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298 documents disponibles
Nouveau
25 janvier 2023
Le Hopguard 3 est homologué au Canada depuis le 24 octobre 2022 par l'Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire (ARLA) de Santé Canada. L'étiquette en anglais peut être consultée en cliquant sur le numéro d'homologuation. L'étiquette mentionne le mode d'utilisation recommandée ainsi que les précautions à prendre.

13 janvier 2023
AU RUCHER CETTE SEMAINE 13 janvier 2023 Webinaire Un rappel que le webinaire Le traitement estival de Varroa destructor : quand, comment et pourquoi sera présenté par Laurence Plamondon mercredi le 25 janvier 2023 à 19h. Le webinaire ne sera pas disponible pour réécoute immédiatement après sa diffusion, donc assurez-vous
de l’écouter en direct! Il est encore temps de s’inscrire en cliquant ici. Actualité scientifique Un vaccin révolutionnaire (?) contre la loque américaine Dans les derniers jours, les médias ont abondamment parlé d’un nouveau vaccin contre la loque américaine produit par la compagnie Dalan Animal Health. Celui-ci a été approuvé pour la commercialisation par le Département américain de l’agriculture (USDA). Voici quelques éléments qui vous aideront à mieux comprendre ce sujet d’actualité. La loque américaine est une maladie du couvain causée par la bactérie Paenibacillus larvae et affecte les larves des abeilles après l’ingestion des spores. Les larves âgées de 24 à 48h sont les plus susceptibles à l’infection. Lorsque les spores atteignent l’intestin de la larve, elles germent et se multiplient, causant sa mort. Chaque larve infectée peut produire jusqu’à 2 millions de spores, qui sont par la suite disséminées dans la ruche par les abeilles nettoyeuses. Il ne faut que 10 spores pour infecter une larve saine. Les antibiotiques qui peuvent être utilisés pour le traitement de cette maladie (l’oxytétracycline par exemple), sont donnés une fois que les signes cliniques sont visibles dans la ruche. Ils ne permettent pas de guérir la maladie, ni de détruire les spores (qui sont ultra résistants, en passant!), mais seulement d’empêcher la croissance et la multiplication de la bactérie – et donc de «camoufler» les signes cliniques. Le meilleur moyen à ce jour pour enrayer cette maladie hyper contagieuse est de brûler les colonies atteintes. Outre l’adoption de bonnes pratiques apicoles et l’utilisation d’abeilles hygiéniques, il n’existe pas
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15 décembre 2022
AU RUCHER CETTE SEMAINE 16 décembre 2022 Journée d’échange sur les bonnes pratiques en pollinisation Le 14 décembre dernier avait lieu la journée d’échange sur les bonnes pratiques en pollinisation. Une centaine de personnes étaient présentes dans la salle de conférence à Drummondville, ainsi qu’une cinquantaine de personnes
qui assistaient en webdiffusion. L’objectif de cette journée était de présenter la réalité de production des principaux acteurs de la pollinisation, soit les apiculteurs, les producteurs de bleuets et les producteurs de canneberges, afin de favoriser la communication et les échanges entre ces secteurs. Les impressions récoltées « à chaud » pendant et après l’événement étaient très positifs. Les données officielles du résultat du sondage d’appréciation mené par le CRAAQ permettront (je l’espère!) de confirmer ces rumeurs. Un résumé des conférences présentées lors de cette journée sera publié dans le numéro d’hiver 2023 de la revue l’Abeille. Restez à l’affut! Actualité scientifique: les abeilles vivent moins longtemps maintenant qu’il y a 50 ans En recherche, on utilise fréquemment les abeilles en cagette afin de documenter l’effet de différentes maladies, produits ou stresseurs. Il peut s’agir, par exemple, de produits destinés à traiter les maladies des abeilles ou encore de pesticides. L’utilisation des cagettes est souvent une première étape pour observer l’effet de ces différents produits sur les individus, avant de poursuivre la recherche à l’échelle de la colonie. L’utilisation des cagettes est une solution économique qui permet de mieux contrôler les paramètres environnementaux (température, humidité, etc.) et les doses qui sont données aux abeilles. Abeilles en cagettes © Marie-Lou Morin Depuis les années 1970, les protocoles de soins aux abeilles se sont raffinés en identifiant par exemple, les paramètres d’humidité et de température optimaux pour les abeilles, ainsi que les éléments qui devraient composer une diète idéale. Un environnement
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06 décembre 2022
AU RUCHER CETTE SEMAINE 9 décembre 2022 Webinaire! Le troisième webinaire de la saison sera présenté par Laurence Plamondon, professionnelle de recherche au CRSAD. Il sera présenté le 25 janvier 2023, à 19h. Pour vous inscrire, c’est ici. Le traitement estival de Varroa destructor : quand, comment et pourquoi. Le parasite
Varroa destructor est la plus grande menace pour la santé de l’abeille mellifère. Malgré la lutte intégrée actuelle, les apiculteurs sont victimes de mortalités hivernales importantes. Il est évident qu’il faut revoir la gestion de ce parasite qui s’effectue traditionnellement au début de l’automne soit après la production des abeilles d’hiver qui assurent la survie de la colonie jusqu’au printemps suivant. Cependant, l’application de traitements acaricides estivaux a été peu étudiée en régions tempérées et peu d’options sont disponibles au Canada sans risque de contamination du miel. Le développement d’un nouveau traitement d’été à base d’acide oxalique semble être une voie intéressante afin de combler ces lacunes, mais où en sont les recherches à ce sujet et quels sont les impacts d'un tel traitement sur les performances, les virus et la mortalité hivernale des colonies? Pupes d’abeilles et varroas dans les alvéoles © Laurence Plamondon La rediffusion du webinaire sera disponible sur la page Youtube du CRSAD, MAIS À UNE DATE ULTÉRIEURE SEULEMENT. Les participants inscrits seront avisés par courriel lorsqu'il sera disponible. Pour ne rien manquer sur le traitement estival du varroa, assistez à ce webinaire en direct! Bulletin rédigé par Laurence Plamondon, professionnelle de recherche | CRSAD et par Martine Bernier, responsable du transfert technologique et de la formation en apiculture | CRSAD
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18 novembre 2022
Qu’est-ce que les comportements hygiéniques peuvent apporter à l’apiculture québécoise? Le super-organisme qu’est la colonie d’abeilles opte de stratégies fascinantes pour combattre les parasites et pathogènes qui la menacent. Par exemple, les comportements hygiéniques ont fortement été étudiées dans les dernières années
pour leur potentiel dans la lutte intégrée à plusieurs maladies puisqu’on peut assez facilement les mesurer et qu’ils sont héritables (transmissibles de génération en génération). Bien qu’ils soient intéressants à étudier, les mécanismes et la terminologie peuvent parfois être complexes à interpréter et appliquer concrètement au monde de l’apiculture. Venez en apprendre plus sur les différents comportements hygiéniques de l’abeille et les perspectives qu’ils apportent à l’apiculture québécoise! Présenté par Marie-Lou Morin, M.Sc. Cliquez sur le bouton en bas de page pour le visionner, ou cliquez ici. Voici quelques ressources complémentaires: Site web du Centre de recherche en sciences animales de Deschambault : https://crsad.qc.ca/ Site web du laboratoire de Pierre Giovenazzo: https://www.giovenazzolab.com/ Consulter le mémoire de maîtrise de Marie-Lou: https://corpus.ulaval.ca/entities/person/08ef37cc-e294-4ae0-9e72-e5cdcf617fee
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10 novembre 2022
AU RUCHER CETTE SEMAINE 18 novembre 2022 Mise en banque des reines : guide et webinaire! La mise en banque des reines pour leur conservation pendant l’été et l’hiver vous intéresse? Voici deux ressources pertinentes sur le sujet. Guide to honey bee queen banking Ce guide pratique sur la mise en banque
des reines est publié par le Project Apis m. Plusieurs experts apicoles ont contribué à sa rédaction, dont Andrée Rousseau, chercheure apicole au Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD). Le guide contient beaucoup d’informations utiles et pratiques, mais est disponible en anglais seulement. Vous pouvez le consulter et le télécharger ici : https://www.projectapism.org/honey-bee-queen-banking.html Deuxième webinaire de la saison! Le second webinaire de la saison vous sera présenté par Andrée Rousseau, M.Sc, chercheure en sciences apicoles, CRSAD. Joignez-vous à nous jeudi le 8 décembre 2022, de 19h à 20h. Pour vous inscrire, cliquez ici. Andrée Rousseau avec sa banque de reines © Chantal Srivastava La banque de reines L’accès à des reines de qualité est à la base du succès en apiculture. Le maintien d’un nombre élevé de reines en une seule colonie, appelée banque de reines, est une technique utilisée pour conserver des reines durant la saison apicole en attendant les conditions idéales pour les introduire en colonies. Des banques de reines peuvent également servir à maintenir des reines produites en fin de saison tout l’hiver afin de les utiliser au printemps avant la disponibilité des premières reines locales. Ce webinaire présentera les différentes étapes de réalisation et de maintien d’une banque de reines, les points critiques à maîtriser, le matériel utilisé, l’impact sur la physiologie et la qualité de la reine ainsi que les projets de recherche en cours. Vous ne pouvez pas être en direct avec nous? Pas de problème! Ce webinaire sera enregistré et disponible en rediffusion sur la page
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10 novembre 2022
AU RUCHER CETTE SEMAINE 11 novembre 2022 Un automne chaud… Y a-t-il quelque chose à faire avec les ruches? Les températures anormalement élevées des dernières semaines peuvent amener plusieurs questionnements quant à la gestion des ruches. Faut-il les nourrir davantage? Faut-il enlever la protection hivernale
si elle est déjà mise? Faut-il inspecter les ruches et vérifier si un essaimage se prépare? La réponse à toutes ces questions est… NON. La clef pour un hivernage réussi, c’est d’abord et avant tout une bonne préparation automnale. Il n’y a pas lieu de s’inquiéter si les 3 conditions suivantes sont respectées : Mise en hivernage de ruches viables, c’est-à-dire : avec une reine pondeuse fonctionnelle; avec une population suffisamment forte (plus de 6 cadres d’abeilles adultes en novembre, pour une ruche à 1 hausse); Nourrissage correctement fait: Quantité suffisante : 22-25 litres de sirop 2:1 pour une ruche à 1 hausse; Suffisamment tôt pour que les abeilles aient terminé de conditionner le sirop (fin du nourrissage à la fin septembre au maximum); Colonie saine et varroa sous contrôle, en ayant fait les traitements nécessaires à l’été et à l’automne, selon les résultats du dépistage. Un rucher préparé pour l’hiver © Martine Bernier Cependant, voici quelques petits bémols à apporter : Avec les températures chaudes, c'est possible que la colonie soit plus active et qu’elle ait consommé davantage de sirop (il n’y a pas vraiment de nectar disponible dans l’environnement pour combler la différence). Il est trop tard pour nourrir maintenant, car la température risque de diminuer rapidement dans les prochains jours et les abeilles n’auront pas le temps de bien conditionner le sirop. Il faudra alors vérifier les réserves de sirop un peu plus tôt ce printemps. Il est aussi possible d’ajouter du fondant sur le dessus des cadres dès cet automne si les ruches semblent légères. Il est aussi possible qu’il y ait une petite reprise de ponte dans
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04 novembre 2022
AU RUCHER CETTE SEMAINE 4 novembre 2022 À quel moment mettre les colonies en hivernement? Le froid s’installe tranquillement sur le Québec, mais ces jours-ci, la température est plus élevée que la normale saisonnière, tout dépendant où on se situe au Québec. Quel est donc le meilleur moment pour mettre les
colonies en hivernement quand le mercure joue au yoyo? Hivernement extérieur Si vous comptez hiverner vos ruches à l’extérieur, l’emballage s’installe lorsque la température dans le jour est autour de 2-3°C. C’est en général vers le début de novembre pour la majorité des années. Pour les régions périphériques (Laurentides, Saguenay-Lac-St-Jean, Gaspésie, Côte-Nord), cela peut être aussi tôt que la mi-octobre. Si l’isolant est déjà mis et qu’une semaine de températures plus chaudes s’annonce, il est inutile d’enlever la protection hivernale temporairement. Il vaut mieux laisser les abeilles tranquilles et planifier d’aller vérifier les réserves de nourriture un peu plus tôt au printemps. Ruches prêtes à passer l’hiver à l’extérieur © Martine Bernier Hivernement intérieur Pour l’hivernement intérieur, l’entrée au caveau peut se faire un peu plus tard, quand la température journalière oscille autour de 0°C, soit généralement vers la mi-novembre. Si le système de réfrigération le permet, les colonies peuvent être mises au caveau plus tôt. Par contre, il faudra attendre des températures suffisamment froides dans le cas d’un caveau qui utilise majoritairement l’air extérieur pour le refroidissement. C’est maintenant le temps de faire vos commandes d’abeilles! Vous prévoyez acheter des nucléi ou des ruches au printemps prochain? Vous allez changer vos reines à l’été 2023? C’est déjà le moment de faire vos réservations auprès de vos producteurs préférés! Pourquoi si tôt? L’hiver n’est même pas encore arrivé! Pour permettre aux éleveurs de reines et aux producteurs de nucléi de planifier leur saison et leur carnet de commandes; Pour
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26 octobre 2022
AU RUCHER CETTE SEMAINE 28 octobre 2022 Webinaire sur les comportements hygiéniques des abeilles Le premier webinaire de la saison vous sera présenté par Marie-Lou Morin. Marie-Lou est professionnelle de recherche à l’Université Laval et a complété sa maîtrise en 2022. Son projet de recherche a permis
de comparer différents comportements hygiéniques de l’abeille domestique. Qu’est-ce que les comportements hygiéniques peuvent apporter à l’apiculture québécoise? Le super-organisme qu’est la colonie d’abeilles opte de stratégies fascinantes pour combattre les parasites et pathogènes qui la menacent. Par exemple, les comportements hygiéniques ont fortement été étudiées dans les dernières années pour leur potentiel dans la lutte intégrée à plusieurs maladies puisqu’on peut assez facilement les mesurer et qu’ils sont héritables (transmissibles de génération en génération). Bien qu’ils soient intéressants à étudier, les mécanismes et la terminologie peuvent parfois être complexes à interpréter et appliquer concrètement au monde de l’apiculture. Venez en apprendre plus sur les différents comportements hygiéniques de l’abeille et les perspectives qu’ils apportent à l’apiculture québécoise! Test de comportement hygiénique | © Sylvain Gingras Mercredi le 16 novembre 2022 19h à 20h Cliquez ici pour vous inscrire au webinaire. Que voudriez-vous apprendre concernant le comportement hygiénique chez l'abeille? Inscrivez votre question à poser à Marie-Lou dans le formulaire d’inscription! Vous ne pouvez pas être en direct avec nous? Pas de problème! Ce webinaire sera enregistré et disponible en rediffusion sur la page Youtube du CRSAD. Bulletin rédigé par Marie-Lou Morin, M.Sc., professionnelle de recherche | Université Laval et par Martine Bernier, responsable du transfert technique et de la formation en apiculture | CRSAD
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21 octobre 2022
AU RUCHER CETTE SEMAINE 21 octobre 2022 Différentes options pour l’hivernement extérieur des abeilles Pour l’hivernement extérieur des colonies, plusieurs housses sont offertes sur le marché, soit des options prêtes à installer ou des emballages fabriqués à l’aide de matériaux disponibles en quincaillerie.
La première question à se poser avant d’arrêter notre choix est le besoin d’emballer des ruches à une hausse ou à 2 hausses. Par la suite, d’autres critères peuvent être considérés, soit la facilité d’assemblage, le coût, la durabilité et l’espace nécessaire à l’entreposage durant la période estivale. Voici quelques options disponibles, dont quatre ont été comparées au CRSAD en 20201. Emballage maison avec thermofoil et styromousse Emballage individuel avec thermofoil © Georges Martin Un styromousse de 1½ ou de 2 pouces d’épaisseur est placé sur l’entrecouvercle de la ruche. Une bande d’isolant à bulles (thermofoil) est placée autour de la ruche et sur le dessus. Elle peut être fixée avec des agrafes ou seulement par du ruban adhésif de type tuck tape rouge. Un trou est percé dans le thermofoil au niveau du trou de ventilation de l’entrecouvercle d’hivernement. Le thermofoil est coupé en fonction de la taille des ruches. Ce type d’emballage peut facilement être préparé à l’avance si les ruches sont de taille standard. Sinon, la découpe doit se faire au champ. C’est une option très versatile, car les matériaux peuvent être coupés aux dimensions correspondant aux divers besoins de l’entreprise. Groupement des colonies : Individuel, par 2, 3 ou 4, pour des ruches à 1 ou 2 hausses. Coût à l’achat2 : environ 15$ par ruche. Durabilité : variable. Il peut durer plusieurs années si on en prend soin et que seulement le ruban adhésif est utilisé pour le fixer. Les rongeurs peuvent l’endommager. BeeCozy Le BeeCozy est une enveloppe de plastique matelassée qui se glisse autour de la ruche. Un matelas isolant doit aussi être installé sur le dessus
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