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10 septembre 2024
Thrips parvispinus dans les plantes tropicales. Suivi des ravageurs du poinsettia. THRIPS PARVISPINUS Thrips parvispinus a été observé dans plusieurs espèces de plantes tropicales en serre, dont Gardenia, Schefflera, Passiflora et Adenium. Malgré la présence de peu d’individus détectables,
les dommages sont importants, particulièrement aux apex des plants. La taille des végétaux affectés est parfois nécessaire, afin de les rendre vendables à nouveau. Selon une récente étude américaine, les insecticides à base d’huile minérale ou de spinosad sont parmi les plus efficaces contre cet insecte. Dommages de Thrips parvispinus sur Schefflera sp. Photo : IQDHO Dommages de Thrips parvispinus sur Schefflera sp. Photo : IQDHO RAVAGEURS DU POINSETTIA La vigilance est aussi de mise quant à Thrips parvispinus dans la culture du poinsettia. En effet, la spécialiste de l’Ontario, Sarah Jandricic, a publié un texte au sujet d'un cas où Thrips parvispinus se serait introduit dans les serres de poinsettia via des plantes tropicales, causant des dommages (voir). Des cas suspects non confirmés ont été aperçus au Québec. Les entreprises qui hébergent à la fois des plantes tropicales et des poinsettias devraient donc éviter de les placer dans des serres communes. Si c’est déjà fait, ouvrir l’œil pour détecter les symptômes. Consulter un agronome ou envoyer des échantillons au Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ pour une identification. Le tétranyque de Lewis (Eotetranychus lewisi) est encore observé occasionnellement par nos collaborateurs. Les populations sont faibles, mais des interventions locales sont recommandées, ainsi qu’un dépistage rigoureux et régulier. L’aleurode du tabac (Bemisia tabaci) est présent dans plusieurs serres de poinsettia. À ce jour, on nous rapporte un contrôle satisfaisant autant par la lutte biologique que conventionnelle. Le décompte hebdomadaire sur des pièges
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29 juillet 2024
Tétranyque de Lewis et aleurodes dans le poinsettia. Autres observations. TÉTRANYQUE DE LEWIS DANS LE POINSETTIA Le tétranyque de Lewis (Eotetranychus lewisi) et ses dommages ont été observés par nos collaborateurs sur des boutures livrées dans les dernières semaines. Certains plateaux étaient fortement atteints.
Cet acarien de couleur jaune blanchâtre est plus petit (0,36 mm) que le tétranyque à deux points (0,5 mm). Il a plusieurs petits points noirs de chaque côté du corps. Il s’installe et se nourrit à la face inférieure des feuilles. Les dommages sont similaires à ceux du tétranyque à deux points, soit l’apparition de petites taches jaunes sur les feuilles allant jusqu’à une décoloration bronzée de tout le feuillage. Les symptômes pourraient être confondus avec ceux de carences minérales. Ces tétranyques préfèreraient les feuilles matures de poinsettia. On peut observer ses toiles lors de fortes infestations. En lutte biologique, l’acarien prédateur Neoseiulus fallacis est le plus souvent recommandé. Amblyseius andersonii et Neoseiulus californicus peuvent aussi contribuer au contrôle du tétranyque de Lewis. Quoique Phytoseiulus persimilis soit très efficace pour le contrôle du tétranyque à deux points, il ne le serait pas pour le contrôle du tétranyque de Lewis, selon des recherches scientifiques. Dommages de tétranyque de Lewis sur la face supérieure de la feuille de poinsettia (Cliquer sur la photo pour agrandir) Photo : IQDHO Dommages de tétranyque de Lewis au revers de la feuille de poinsettia (Cliquer sur la photo pour agrandir) Photo : IQDHO Tétranyques de Lewis sur une feuille de poinsettia (Cliquer sur la photo pour agrandir) Photo : IQDHO ALEURODES Aleurode du tabac (Bemisia tabaci) sur poinsettia Photo : IQDHO Des aleurodes ont été détectés dans les arrivages de boutures et les jeunes plantations de poinsettia. Les populations semblent plus élevées qu’à l’habitude
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