôle d’un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique, physique et chimique). Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) préconise la gestion intégrée des ennemis des cultures et la réduction des risques associés à l’utilisation des pesticides.



Cet avertissement a été révisé par Pierre-Antoine Thériault, agr., M. Sc. (MAPAQ). Pour des renseignements complémentaires, vous pouvez contacter l’avertisseure du réseau Grandes cultures ou le secrétariat du RAP. La reproduction de ce document ou de l’une de ses parties est autorisée à condition d'en mentionner la source. Toute utilisation à des fins commerciales ou publicitaires est cependant strictement interdite.
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Organisation : Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
Auteur(s) : RAP - Réseau Grandes cultures
Date de publication : 13 août 2021
Infolettre Grandes cultures

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