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28 janvier 2025
Le parasite Varroa destructor est l’agent qui affecte le plus négativement la santé de la ruche et ce, aux échelles nationale et mondiale. Beaucoup d’efforts sont mis en place afin de limiter les pertes qui y sont associées. Les mortalités observées ne sont pas uniquement attribuables à son effet direct sur l’abeille en développement mais il est grandement associé à son rôle de vecteur et d’agent multiplicateur de virus pathogènes pour son hôte. Jusqu’en 2003, le seul traitement homologué au Canada contre ce parasite était l’Apistan® (fluvalinate) pour lequel, une résistance est apparue. Depuis, différents produits dont l’acide formique, l’acide oxalique, l’amitraze, le coumaphos et le thymol ont été autorisés au Canada afin de contrôler les niveaux d’infestation du parasite. L’amitraze, le fluvalinate et le coumaphos sont des insecticides de synthèse et la présence de résidus cumulatifs dans la cire et le miel ainsi que le développement de résistance sont bien connues. Depuis plus de 10 ans, l’approche de contrôle des niveaux d’infestation au moyen d’une lutte intégrée est en place. L’usage d’agents plus « écologiques » tels les acides oxalique et formique et le thymol est préconisé. Chacun de ces produits possède ses directives d’utilisation. L’usage d’acide oxalique, agent retrouvé naturellement dans le miel et nombreux légumes, est hautement efficace en automne en absence de couvain (95-99%) mais peu (35-40%) en présence de couvain en application unique. De plus, des pertes d’abeilles en période d’hivernage sont observées lorsqu’il est utilisé en automne. L’usage de ce produit en relargage lent en début de saison pourrait s’avérer des plus intéressants afin de retarder l’accroissement estival des populations de varroas et d’éviter une sur infestation létale ou sublétale en fin d’été. Lire la suite
28 janvier 2025
Le parasite Varroa destructor est l’agent qui affecte le plus négativement la santé de la ruche et ce, aux échelles nationale et mondiale. Beaucoup d’efforts sont mis en place afin de limiter les pertes qui y sont associées. Les mortalités observées ne sont pas uniquement attribuables à son effet direct sur l’abeille en développement, mais il est grandement associé à son rôle de vecteur et d’agent multiplicateur de virus pathogènes pour son hôte. Jusqu’en 2003, le seul traitement homologué au Canada contre ce parasite était l’Apistan® (fluvalinate) pour lequel, une résistance est apparue. Depuis, différents produits dont l’acide formique, l’acide oxalique, l’amitraze, le coumaphos et autres insecticides de synthèse ainsi que des produits à base de houblon et le thymol ont été autorisés au Canada afin de contrôler les niveaux d’infestation du parasite. L’amitraze, le fluvalinate et le coumaphos sont des insecticides de synthèse et la présence de résidus cumulatifs dans la cire et le miel ainsi que le développement de résistance sont bien connues. Depuis plus de 15 ans, le contrôle des niveaux d’infestation au moyen d’une lutte intégrée est en place. L’usage d’agents plus « écologiques » tels les acides oxalique et formique et le thymol est préconisé. Chacun de ces produits possède ses directives d’utilisation. L’usage d’acide oxalique, agent retrouvé naturellement dans le miel et nombreux légumes, est hautement efficace à l’automne en absence de couvain (95-99%), mais peu (35-50%) en présence de couvain lors d’une application unique. De plus, des pertes d’abeilles en période d’hivernage sont observées lorsqu’il est utilisé en automne par égouttement. L’usage de ce produit en relargage lent en saison estivale pourrait s’avérer des plus intéressants afin de retarder l’accroissement des populations de varroas et d’éviter une sur infestation létale ou sublétale en fin d’été. Lire la suite
28 janvier 2025
Despite the use of various integrated pest management strategies to control the honey bee mite, Varroa destructor, varroosis remains the most important threat to honey bee colony health in many countries. In Canada, ineffective varroa control is linked to high winter colony losses and new treatment options, such as a summer treatment, are greatly needed. In this study, a total of 135 colonies located in 6 apiaries were submitted to one of these 3 varroa treatment strategies: (i) an Apivar® fall treatment followed by an oxalic acid (OA) treatment by dripping method; (ii) same as in (i) with a summer treatment consisting of formic acid (Formic Pro™); and (iii) same as in (i) with a summer treatment consisting of slow-release OA/glycerin pads (total of 27 g of OA/ colony). Treatment effcacy and their effects on colony performance, mortality, varroa population, and the abundance of 6 viruses (acute bee paralysis virus [ABPV], black queen cell virus [BQCV], deformed wing virus variant A [DWV-A], deformed wing virus variant B [DWV-B], Israeli acute paralysis virus [IAPV], and Kashmir bee virus [KBV]) were assessed. We show that a strategy with a Formic Pro summer treatment tended to reduce the varroa infestation rate to below the economic fall threshold of 15 daily varroa drop, which reduced colony mortality signifcantly but did not reduce the prevalence or viral load of the 6 tested viruses at the colony level. A strategy with glycerin/OA pads reduced hive weight gain and the varroa infestation rate, but not below the fall threshold. A high prevalence of DWV-B was measured in all groups, which could be related to colony mortality Lire la suite
26 juillet 2024
Rapport d'activités 2023-2024 du CRSAD
27 juin 2024
27 juin 2024
20 juin 2024
Ce guide vise à présenter les principaux pollinisateurs sauvages des pommiers au Québec, ainsi qu'à résumer leurs besoins en termes d’habitats et les pratiques visant à les protéger et à promouvoir leur présence au verger. Les informations présentées proviennent d’études scientifiques ainsi que des résultats découlant du projet québécois de science participative Abeilles citoyennes. Lire la suite
24 avril 2024
Ce document sert à effectuer un suivi de la ruche efficace et uniformisé. La feuille de suivi consiste à regrouper toutes les informations d’une même colonie et vous permet d’ajouter des notes à chacune des visites afin d’avoir un meilleur suivi. Un meilleur suivi signifie une meilleure compréhension et une meilleure visualisation de la dynamique de vos colonies, une réduction des oublies et à long terme cette technique permet une meilleure prise de décision et l’optimisation des pratiques.  Voici comment remplir cette fiche : Pour l’identification de la ruche, inscrire toute information servant à identifier la ruche, par exemple un numéro de ruche, un symbole ou encore l’emplacement de la ruche. L’identification de la reine correspond aux informations permettant d’identifier visuellement la reine. Par exemple, si votre reine est marquée d’un point jaune et que son aile est clippée, inscrire reine jaune clippée ou RJC. Vous pouvez également indiquer la provenance/génétique de la reine. Dans la colonne Manipulation, décrire le type de manipulation(s) effectuée(s) lors de l’inspection de la ruche, par exemple : tournée de cellules, nourrissage, pose de chasse-abeilles, ajout ou retrait de hausses, etc. Dans les colonnes Reine, Œufs et Cellules, cocher la case correspondante si vous avez observé la présence de la reine, d’œufs et de cellules. Dans la colonne Provisions, inscrire OK si la ruche a assez de réserves de nourriture ou faible si la ruche manque de nourriture. Dans la colonne Maladie, inscrire tout signe clinique de maladie de l’abeille, par exemple : couvain plâtré (CP), ailes déformées, varroas, couvain mosaïque, etc. Dans la section Note, noter toute autre information pertinente, tels que la force de la colonie, les besoins de la colonie (miel à récolter, besoin d’être nourrie, etc.), un changement de la reine ou un essaimage de la colonie, etc.   Lire la suite
22 mars 2024
22 mars 2024
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