Le secteur de la pomme de terre génère des coproduits provenant du marché frais (tubercules hors calibre, verts, déformés, déclassés) ainsi que des coproduits provenant de l’industrie de transformation alimentaire. Au Québec, la gestion de telles matières organiques est obligatoire et passe par leur valorisation puisque l'enfouissement des matières organiques sera banni dès 2025. Ces résidus de pommes de terre sont caractérisés par leur richesse en amidon qu'il faut exploiter. De nos jours, avec l’accroissement et la généralisation des concepts de développement durable, le marché des biopolymères issus de ressources renouvelables est une réalité. 

(Ce document a été déposé via une collaboration du CRPTQ afin de faire connaître les avancées de la recherche).