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Un retour en arrière, les débuts du temps des sucres
27 mars 2024
Extrait du livre de Noël Vinet, Les Érablières... du passé, du présent et de l’avenir...de 300, de 3 000 ou de 30 000 entailles! Personne ne peut nous dire avec exactitude à quand remonte les débuts des sucres! La tradition orale des Amérindiens ne peut nous renseigner à cet effet...mais par les écrits que nous ont laissés les premiers arrivants en Nouvelle-France, nous savons que depuis longtemps les Amérindiens avaient découvert les vertus de l’eau d’érable. À l’aide d’un tomahawk, ils entaillaient les érables et recueillaient l’eau dans des contenants d’écorce de bouleau. Par la suite, ils faisaient bouillir l’eau d’érable dans des auges en bois ou dans des vases d’argile en y déposant des pierres rougies par le feu pour concentrer le réduit. Les femmes utilisaient ce sirop dans la préparation de leurs viandes afin de lui donner un goût particulier. Bien des légendes à cet effet ! Plusieurs légendes ont été véhiculées au fil du temps concernant la découverte de l’eau d’érable, l’une des plus réalistes serait celle-ci; «Un Iroquois, frappa de sa hache un érable et en vit sortir un liquide qu’il goûta et s’aperçut qu’il avait un bon goût. Les femmes décidèrent donc d’utiliser cette eau pour faire mijoter les viandes et s’aperçurent que cette eau donnait bon goût aux viandes.» D’autres légendes font référence à un jeune Iroquois qui vit un écureuil croquer une petite branche d’un érable et de lécher la sève qui en sortit. Il eut alors l’idée de faire pareil et trouva le goût des plus intéressants... Nous ne saurons sans doute jamais l’origine exacte de la découverte de l’eau d’érable mais un fait est certain, les Amérindiens en connaissaient les vertus bien avant l’arrivée des Blancs et ce chez plusieurs peuples Amérindiens dont; les Micmacs, les Montagnais, les Abénaquis, les Hurons, les Algonquins, les Iroquois, les Mohawks, les Wendats, les Ojibways des Grands Lacs et les Malécites du Témiscouata. Les premiers sucriers; les Amérindiens! La tradition orale des Amérindiens Lire la suite
03 novembre 2023
Depuis quelques années, l’univers culinaire est omniprésent dans notre univers médiatique. Cahiers spéciaux de recettes thématiques dans les journaux et les magazines, émissions de télévision, chaînes spécialisées et vidéos sur les réseaux sociaux, nous n’avons jamais autant eu accès à une si grande diversité de recettes de partout dans le monde.  Lire la suite
Au fil des ans, revue de la Société historique de Bellechasse, vol. 33, no. 2 et 3  - Regard sur notre patrimoine, Les jardins en bellechasse
05 décembre 2023
La Société historique de Bellechasse vous présente ce dossier sur les les jardins de Bellechasse. Dans un contexte où l’autonomie alimentaire devient un enjeu de plus en plus important et populaire, vous en apprendrez sur les fleurs rustiques et légumes anciens tout comme sur l’histoire des cultures maraîchères en Bellechasse. C’est en scrutant les récoltes des Bellechassois du 19e siècle et en comparant l’immensité de leurs jardins avec les nôtres qu’on peut saisir le travail colossal fait par nos ancêtres pour survivre. Cela ne les empêchait pas d’ajouter des lilas, pivoines, passeroses, cosmos, hydrangées, et j’en passe, pour embellir leur propriété. On reconnaît souvent l’ancienneté d’une maison ancestrale, parfois abandonnée, par la présence de lilas ou de pivoines. Il faut en déduire que ce n’est pas d’hier que nous savons que la beauté rend très certainement heureux! Lire la suite
Au fil des ans, revue de la Société historique de Bellechasse, vol. 31, no. 2 - Regard sur notre patrimoine, Les pratiques alimentaires
04 décembre 2023
La Société historique de Bellechasse vous présente ce dossier sur les pratiques alimentaires de Bellechasse. Dis-moi ce que tu manges et je te dirai qui tu es. La façon dont s’alimente une personne est un bon indice de sa personnalité. De même, il est possible de mieux comprendre une société — son histoire sociale, économique et culturelle —, en faisant l’expérience de ses pratiques alimentaires, de ses traditions culinaires et gastronomiques. La cuisine (désignant à la fois un lieu physique et une pratique) est au cœur du foyer, de la famille. Traditionnellement, la cuisine est un univers typiquement féminin. Ainsi, si les hommes ont acquis des droits sur la terre, conquérant le pays à la force de leurs bras, les femmes, elles, ont conquis les hommes par leur estomac. Comme il est fascinant de revenir sur les pages de cette histoire populaire… ce grand « livre de recettes » ! Lire la suite
Au fil des ans, revue de la Société historique de Bellechasse, vol. 30, no. 3  - Regard sur notre patrimoine, Les récoltes
30 novembre 2023
La Société historique de Bellechasse vous présente ce dossier sur les les récoltes. À l'automne, à l’approche de la saison qui rapporte fruits, céréales, fourrages, légumes que nos ancêtres ont su convertir en grains, farines, conserves, textiles, etc. Nous avons voulu mettre en contexte les défis passés, mais aussi ceux d’aujourd’hui, pour tous ces gens de la région de Bellechasse qui vivent directement des récoltes et qui leur consacrent temps, énergie et savoir-faire. En espérant que vous ferez des découvertes qui vous en apprendront plus sur les traditions anciennes, sur les gens d’ici et qui vous feront apprécier l’exceptionnel été chaud qui laisse tranquillement place à l’automne. Lire la suite
Au fil des ans, revue de la Société historique de Bellechasse, vol. 30, no. 1 - Regard sur notre patrimoine, Le temps des sucres
01 décembre 2023
la Société historique de Bellechasse a pensé vous concocter un dossier sur le temps des sucres, donc sur la culture et l’exploitation de l’érable, autrement dit l’acériculture. Bien entendu, on évoquera les travaux de Réjean Bilodeau, lesquels ont amené la MRC de Bellechasse, voici un an, par résolution du conseil des maires à reconnaître Bellechasse comme le Berceau mondial de la technologie acéricole. Notons d’ailleurs que le tome II des recherches de Réjean sera publié le 19 mai 2018. Nous profiterons donc de ce numéro d’Au fil des ans, pour faire un bref survol de son travail colossal. Écrire sur l’acériculture, c’est écrire sur nos racines, sur ce qui nous distingue et nous unit comme Bellechassois. Qu’ils soient le fruit des recherches de scientifiques ou du travail du paysan ou de l’artisan, les produits de l’érable sont maintenant connus bien au-delà de notre région, mais spécialement en tant que Bellechassois, toutes et tous, nous avons une histoire de cabane à sucre à raconter. Se souvenir, c’est maintenir vivantes nos racines ! Lire la suite
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10 septembre 2024
Si le cheval a été souvent utilisé pour tirer différents moyens de transport, la race bovine a été également mise à contribution comme en fait foi cette photographie prise à Douglastown, en Gaspésie, en 1940.  
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28 août 2024
LES FAMILLES DE LA CÔTE-DU-SUD, UNE MOSAÏQUE À DÉCOUVRIR – LA FAMILLE LANGLAIS C'est une belle et grande famille qui prend la pose devant le photographe il y a de cela presque 100 ans. Cette famille est celle de Philippe Langlais et Adèle Jean mariés le 18 juin 1906 à Saint-Philippe-de-Néri. Les plus physionomistes auront reconnu, à l'avant, au centre, le petit Maurice (1921-2009) qui sera ordonné prêtre en 1949 et qui sera notamment curé à Saint-Mathieu de Montmagny et Mont-Carmel. SAVIEZ-VOUS QUE? Les familles Langlais de la région ne portaient pas ce nom à l’origine. Elles descendent de Daniel Sargent, originaire du village de Worcester, au Massachusetts. Pris en captivité lors d’un raid et établi à Rivière-Ouelle, il sera connu sous le nom de Louis-Philippe Langlais. Il épousera Marguerite Lavoie en 1718 et plusieurs descendants du couple sont bien présents dans la région. Des notes généalogiques concernant cette famille à l’histoire particulière (et bien d'autres) sont conservées et accessibles aux Archives de la Côte-du-Sud à La Pocatère.   Lire la suite
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28 août 2024
LES FAMILLES DE LA CÔTE-DU-SUD, UNE MOSAÏQUE À DÉCOUVRIR – LA FAMILLE COURCY Plusieurs familles de la région sont originaires de Normandie et celle dont il est question aujourd’hui ne fait pas exception. Nicolas Lemière dit Courcy, fils de Nicolas et de Marie-Anne Hélaine, épouse, le 11 novembre 1749 à Rivière-Ouelle, Louise-Geneviève Dubé, fille d’Alexandre et de Jeanne-Marguerite Lévesque. La famille demeure principalement à Sainte-Anne-de-la-Pocatière où naît la majorité des enfants. Décédant subitement à Kamouraska, Nicolas y est inhumé le 26 août 1798. On indique qu’il avait 81 ans. Sa veuve sera portée en terre à Sainte-Anne-de-la-Pocatière le 28 mai 1809 à l’âge de 79 ans. Parmi les trois fils du couple qui assureront la perpétuation du nom se trouve Jean-Benoit (1778-1859) ancêtre de Pantaléon Courcy que l’on voit sur la photo avec son épouse Exilda D’Anjou et leurs enfants au début des années 1910. Cette famille demeurait à Saint-Pacôme, Pantaléon y exerçant les métiers de cordonnier et de menuisier. SAVIEZ-VOUS QUE? La famille Lemière était originaire de la paroisse de Courcy, du diocèse de Coutances en Normandie, d’où le surnom transmis aux générations suivantes.   Lire la suite
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28 août 2024
LES FAMILLES DE LA CÔTE-DU-SUD, UNE MOSAÏQUE À DÉCOUVRIR – LA FAMILLE LAVOIE René Lavoie, fils de René et Isabeau Bélanger, est baptisé le 28 novembre 1628 à Saint-Maclou de Rouen, en Normandie. Comme quelques-uns de ses congénères, il s’embarque pour la Nouvelle-France et épouse Anne Godin à Québec en 1656. Il est inhumé en 1696 à Château-Richer. Anne Godin, décédée à Sainte-Anne-de-Beaupré en 1678, avait été baptisée au temple protestant à La Rochelle le 18 octobre 1639. Ce sera leur fils Jean, marié à Marie-Madeleine Boucher en 1688 à Rivière-Ouelle qui assurera une nombreuse descendance à René et Anne sur la Côte-du-Sud. Au fil des ans les membres de la famille émigreront à leur tour un peu partout au Québec, au Canada et aux États-Unis. C’est ce qui est arrivé avec la famille de François Lavoie de Lawrence, au Massachusetts (photographie jointe) dont la fille, Exilia a épousé en 1913 Eugène Lévesque, fils de Joseph Lévesque et Oliva Bouchard, originaire de Saint-Bruno de Kamouraska.   Lire la suite
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