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19 avril 2024
Fongicides homologués en 2024 dans les principales cultures maraîchères et fruitières en serre

Nouveau

19 avril 2024
Insecticides et acaricides homologués en 2024 dans les principales cultures maraîchères et fruitières en serre
15 mars 2024
MISE EN GARDE BIEN QU’IL NE SOIT PAS PERMIS D’UTILISER L’HYPOCHLORITE DE SODIUM À LA CONCENTRATION RECOMMANDÉE DANS LE PRÉSENT PROTOCOLE POUR LE TRAITEMENT DES SEMENCES EN RÉGIE BIOLOGIQUE, UNE DÉROGATION DU CONSEIL DES APPELLATIONS RÉSERVÉES ET DES TERMES VALORISANTS (CARTV) A ÉTÉ ACCORDÉE POUR LES SAISONS DE CULTURE 2024 ET 2025. LE TRAITEMENT EST DONC AUTORISÉ POUR LES DÉTENTEURS D’UNE CERTIFICATION BIOLOGIQUE EN RESPECTANT LE PRÉSENT PROTOCOLE, POUR PRÉVENIR LE VIRUS DU FRUIT RUGUEUX BRUN DE LA TOMATE (TOBRFV) DANS LES TOMATES. CETTE DÉROGATION EST UNIQUEMENT APPLICABLE SUR LE TERRITOIRE DU QUÉBEC. Le virus du fruit rugueux brun de la tomate (ToBRFV) a été détecté pour la première fois en 2014, en Israël. Depuis, le virus a été trouvé dans plusieurs pays d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Asie. Le ToBRFV peut considérablement réduire la productivité des cultures de tomate et la qualité marchande des fruits. Au Québec, sa présence a été confirmée pour la première fois en 2021, dans des serres de tomate. Le ToBRFV fait partie de la famille des Tobamovirus reconnus pour être hautement transmissibles par contact. Bien qu’inoffensif pour l'humain, il cause des pertes de rendement considérables sur les plants et les fruits. Même à l'extérieur de la plante-hôte, ce virus est persistant longtemps dans l'environnement, ce qui le rend difficile à éradiquer et a souvent pour conséquence la cession de la production de tomates sur un site, et ce, pour plusieurs années. Le virus peut se transmettre par les semences. Or il n’existe aucune certification, à ce jour, qui garantit l'absence de virus au niveau des lots de semences achetés. D'ailleurs, des chercheurs italiens ont détecté la présence du virus dans plusieurs lots testés de nombreux semenciers. Des études récentes ont démontré l'efficacité d'un trempage de semences, dans une solution d’hypochlorite de sodium (2,5 %), pour éradiquer le virus. Une solution d'eau de Javel aurait donc la capacité d'éradiquer le virus qui se Lire la suite
Cultures maraîchères et fruitières en serre, Avertissement No 2, 5 mars 2024
05 mars 2024
Prévention du mildiou dans les serres de tomates. Information sur les mélanges de produits à base de savons ou d’huiles avec du soufre. PRÉVENTION DU MILDIOU DANS LES SERRES DE TOMATES En 2023, plusieurs cas de mildiou, maladie causée par Phytophthora infestans, ont été recensés au Québec. Ces cas ont été retrouvés majoritairement dans des cultures de tomates et de pommes de terre. Dans la tomate, la maladie a été diagnostiquée autant dans les champs que de cultures abritées (tunnels et serres).   Symptômes de mildiou sur un fruit Photo : Climax Conseils. SENCRL Symptômes de mildiou sur un fruit Photo : INRA   Symptômes de mildiou sur des feuilles Photo : Riva Khanna, agr. (MAPAQ) Symptômes de mildiou sur une tige Photo : Climax Conseils, SENCRL Le mildiou est une maladie extrêmement destructrice et plusieurs efforts sont déployés chaque année pour détecter son apparition et surveiller sa progression. Les échantillons trouvés lors des années où la maladie était présente sont analysés par le Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) pour, entre autres, déterminer le génotype présent. En 2023, c'est le génotype US-23 qui a été trouvé dans presque tous les échantillons analysés. En 2016, Frost et al. ont démontré que la vigueur des génotypes de Phytophthora infestans normalement retrouvés lors d’épisodes de mildiou (US-22 et US-24) diminuait avec l'augmentation de l'exposition aux températures froides. Toutefois, le génotype US-23 a survécu plus longtemps à des températures de 4 et -3 °C que les génotypes US-22 ou US-24. Cela veut dire que des tissus infectés en 2023 par cet oomycète, et qui ont été enfouis ou laissés dans la serre, pourraient être encore viables en 2024. En effet, des campagnes de mesures de températures en serres non chauffées ont démontré que les températures de sol dans des serres individuelles non chauffées et faiblement isolées restent relativement élevées. Cela veut dire que du mycélium pourrait survivre, par Lire la suite
22 février 2024
À tous les producteurs en serre et leurs conseillers, Le MAPAQ, le CRSNG et le Mitacs ont octroyé une subvention pour le projet d’envergure « Atteinte de la cible zéro enfouissement par une plateforme de valorisation des résidus serricoles » dirigé par Philippe Constant, professeur à l’INRS. En développant des procédés de tri et de conditionnement des résidus et en combinant de multiples options de valorisation, ce projet repoussera les frontières actuelles limitant la valorisation des résidus serricoles. De multiples voies de valorisation des résidus seront examinées pour la première fois dans le cadre d’un projet intégré, mais nous avons besoin de votre collaboration pour adapter les voies de valorisation aux réalités du secteur serricole québécois. L’équipe de recherche vous invite à participer à une enquête pour identifier la nature et la quantité de résidus végétaux et de plastiques générés dans le cadre de vos opérations. Un portrait précis permettra de proposer des solutions concrètes pour que le secteur serricole atteigne la cible zéro enfouissement. Je vous invite à contacter Philippe Constant () qui prendra en charge l’enquête pour laquelle vous êtes invité.e à participer. Je vous remercie d’avance pour votre précieuse collaboration.   Lire la suite
Des prédateurs qui volent au secours des plantes ornementales
20 février 2024
L’utilisation d’organismes bénéfiques pour lutter contre les ravageurs des cultures ornementales produites en serre se fait depuis plusieurs années chez des entreprises produisant sur de petites superficies. Toutefois, l’adoption de cette approche de lutte dans les entreprises de grandes superficies est freinée par le temps nécessaire pour introduire les prédateurs en les saupoudrant manuellement sur les plantes. Afin de réduire ce temps, des outils d’introduction mécaniques qui soufflent les agents de lutte biologiques sur la culture sont maintenant proposés aux producteurs québécois.  Ce projet a été réalisé dans le cadre du volet 4 du programme Prime-Vert – Appui au développement et au transfert de connaissances en agroenvironnement avec une aide financière du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation par l’entremise de la Stratégie phytosanitaire québécoise en agriculture 2011-2021 Article paru dans le journal Gestion et technologie agricoles (GTA) : jeudi 5 mars 2020 en page 22. Lire la suite
Cultures maraîchères et fruitières en serre, Avertissement No 1, 16 février 2024
15 février 2024
Dommages dans l’épinard à la suite de traitements insecticides avec du TROUNCE.   DOMMAGES DANS L’ÉPINARD À LA SUITE DE TRAITEMENTS INSECTICIDES AVEC DU TROUNCE Dans les derniers jours, deux producteurs se sont retrouvés avec des dommages s'apparentant à une phytotoxicité dans l’épinard à la suite d’un traitement insecticide contre les pucerons. Dans les deux cas, un traitement avec un produit contenant des sels de potassium d’acide gras et des pyréthrines (TROUNCE) a été effectué pour contrôler des populations de pucerons.   Pucerons sur des feuilles d’épinard  Geneviève Legault, agr. / Julie Marcoux, dta (MAPAQ) Pucerons sur des feuilles d’épinard  Geneviève Legault, agr. / Julie Marcoux, dta (MAPAQ)   Les conditions de culture chez les deux producteurs sont similaires : les épinards sont cultivés dans des serres minimalement chauffées et non chauffées. Dans le cas de la serre non chauffée, la culture est menée sous une couverture flottante de protection contre le froid de 40 g/m2, placée sur des arceaux.   Conditions de culture en serre non chauffée sous couvertures flottantes Geneviève Legault, agr. / Julie Marcoux, dta (MAPAQ) Conditions de culture en serre minimalement chauffée  Geneviève Legault, agr. / Julie Marcoux, dta (MAPAQ)   Les applications d'insecticides ont été effectuées à l’aide de pulvérisateurs dorsaux à la concentration recommandée (5 litres de concentré/100 litres d’eau) mais avec des quantités de solution insecticide différentes, c’est-à-dire que des volumes variant de 800 à plus de 3 000 litres de solution insecticide/hectare ont été appliqués. Sur l’étiquette du produit et pour les cultures basses, aucune information sur le volume de solution insecticide à appliquer n’apparaît, hormis de « vaporiser les nouvelles pousses, les tiges et le dessous des feuilles » et de « vaporiser la quantité nécessaire sur toute la surface des plantes ». Cependant, une indication pour l’utilisation Lire la suite
02 février 2024
Introduction Bienvenue au questionnaire pour les intervenants du secteur de l’agriculture verticale de l’Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire (ARLA) de Santé Canada. L’ARLA est l’organisme fédéral chargé de la réglementation des produits antiparasitaires – aussi appelés pesticides – au Canada. Pour participer au questionnaire, vous devez être un propriétaire ou un exploitant d’une ferme verticale commerciale au Canada. Une seule réponse par ferme verticale est demandée. Quel type d’information est demandé ? Le présent questionnaire vise à brosser un portrait de l’industrie de l’agriculture verticale qui aidera à orienter la stratégie de l’ARLA en faveur de l’utilisation sûre et efficace des produits antiparasitaires dans les exploitations d’agriculture verticale commerciale. Les questions porteront sur divers aspects de votre installation de culture, de votre système de production, de vos cultures et des pressions parasitaires. L’ARLA s’appuiera sur les renseignements recueillis dans ce questionnaire pour établir une méthode d’évaluation de l’exposition potentielle et des risques associés à l’utilisation de produits antiparasitaires. À l’heure actuelle, aucun produit antiparasitaire n’est homologué au Canada pour la pratique de l’agriculture verticale. Pour obtenir des détails, veuillez consulter la note d’information : Agriculture verticale et produits antiparasitaires (Annexe A). Qu’est-ce qui est considéré comme une ferme verticale par Santé Canada et l’ARLA ? Pour déterminer si votre installation peut être considérée comme une ferme verticale, veuillez prendre connaissance des caractéristiques d’une ferme verticale : elle produit des cultures dans des milieux appropriés (p. ex. en hydroponie, en aéroponie ou à même le sol); elle produit des cultures à l’intérieur, sur des structures superposées ou des couches étagées en pente et/ou intégrées dans d’autres structures verticales; elle dépend exclusivement ou principalement Lire la suite
De nouveaux outils sur le compostage pour les fermes maraîchères
30 janvier 2024
Dans le cadre de son projet Portrait du compostage à la ferme des résidus végétaux générés par les entreprises maraîchères québécoises : fermes type, suivis et défis, l’IRDA a développé des outils pour aider les producteurs maraîchers et les agronomes à élaborer des stratégies de gestion des résidus végétaux par le compostage. À propos du projet Bien que le compostage soit un mode de gestion connu depuis de nombreuses années, son application sur les fermes est encore aujourd’hui marginale. Le présent projet visait entre autres à comprendre pourquoi, en dépit des avantages qu’il procure, le compostage ne parvient pas à s’implanter de façon pérenne sur les exploitations agricoles maraîchères québécoises. Pour tenter d’y répondre, des consultations et rencontres ont été faites auprès de certains producteurs maraîchers et entreprises maraîchères situées dans diverses régions du Québec afin d’identifier notamment les freins et les leviers concernant les activités de compostage à la ferme. Malgré les différents défis identifiés, il s’avère que le compostage suscite toujours de l’intérêt comme technique de gestion des RV et de production de compost?; de nombreuses questions tant sur les avantages et les techniques du compostage à la ferme que sur les caractéristiques du compost et les avantages liés à son emploi comme amendement de sol. Ce projet a été financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation dans le cadre du programme Prime-Vert. Les outils pour les producteurs agricoles maraîchers et les agronomes 1. Aide-mémoire pour les conseillers Cet outil vise à rappeler les différents éléments à considérer avant de commencer à composter ou encore pour effectuer un suivi du compostage ou valoriser le compost produit. 2. Fiche synthèse du projet 3. Cadre règlementaire applicable au compostage de résidus végétaux à la ferme Au Québec, les activités de compostage et d’utilisation de compost à la ferme sont encadrées par certaines lois, des règlements, Lire la suite
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