Influences des aspects de la régie de logement intérieur sur le bien-être des chevaux
Séminaire en sciences animales présentant l'influence des aspects de la régie de logement intérieur sur le bien-être des chevaux, par Laurie Lefebvre.
Le bien-être est une préoccupation majeure dans les pratiques de gestion de la production équine. Comme les chevaux sont majoritairement logés en boxes individuels, il est essentiel d’évaluer les effets de ce type d’hébergement sur leur bien-être. Cette revue propose d’abord un aperçu des besoins comportementaux des chevaux, des fondements du bien-être animal et des exigences canadiennes en matière de logement. Les résultats montrent que les stabulations libres sont les plus propices au respect des comportements naturels, mais leur implantation reste limitée. Les logements à deux chevaux représentent une alternative intéressante, favorisant les interactions sociales, bien qu’ils restreignent l’activité physique spontanée. L’architecture du box joue également un rôle central : les demi-murs mitoyens permettent des contacts sociaux bénéfiques, tandis que les cloisons pleines accentuent l’isolement. Parmi les aménagements environnementaux, les fenêtres extérieures et la litière de paille améliorent légèrement le bien-être en stimulant la curiosité et les comportements exploratoires. Enfin, le contrôle de la température et de la qualité de l’air, notamment par la ventilation, est fondamental pour prévenir les troubles thermiques et respiratoires. Cette revue souligne l’importance d’une approche globale de la régie de logement intérieur, fondée sur les besoins éthologiques du cheval, pour soutenir son bien-être de manière durable.
Le bien-être est une préoccupation majeure dans les pratiques de gestion de la production équine. Comme les chevaux sont majoritairement logés en boxes individuels, il est essentiel d’évaluer les effets de ce type d’hébergement sur leur bien-être. Cette revue propose d’abord un aperçu des besoins comportementaux des chevaux, des fondements du bien-être animal et des exigences canadiennes en matière de logement. Les résultats montrent que les stabulations libres sont les plus propices au respect des comportements naturels, mais leur implantation reste limitée. Les logements à deux chevaux représentent une alternative intéressante, favorisant les interactions sociales, bien qu’ils restreignent l’activité physique spontanée. L’architecture du box joue également un rôle central : les demi-murs mitoyens permettent des contacts sociaux bénéfiques, tandis que les cloisons pleines accentuent l’isolement. Parmi les aménagements environnementaux, les fenêtres extérieures et la litière de paille améliorent légèrement le bien-être en stimulant la curiosité et les comportements exploratoires. Enfin, le contrôle de la température et de la qualité de l’air, notamment par la ventilation, est fondamental pour prévenir les troubles thermiques et respiratoires. Cette revue souligne l’importance d’une approche globale de la régie de logement intérieur, fondée sur les besoins éthologiques du cheval, pour soutenir son bien-être de manière durable.
