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Grandes cultures, Avertissement No 12, 16 juillet 2021

Réseau d'avertissements phytosanitaires Avertissement - Grandes cultures
CHRYSOMÈLE DES RACINES DU MAÏS : verse, évaluation des dommages aux racines et dépistage des adultes. PUCERON DU SOYA : populations élevées dans certains champs. POURRITURE À SCLÉROTES (soya). Principales MALADIES FOLIAIRES dans le soya. POURRITURE PHYTOPHTHORÉENNE (soya). VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS : captures et masses d'oeufs.
 

CHRYSOMÈLE DES RACINES DU MAÏS : VERSE DU MAÏS, ÉVALUATION DES DOMMAGES AUX RACINES et DÉPISTAGE DES ADULTES
Groupe de travail du RAP sur les ravageurs des semis

Dans certains champs de maïs grain ou ensilage, des dommages racinaires et de la verse causés par des larves de chrysomèle des racines du maïs de l’ouest et du nord sont actuellement observés (figure 1). Les cas rapportés au RAP sont situés au Centre-du-Québec (MRC de l’Érable, d’Arthabaska et de Bécancour) et en Montérégie (MRC Les Jardins-de-Napierville). La plupart des chrysomèles étaient au stade larvaire, visibles dans le sol autour des racines, mais des adultes ont aussi commencé à émerger par endroits. Dans tous les cas, les champs affectés sont en maïs non Bt et au moins en 2e année consécutive de maïs. Une évaluation des dommages aux racines dans les champs à risque et un dépistage des adultes permettront d’anticiper les pertes, de mieux identifier les champs qui devraient être récoltés en priorité et de déterminer la stratégie à adopter pour l’année prochaine.
 
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Figure 1 : Champ de 2e année de maïs ensilage avec des plants qui commencent à verser, dû aux dommages racinaires causés par des larves de chrysomèles des racines du maïs

B. Duval, agr. (MAPAQ)



Évaluation des dommages aux racines
Elle permet de quantifier les dommages et de valider si la verse est bien causée par la chrysomèle des racines du maïs. En effet, la verse peut avoir plusieurs autres causes. L’évaluation devrait être faite lorsque les dommages aux racines sont terminés, c’est-à-dire lorsque les larves ont cessé de s’alimenter et qu’on commence à voir des adultes sur les plants de maïs. Dans des zones représentatives du champ, récoltez au moins 15 mottes racinaires à l’aide d’une pelle. Lavez les racines pour éliminer le plus de terre et afin de bien voir les dommages.

Une échelle de dommages aux nœuds racinaires, développée aux États-Unis, permet de quantifier les dommages racinaires de chaque plant; cliquez ici pour la consulter (en anglais). L’échelle s’étend de 0 (aucun dommage) à 3 (3 nœuds complètement affectés). La figure 2 présente quelques exemples. Selon une étude américaine, une cote moyenne de 0,25 correspond à un début de dommages économiques dans le maïs et chaque nœud endommagé correspond à une perte de rendement de 15 % approximativement. Toutefois, ces données n’ont pas été validées au Québec.

Si le champ est en maïs Bt-chrysomèle et que des dommages aux racines sont constatés, cela pourrait signifier que l’insecte est résistant à la technologie Bt utilisée. La résistance est suspectée dans les cas suivants : une cote de dommage supérieure à 1 pour des hybrides munis d’un seul caractère Bt-chrysomèle et supérieure à 0,5 pour des hybrides munis de plus d’un caractère Bt-chrysomèle. Notez qu’il serait normal d’observer un faible pourcentage de plants avec des dommages. Par exemple, dans la plupart des cas, 5 % des grains semés sont un refuge non-Bt intégré dans le sac de semences. Pour connaître les technologies offrant une protection contre la chrysomèle des racines du maïs, consultez le tableau « Maïs Bt disponible au Canada (avril 2021) ». Fait à noter, le maïs Bt-chrysomèle agit spécifiquement contre les larves de l’insecte. Des adultes de chrysomèle des racines du maïs, provenant d’autres champs par exemple, pourraient être observés dans un champ en maïs Bt-chrysomèle. Si vous soupçonnez de la résistance au Bt-chrysomèle dans votre champ, contactez votre fournisseur de semences.
 
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Figure 2 : Exemples de dommages racinaires
À Gauche : Cote de 0,75; À droite : Cote de 2,75

B. Duval, agr. (MAPAQ)



Dépistage des adultes
Il permet de déterminer si les populations présentes dans le champ sont suffisamment élevées pour justifier une méthode de lutte (ex. : rotation) l’année suivante. Le dépistage consiste à installer quatre pièges collants jaunes dans le champ et de les changer chaque semaine ou chaque deux semaines, de la mi-juillet à la fin août. Cliquez ici pour accéder au protocole de piégeage utilisé par le RAP.

Les chrysomèles des racines du maïs adultes s’alimentent parfois de feuillage, de panicules et de soies fraîches. Dans de rares cas, l’alimentation sur les soies peut affecter la pollinisation du maïs. Cliquez ici pour plus d’information à ce sujet. Notez qu’aucun insecticide n’est homologué contre les adultes de chrysomèle des racines du maïs dans le maïs grain ou ensilage.

La rotation avec une culture autre que le maïs est le moyen de lutte le plus efficace contre la chrysomèle des racines du maïs. Si cela n’est pas possible, l’utilisation d’un hybride de maïs Bt-chrysomèle peut être envisagée. Par contre, il faut utiliser judicieusement cette technologie, car l’insecte peut développer rapidement une résistance aux protéines Bt. Pour plus d’information, consultez la fiche technique Stratégie de prévention contre la résistance de la chrysomèle des racines du maïs au maïs Bt.
 

DÉPASSEMENT DU SEUIL D’ALERTE POUR LE PUCERON DU SOYA DANS CERTAINS CHAMPS (LANAUDIÈRE, LAURENTIDES et MONTÉRÉGIE)
Groupe de travail sur les ravageurs du soya

Le puceron du soya est encore observé dans plusieurs champs de soya à travers la province. Le seuil d’alerte (moyenne de 250 pucerons/plant) a été atteint dans 9 des 68 champs dépistés par le RAP. Ce seuil n’est pas un seuil d’intervention. Il indique qu’il faut suivre les champs de près et tenir compte de plusieurs facteurs avant d’intervenir. Le dépistage est recommandé, particulièrement dans Lanaudière, les Laurentides (incluant les Hautes-Laurentides) et la Montérégie. Les autres régions semblent, pour le moment, épargnées de ces fortes infestations. En plus de la quantité de pucerons, le stade de croissance du soya, le niveau de stress subi par la culture et la présence d’ennemis naturels sont des éléments à prendre en compte pour juger de la pertinence d’un traitement. Certains cultivars tolèrent beaucoup mieux la présence de pucerons que d’autres. Pour en savoir plus sur la stratégie d’intervention recommandée au Québec contre le puceron du soya, consultez l’avertissement Nº 11 du 9 juillet 2021 et à la vidéo ci-dessous.
 
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LES MALADIES FOLIAIRES DU SOYA LES PLUS FRÉQUENTES AU QUÉBEC
Isabelle Fréchette, agr. (CÉROM), Tanya Copley, phytopathologiste (CÉROM) et Véronique Samson, agr. (MAPAQ)

Il n’est pas inhabituel d’observer des taches sur les feuilles de soya en cette période de l’année. Les trois maladies foliaires les plus fréquentes au Québec causent rarement des pertes de rendement, même en présence d'une grande quantité de taches. Voici quelques informations sur ces trois maladies.

Graisse bactérienne à halo (Pseudomonas syringae pv. glycinea)
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Photo 1 : Graisse bactérienne à halo

LEDP (MAPAQ)

  • L’infection initiale se présente par des taches jaunes sur la surface supérieure des feuilles. Elles deviennent brunes à noires avec la progression de la maladie.
  • Les taches sont entourées d’un halo jaune et les symptômes apparaissent d’abord sur les feuilles plus jeunes.
  • La maladie est favorisée par le temps frais et humide.
  • Elle peut affecter la qualité des grains.
  • L’utilisation de cultivars tolérants, de semences certifiées, la rotation avec du maïs ou des céréales et le labour des résidus sont des méthodes qui permettent de prévenir la maladie.

Tache brune
  • Les taches ne sont pas toujours entourées d’un halo jaune et les symptômes apparaissent d’abord sur les feuilles du bas et sur les surfaces supérieures et inférieures des feuilles.
  • L’infection initiale se présente par des lésions pourpres à brunes, et non jaunes comme dans le cas de la graisse bactérienne.
  • Les feuilles infectées jaunissent rapidement et tombent.
  • L’utilisation de cultivars tolérants, de semences certifiées, la rotation avec du maïs ou des céréales et le labour des résidus sont des méthodes à adopter pour prévenir la maladie.
  • Le contrôle de certaines mauvaises herbes ou plantes hôtes, comme l’abutilon (Abutilon theophrasti), la luzerne et d’autres légumineuses, peut aider à réduire la survive et la propagation de cette maladie.
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Photo 2 : Tache brune

MAAARO


Mildiou  (Peronospora manshurica)
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Photo 3 : Mildiou

MAPAQ

  • Au début de l’infestation, des taches jaunes apparaissent sur la face supérieure des feuilles et vis-à-vis de ces taches, sur l’autre face, se trouve un duvet grisâtre à rougeâtre.
  • La maladie est favorisée par une humidité élevée et une température oscillant entre 20 et 22 °C.
  • Elle peut affecter la qualité des grains.
  • L’utilisation de cultivars tolérants, de semences certifiées ou traitées avec un fongicide et la rotation avec du maïs ou du blé sont des méthodes à adopter pour prévenir la maladie.
 

LA POURRITURE PHYTOPHTHORÉENNE DU SOYA : PREMIERS SYMPTÔMES OBSERVÉS
Isabelle Fréchette, agr. (CÉROM), Brigitte Duval, agr. (MAPAQ) et Tanya Copley, phytopathologiste (CÉROM)

La pourriture phytophthoréenne (Phytophthora sojae) est une maladie qui peut entraîner une perte de rendement importante dans la culture de soya. Les premiers symptômes peuvent être observés à cette période de l’année. La maladie se manifeste par un flétrissement, un brunissement et un dépérissement des plants, mais les feuilles restent attachées aux plants. Les racines des plants infectés sont souvent moins développées avec la présence d’une pourriture brune. La maladie se présente dans des endroits mal drainés ou pendant des périodes de pluie abondante.
 
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Figure 3 : Symptômes de pourriture phytophthoréenne

É. Martel, agr. (Lavi-Eau-Champ)



Les fongicides foliaires ne sont pas efficaces contre la pourriture phytophthoréenne. Les traitements fongicides de semences ne protègent la semence et les plantules que durant une période de deux à trois semaines après le semis, alors que le plant peut être infecté à tous les stades de sa croissance, de la germination jusqu’à la maturité. L’utilisation de cultivars de soya possédant des gènes de résistance est la solution la plus efficace contre cette maladie. Par contre, les gènes de résistance du soya doivent être adaptés à la souche de P. sojae présente dans un champ. Au Canada, il est possible de se procurer des cultivars de soya avec les gènes de résistance 1a, 1c, 1k, 3a ou 6. Un projet de recherche de l’Université Laval a révélé que certains gènes de résistance (1a et 1c) ne sont plus efficaces pour le Québec, bien qu’ils soient toujours utilisés. Le choix du cultivar de soya devrait donc se faire en fonction de la sensibilité des souches de P. sojae aux gènes de résistance 1k, 3a ou 6.

Pour en savoir plus, consultez le document La pourriture phytophthoréenne du soya : l’importance du choix du cultivar.
 

LA POURRITURE À SCLÉROTES DANS LE SOYA

Le dépistage des apothécies qui produisent des spores infectieuses se poursuit dans une trentaine de champs dans le cadre d’un projet de recherche et des dépistages du RAP Grandes cultures. Jusqu’à maintenant, la présence d’apothécies a été signalée dans seulement 4 des 36 champs dépistés. Ces champs sont situés dans la Capitale-Nationale, au Centre-du-Québec et dans la Chaudière-Appalaches. Les rangs de ces champs sont fermés.

L’appréciation du risque doit être faite pour chaque champ. Le développement d’apothécies et des spores infectieuses est conditionnel à plusieurs facteurs. Pour connaître les différents à considérer, consultez lavertissement Nº 11 du 9 juillet 2021 ou visionnez la vidéo suivante.
 
Un suivi serré de ces paramètres peut permettre d’éviter un traitement fongicide inutile. Il est effectivement inapproprié d’utiliser un fongicide lorsque le risque est faible, puisque l’effet protecteur du fongicide s’estompe généralement une à deux semaines après l’application. Aussi, l’application de fongicides foliaires n’a pas d’impact sur la viabilité des sclérotes du sol et n’affecte donc pas leur germination. Le stade du soya doit également être pris en compte, au-delà du stade R4, c’est-à-dire lorsque l’on trouve à l’un des quatre nœuds supérieurs une gousse d’environ 20 mm de long, une application de fongicide ne devrait pas être envisagée. Selon D. L. Smith de l’Université du Wisconsin, il n’a pas été possible de démontrer que des applications de fongicides effectuées après le stade R4 du soya se traduisent par un bénéfice économique. Pour en savoir plus sur la question de la rentabilité des traitements fongicides, veuillez vous référer à la fiche technique Avons-nous besoin de fongicides pour le soya au Québec?
 
 

VER-GRIS OCCIDENTAL DES HARICOTS : PAPILLONS CAPTURÉS et PREMIÈRES MASSES D’OEUFS OBSERVÉES
Groupe de travail du RAP Grandes cultures sur les papillons

Captures des adultes
Les captures de papillons sont encore très faibles cette semaine dans les pièges suivis par les dépisteurs qui contribuent au RAP Grandes cultures. Pour avoir accès aux résultats complets, cliquez ici. Dès le début des captures, il n’est pas rare d’observer les premières masses d’œufs dans les champs, comme ça été le cas cette semaine à Clarendon en Outaouais.


Dépistage des œufs et des jeunes larves
Les masses d’œufs sont habituellement pondues sur la face supérieure des trois ou quatre feuilles du haut du plant, sur la feuille étendard ou sur des feuilles qui ont encore un port dressé, mais il faut aussi porter attention à tout le plant, pour ne pas rater de masses d’œufs ou de jeunes larves. Ces dernières sont très petites et pourraient aussi être trouvées sur les croix.

Comme les premiers papillons ont été capturés, les champs à risque (situés dans des zones sableuses ayant un historique de dommages et/ou présentant une croissance inégale des plants) devraient être dépistés à partir du stade « VT » (lorsque la panicule [croix] est présente dans le verticille [cornet]). Des croix sont déjà sorties dans certains champs au sud de la province. La ponte étant étalée sur plusieurs semaines, le dépistage des masses d’œufs et des jeunes larves peut débuter dans les champs à risque et se prolonger durant les trois à quatre semaines suivant la sortie des croix.

Pendant cette période, il est recommandé de dépister les champs tous les cinq à sept jours. Le dépistage consiste à noter le nombre de plants porteurs de masses d’œufs et de larves, en examinant le feuillage de 10 plants consécutifs sur le même rang, au minimum à 10 endroits différents, pour un total de 100 plants examinés par champ, minimalement, et par semaine. Les masses d’oeufs sont facilement repérables en regardant le feuillage à contre-jour (figure 4). Il faut aussi porter attention à la couleur des œufs; ils sont blancs lors de la ponte et deviennent progressivement mauves environ 48 h avant l’éclosion.

Ennemis naturels
Plusieurs ennemis naturels peuvent s'attaquer aux œufs et aux jeunes larves de ver-gris occidental des haricots (VGOH), tels que les larves de chrysopes, les punaises prédatrices (genres Podisius et Orius) et les coccinelles. Attention, les œufs de VGOH peuvent être confondus avec des œufs de punaises pentatomides (insectes bénéfiques). Toutefois, les œufs de VGOH ressemblent à de petits oursins, alors que ceux des punaises sont en forme de barils portant une couronne (figure 5). Les œufs des deux espèces changent de couleur au fil du temps.

Les œufs peuvent également être parasités par de minuscules guêpes parasitoïdes. Au champ, les masses d’œufs parasitées paraissent plutôt grises ou noires que mauves, et à la loupe, on peut apercevoir qu’ils sont troués à la suite de l’émergence du parasite (photo 5). On peut également voir ces parasites se déplacer à la surface des masses d’œufs. Une loupe peut être nécessaire pour repérer ces ennemis naturels, ainsi que les punaises du genre Orius qui sont de très petite taille. Il est donc primordial de bien faire le dépistage des ennemis naturels, car les traitements insecticides pourraient les tuer alors qu’ils procurent une certaine protection au maïs.


Seuil économique et fenêtre d’intervention
En Ontario et au Michigan, pour le maïs grain, le seuil d’intervention est un seuil cumulatif de 5 % de plants présentant des masses d’œufs et des jeunes larves. Si la première semaine de dépistage 2 % des plants sont affectés et que, lors du second dépistage, 3 % des plants le sont, le seuil cumulatif de 5 % est atteint au second dépistage. Dans certains États américains, le seuil est de 8 %, lorsque des ennemis naturels sont présents.

Si un traitement ciblant les larves doit être envisagé, il devrait être réalisé cinq à sept jours suivant l’éclosion de la majorité des œufs, puisque les pontes sont réparties sur plusieurs semaines. L’objectif est d’atteindre les jeunes larves avant qu’elles ne rejoignent les soies, car ensuite, le traitement n’aura pas d’effet. S’il n’y a encore pas de soies, il est inutile de traiter. 

Consultez la fiche technique Ver-gris occidental des haricots dans le maïs pour en savoir davantage.
 
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Figure 4 : Même masse d'œufs vue à contre-jour (à gauche) et à la lumière (à droite)

J. Saguez (CÉROM)
 

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Photo 4 : Jeunes larves de VGOH lors de l'éclosion des œufs

S. Mathieu, agr. (MAPAQ)

 
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Figure 5 : Différence entre des œufs de VGOH (à gauche) et ceux de punaise (à droite)

J. Saguez (CÉROM)

 
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Photo 5 : Oeufs de VGOH parasités

J.Saguez (CÉROM)
 

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Figure 6 : Ennemis naturels du VGOH : oeufs (1), larve (2), pupe (3), coccinelle adulte (4), larve (5), adulte de chrysope (6),
punaise Podisus sp. (7) et punaise Orius sp. (8)

1 : Stéphanie Mathieu, agr. (MAPAQ); 2 à 4 : CÉROM; 5 : lejardindeyaya; 6 : Jardinage-entomologique; 7 : BugGuide; 8 : planetnatural

 

 

 
 
Toute intervention de contrôle d’un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique, physique et chimique). Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) préconise la gestion intégrée des ennemis des cultures et la réduction des risques associés à l’utilisation des pesticides.


 
Cet avertissement a été révisé par Marianne St-Laurent, agr. M. Sc. (MAPAQ). Pour des renseignements complémentaires, vous pouvez contacter l’avertisseure du réseau Grandes cultures ou le secrétariat du RAP. La reproduction de ce document ou de l’une de ses parties est autorisée à condition d'en mentionner la source. Toute utilisation à des fins commerciales ou publicitaires est cependant strictement interdite.
 
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Organisation : Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
Auteur(s) : RAP - Réseau Grandes cultures
Date de publication : 16 juillet 2021

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