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Nouveau
08 mars 2024
Ce projet de recherche visait à optimiser les pratiques de binage tardif pour la suppression efficace des mauvaises herbes tout en maximisant le rendement des cultures semées à rangs étroits. Il s'est déroulé à la Plateforme d'innovation en agriculture biologique de l'IRDA à Saint-Bruno-de-Montarville en 2019, 2021 et 2022,
avec les cultures de haricot vert, de petit pois et de soya. Les objectifs de l'étude étaient : 1) l’évaluation des outils et vitesse appropriés pour le binage tardif; 2) la détermination des stades optimaux des cultures pour le binage tardif; 3) l'évaluation de l'effet de l'utilisation de voies d'accès et de l'espacement entre les rangs sur le rendement des cultures; 4) l'évaluation de l'impact de l'ajout d'un système de guidage avec caméra combiné à la bineuse sur la vitesse et la précision du binage. Les résultats de l’objectif 1 indiquent que l'utilisation des socs plats à 4 ou 6 km/h, ainsi que des socs à pattes d'oie à 6 km/h, semble être la stratégie de désherbage la plus efficace pour le binage tardif dans les cultures à rangs étroits étudiées. Pour les stades optimaux de croissance, le petit pois pouvait être désherbé jusqu’au stade de 5-6 entrenoeuds, le soya jusqu’au stade de trois feuilles trifoliées et le haricot vert jusqu’au stade de deux feuilles trifoliées, sans dommages. Pour l’objectif 3, l’ajout de voies d’accès n’a pas eu d’effet sur les rendements dans le petit pois, cependant, les parcelles avec voies d'accès semblaient favoriser une plus grande présence de mauvaises herbes. Pour le haricot vert, un espacement plus étroit (19 cm) a entraîné un rendement supérieur par rapport à un espacement plus large (76 cm), malgré que les espacements plus large (38 et 76 cm) facilitaient le contrôle des mauvaises herbes. Pour le soya, les rendements étaient généralement plus élevés avec un espacement de rang plus étroit (19 cm) sans binage tardif, tandis que le binage tardif avait tendance à réduire les rendements. Mais contrairement au haricot,
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Mise à jour
18 mars 2024
Afin de freiner la dissémination de la mouche du bleuet plus largement sur le territoire du Saguenay-Lac-St-Jean et d’empêcher son introduction sur la Côte-Nord et en Abitibi, il est nécessaire de mettre en place une stratégie. L’instauration de mesures de biosécurité dans les entreprises en fait partie. Deux modèles de
stations de biosécurité ont donc été développés et documentés afin de permettre aux producteurs et productrices d’appliquer les principes de prévention et de biosécurité. Le but est de sensibiliser les producteurs et productrices à l’utilisation de station de biosécurité et de leur fournir une solution clé en main afin qu’ils puissent tous en faire l’installation dans leur bleuetière. En complément d'information, une vidéo est également disponible. Pour plus d'informations, voir la Trousse de biosécurité bleuet nain sur Agri-Réseau.
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16 février 2024
Le cas du maïs sucré – En 2016, le ver-gris occidental du haricot (VGOH), Striacosta albicosta, a fait son apparition dans les champs de maïs sucré au Québec, tandis que la pyrale du maïs (PM), Ostrinia nubilalis, exerce une pression moindre depuis plusieurs années. Cette situation soulève des questions concernant l’évolution
des populations de lépidoptères ravageurs du maïs sucré et suscite la nécessité d’adapter les stratégies d’intervention. Pour répondre à ces questionnements, l’IRDA a mis sur pieds en 2020 le projet : « Dynamique des populations des ravageurs lépidoptères du maïs sucré et recommandations d’adaptations des stratégies de lutte ».
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30 janvier 2024
Dans le cadre de son projet Portrait du compostage à la ferme des résidus végétaux générés par les entreprises maraîchères québécoises : fermes type, suivis et défis, l’IRDA a développé des outils pour aider les producteurs maraîchers et les agronomes à élaborer des stratégies de gestion des résidus végétaux par le compostage.
À propos du projet Bien que le compostage soit un mode de gestion connu depuis de nombreuses années, son application sur les fermes est encore aujourd’hui marginale. Le présent projet visait entre autres à comprendre pourquoi, en dépit des avantages qu’il procure, le compostage ne parvient pas à s’implanter de façon pérenne sur les exploitations agricoles maraîchères québécoises. Pour tenter d’y répondre, des consultations et rencontres ont été faites auprès de certains producteurs maraîchers et entreprises maraîchères situées dans diverses régions du Québec afin d’identifier notamment les freins et les leviers concernant les activités de compostage à la ferme. Malgré les différents défis identifiés, il s’avère que le compostage suscite toujours de l’intérêt comme technique de gestion des RV et de production de compost?; de nombreuses questions tant sur les avantages et les techniques du compostage à la ferme que sur les caractéristiques du compost et les avantages liés à son emploi comme amendement de sol. Ce projet a été financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation dans le cadre du programme Prime-Vert. Les outils pour les producteurs agricoles maraîchers et les agronomes 1. Aide-mémoire pour les conseillers Cet outil vise à rappeler les différents éléments à considérer avant de commencer à composter ou encore pour effectuer un suivi du compostage ou valoriser le compost produit. 2. Fiche synthèse du projet 3. Cadre règlementaire applicable au compostage de résidus végétaux à la ferme Au Québec, les activités de compostage et d’utilisation de compost à la ferme sont encadrées par certaines lois, des règlements,
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