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Grandes cultures, Avertissement No 23, 16 septembre 2022
16 septembre 2022
Ver-gris occidental des haricots : évaluer les dommages pour planifier la récolte et la prochaine saison. Vergerette du Canada : résistance au glyphosate et sa gestion à l'automne.   VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS : ÉVALUER LES DOMMAGES POUR PLANIFIER LA RÉCOLTE ET LA PROCHAINE SAISON M. Neau 1, J. Saguez 2 et B. Duval 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheur (CÉROM)  3. Agronome (MAPAQ)   Le mois de septembre est une période idéale pour évaluer les dommages causés par les larves de ver-gris occidental des haricots (VGOH), que ce soit dans le maïs ensilage ou dans le maïs grain. Une intervention phytosanitaire serait inutile à ce temps-ci de l’année, mais cette évaluation permet de mieux planifier la récolte et la prochaine saison de culture. Au cours de l’été, les larves ont pu s’alimenter sur les épis, causant des dommages caractérisés par la présence de trous et de galeries dans les spathes (feuilles entourant l’épi) et les grains. En général, les larves entrent dans l’épi par les soies et n’affectent que l’apex de l’épi, causant peu de perte de rendement. Parfois, les larves creusent un trou au milieu ou au bas de l’épi. Plus l’évaluation des dommages est faite tôt, plus on a de chance d’observer des larves dans les épis et de confirmer qu’il s’agit bien de dommages de VGOH. D’autres insectes (ver de l’épi, légionnaire d’automne, pyrale du maïs, etc.) peuvent également être observés dans les épis (voir plus bas comment les reconnaître). Si l’évaluation est faite plus tard, les larves de VGOH auront cessé de s’alimenter et seront tombées au sol afin de compléter leur cycle de développement. L’évaluation devrait être réalisée sur 10 épis consécutifs par rang à 10 endroits bien répartis dans le champ, pour un total de 100 épis par champ. Ôtez les spathes et observez les épis sur toute leur longueur. Notez le nombre d’épis endommagés sur l’ensemble des épis observés pour obtenir un pourcentage d’infestation. Ce sera aussi Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 22, 1er septembre 2022
01 septembre 2022
Chrysomèle du haricot : toujours peu de dommages aux gousses et baisse des populations. Cécidomyie orangée du blé : présente, mais peu de dommages aux grains.   LA CHRYSOMÈLE DU HARICOT : TOUJOURS PEU DE DOMMAGES AUX GOUSSES ET BAISSE DES POPULATIONS S. Boquel 1, M. Neau 2, Y. Faucher 3 et V. Samson 3 1. Chercheur (CÉROM)  2. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  3. Agronomes (MAPAQ)   Parmi les treize champs suivis en Lanaudière (2) et en Montérégie (11) par le RAP Grandes cultures, une baisse des populations de chrysomèles du haricot a été observée dans la plupart de ces champs. Les champs situés en Montérégie-Ouest étaient ceux qui, à la mi-août, présentaient une abondance élevée de chrysomèles du haricot (de 5 à 16 chrysomèles par coup de filet fauchoir). Malgré cette présence élevée, la défoliation et les dommages aux gousses sont restés faibles, à l’exception d’un site à Saint-Urbain-Premier où environ 8 % des gousses étaient endommagées. Le suivi des champs est donc toujours recommandé, notamment dans ceux où les populations de chrysomèles du haricot étaient élevées.   En cas d’atteinte d'un des seuils d’intervention (disponibles dans l’avertissement N° 16 du 29 juillet 2022), un traitement foliaire peut être appliqué si les chrysomèles sont toujours présentes et actives. Une fois que les gousses ont jauni, elles deviennent peu attrayantes et sont donc moins susceptibles d'être endommagées par les chrysomèles. Une intervention à ce stade ne serait pas justifiée puisque les plants seront délaissés et les chrysomèles seront également moins présentes. À noter que la rentabilité d’une intervention phytosanitaire contre la chrysomèle du haricot n’est pas encore démontrée au Québec. Une étude portant sur le sujet a débuté cette année au Centre de recherche sur les grains (CÉROM).   Gousse légèrement grignotée par la chrysomèle du haricot Photo : S. Boquel (CÉROM) Pour en savoir plus sur la chrysomèle du haricot et son dépistage, Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 21, 30 août 2022
30 août 2022
  INTRODUCTION À LA FICHE TECHNIQUE PENSEZ AUX CÉRÉALES D’AUTOMNE M. Neau 1, S. Brousseau-Trudel 2, J. Saguez 3 et H. Brassard 2 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Agronomes (MAPAQ)  3. Chercheur (CÉROM)   À cette période de l’année, plusieurs pensent aux semis de céréales d’automne. Ce type de culture génère de nombreux bénéfices agronomiques, économiques et environnementaux lorsqu’intégré dans la rotation. La fiche technique Pensez aux céréales d’automne présente les points à considérer avant de semer une céréale d’automne pour maximiser la réussite de l’établissement et de la survie hivernale. Les prochaines semaines sont également propices au développement de certains ravageurs pouvant s’attaquer aux céréales d’automne, dont la tipule des prairies et la noctuelle fiancée. Une attention particulière doit donc être portée dans les champs en semis direct et dans ceux ayant déjà eu un historique d’infestation.     Toute intervention envers un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique, physique et chimique). Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) préconise la gestion intégrée des ennemis des cultures et la réduction des pesticides et de leurs risques.   Cet avertissement a été révisé par la Direction de la phytoprotection (MAPAQ). Pour des renseignements complémentaires, vous pouvez contacter l’avertisseur du réseau Grandes cultures ou le secrétariat du RAP. La reproduction de ce document ou de l’une de ses parties est autorisée à condition d'en mentionner la source. Toute utilisation à des fins commerciales ou publicitaires est cependant strictement interdite. Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 20, 26 août 2022
26 août 2022
Ver-gris occidental du haricot : moment idéal pour dépister les larves dans les épis. Pourriture à sclérotes du soya : que faire en présence de la maladie à des stades avancés?   VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS : MOMENT IDÉAL POUR DÉPISTER LES LARVES DANS LES ÉPIS M. Neau 1, J. Saguez 2, V. Samson 3 et S. Brousseau-Trudel 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheur (CÉROM)  3. Agronomes (MAPAQ)   Les captures de papillons de ver-gris occidental du haricot (VGOH) sont maintenant faibles et la majorité des œufs pondus durant la période d’activité des papillons devraient avoir éclos. C’est le moment de l’année où des larves et des dommages (trous, galeries, présence d’excréments et de champignons pathogènes) peuvent être observés sur les épis. La taille des larves peut varier selon la région et les dates de ponte des masses d’œufs. Lorsque les larves sont dans les épis, elles sont protégées par les feuilles qui enveloppent les épis et un traitement phytosanitaire n’est plus pertinent. Un dépistage dans les champs est cependant utile pour plusieurs raisons : Vérifier que la stratégie adoptée au moment de la ponte a été efficace (traitement ou absence de traitement). S’assurer que les hybrides ayant la technologie Bt Viptera ont bien été protégés contre le VGOH. Déterminer quelle méthode de lutte pourrait être envisagée l’an prochain si les larves sont abondantes. Prioriser la récolte des champs les plus infestés : la présence de larves dans les épis pourrait augmenter les risques de développement de moisissures. Garantir un bon diagnostic : les dommages causés par les larves de VGOH peuvent être confondus avec ceux d’autres larves, d’où l’intérêt de dépister avant que les larves de VGOH ne s’enfouissent dans le sol pour passer l’hiver. Le dépistage des larves de VGOH peut se faire à 10 endroits bien répartis dans le champ sur 10 épis consécutifs par rang. Il est nécessaire d'éplucher les épis afin de bien voir les Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 19, 19 août 2022
18 août 2022
Ver-gris occidental du haricot : forte diminution des captures, les champs où le maïs est au stade floraison sont à surveiller. Puceron du soya : forte diminution des populations. Chrysomèle du haricot : abondances élevées en Montérégie-Ouest, mais peu de dommages aux gousses. Jaunissement du soya en fin de saison : normal ou pas? Amarante tuberculée : bon moment pour la dépister et l'arracher. « Taches » blanches sous les feuilles de soya : une chenille peut en être la cause, mais rien d'inquiétant.   VER-GRIS OCCIDENTAL DU HARICOT : LES CAPTURES DE PAPILLONS ONT FORTEMENT DIMINUÉ, MAIS SURVEILLEZ LES CHAMPS DE MAÏS AU STADE FLORAISON M. Neau 1, V. Samson 2, J. Saguez 3, B. Duval 2 et S. Brousseau-Trudel 2 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Agronomes (MAPAQ)  3. Chercheur (CÉROM)   Depuis la semaine dernière, les captures de papillons du ver-gris occidental du haricot (VGOH) ont diminué de moitié à travers le Québec (voir graphique ci-bas). Malgré tout, la ponte n'est pas forcément terminée, particulièrement dans les champs de maïs qui sont encore au stade floraison. Le dépistage des masses d’œufs et des jeunes larves de VGOH est nécessaire pour connaître le pourcentage de plants infestés et déterminer si une intervention phytosanitaire est requise.     Sur les 42 champs dépistés cette semaine par le RAP Grandes cultures, quelques masses d’œufs fraîches ont été observées dans un champ seulement. Comme des papillons sont encore présents et que certains champs sont encore au stade floraison, il est possible que les femelles pondent dans ces champs. Par le passé, il a déjà été observé que des masses d’œufs peuvent être pondues plus près des épis en fin de saison. Quelques dépisteurs ont rapporté avoir observé des larves d’environ 1 à 1,5 cm dans les épis de certains champs (Montérégie et Estrie). L’évaluation des dommages aux épis pourra être effectuée dans quelques semaines pour prendre une décision sur la stratégie à Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 18, 12 août 2022
12 août 2022
Ver-gris occidental du haricot : augmentation des captures, dépistage des masses d'oeufs recommandé. Puceron du soya : diminution des populations, dépistage recommandé dans les champs n'ayant pas atteint le stade R5. Verse du maïs : causes possibles. Chrysomèle des racines du maïs : cols d'oie observés. Syndrome de la mort subite : deux cas en Montérégie. Carence en potassium dans le soya : jusqu'à quand peut-on intervenir? Taches mauves ou brunes à la base des feuilles de maïs : pas d'inquiétude à avoir.   VER-GRIS OCCIDENTAL DU HARICOT : LES CAPTURES DE PAPILLONS CONTINUENT D’AUGMENTER DÉPISTAGE DES MASSES D’OEUFS RECOMMANDÉ DANS LES CHAMPS À RISQUE M. Neau 1, J. Saguez 2, J. Breault 3 et B. Duval 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheur (CÉROM)  3. Agronomes (MAPAQ)   Les captures de papillons du ver-gris occidental du haricot (VGOH) ont continué d’augmenter dans la quasi-totalité des régions au Québec. C’est la première année, depuis le début du suivi de cet insecte en 2010, que la moyenne provinciale dépasse 200 papillons par piège. Rappelons toutefois que ce n’est pas le nombre de papillons qui justifie ou non une intervention phytosanitaire, mais bien le pourcentage de plants infestés par des masses d’œufs ou de jeunes larves.   Dans le cadre du RAP Grandes cultures, sur 33 champs dépistés cette semaine, sept masses d’œufs ont été observées dans cinq champs : une en Chaudière-Appalaches (1 champ), deux en Montérégie-Ouest (2 champs) et quatre en Outaouais (2 champs). De nouvelles masses d’œufs ont été observées dans les deux champs de Sainte-Victoire-de-Sorel, semés avec des hybrides Bt Viptera et dépassant le seuil d’intervention. La plupart de ces masses d’œufs étaient écloses et quelques-unes étaient sur le point d’éclore. D’autre part, un champ présentant un nombre important de masses d’œufs dans le secteur de Mirabel a été rapporté au RAP Grandes cultures. Lors du dépistage, il est important Lire la suite
05 août 2022
Grandes cultures, Avertissement No 17, 5 août 2022
03 août 2022
Grandes cultures, Avertissement No 16, 29 juillet 2022
Grandes cultures, Avertissement No 15, 22 juillet 2022
21 juillet 2022
Puceron du soya : dépistage recommandé dans la plupart des régions. Altises à tête rouge : observées dans du maïs (stades végétatifs), mais pas d'inquiétude. Pourriture à sclérotes du soya : suivi et vigilance. Pucerons et virus de la jaunisse nanisante de l'orge : présence observée dans des céréales de printemps. Mauvaises herbes : dépistage et détection de résistances. Ravageurs du canola : situation tranquille. Ver-gris occidental des haricots : faibles captures de papillons, dépistage dans les champs à risque.   PUCERON DU SOYA : DÉPISTAGE RECOMMANDÉ DANS LA PLUPART DES RÉGIONS S. Mathieu 1, B. Duval 1, J. Breault 1, J. Saguez 2 et M. Neau 3 1. Agronomes (MAPAQ)  2. Chercheur (CÉROM)  3. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)   Les populations du puceron du soya sont en augmentation dans plusieurs champs suivis par le RAP Grandes cultures depuis la semaine dernière. Puisque l’ensemble des champs de soya sont encore à un stade de développement critique face à ce ravageur, le dépistage des champs est recommandé pour les régions du Centre-du-Québec, de l'Estrie, de Lanaudière, des Laurentides et de la Montérégie. Le seuil d’alerte (moyenne de 250 pucerons/plant) indiquant qu’il faut suivre les champs de près a été atteint dans 15 des 65 champs dépistés par le RAP (voir les données). La densité de pucerons par plant et d’ennemis naturels étant variable d’un champ à l’autre, il est important de faire une vigie dans chaque champ. Pour rappel, il n’est pas justifié de traiter à partir de 250 pucerons/plant. Ce seuil indique qu’il faut dépister plus régulièrement les populations de pucerons, évaluer le stress causé aux plants et suivre l’évolution des ennemis naturels avant de décider s’il faut intervenir. Il est donc important d’effectuer deux dépistages espacés de trois à sept jours afin de connaître l’évolution du nombre de pucerons.   Certains facteurs pourraient aider à contrôler les populations de pucerons dans les prochains jours : Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 14, 15 juillet 2022
15 juillet 2022
Puceron du soya : seuil d'alerte non atteint (majorité des champs dépistés). Insectes défoliateurs du soya : à surveiller. Carence en potassium dans le soya : à surveiller. Pourriture phytophtoréenne : quelques cas observés. Pourriture à sclérotes du soya : champs à risque? Maladies dans les céréales : à surveiller. Pucerons dans les céréales : faut-il s'en préoccuper? Chrysomèle des racines du maïs : évaluation des dommages racinaires et dépistage des adultes à prévoir dans les prochaines semaines.     PUCERON DU SOYA : LA MAJORITÉ DES SITES NE DÉPASSENT PAS LE SEUIL D'ALERTE M. Neau 1, S. Boquel 2, J. Saguez 2, J. Breault 3, S. Mathieu 3 et V. Samson 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheurs (CÉROM)  3. Agronomes (MAPAQ)   Parmi la soixantaine de champs dépistés cette semaine par le RAP Grandes cultures, quatre sont près du seuil d’alerte de 250 pucerons par plant, et seulement cinq l’ont dépassé. Pour rappel, ce seuil n’est pas un seuil d’intervention. Il indique qu’il faut suivre les champs de près, dépister tous les trois à sept jours pour noter l’évolution des populations de pucerons et l’abondance des ennemis naturels, et tenir compte de plusieurs facteurs avant d’intervenir. Le puceron du soya peut affecter la culture jusqu’au stade « R5 ». La plupart des champs sont encore loin de ce stade. Pour rappel, un traitement phytosanitaire hâtif entraîne un risque de réinfestation du champ par le puceron en éliminant les ennemis naturels, comme les coccinelles. Le dépistage est recommandé, particulièrement en Lanaudière, dans les Laurentides et en Montérégie, où les populations sont actuellement plus abondantes. Les autres régions semblent pour le moment épargnées. En plus de la quantité de pucerons, le niveau de stress subi par la culture et la présence d’ennemis naturels sont des éléments à prendre en compte pour juger de la pertinence d’un traitement. Certains cultivars tolèrent beaucoup mieux la présence Lire la suite
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