- le produit de dégradation du glufosinate, le MPPA, chez la mère, le fœtus et les femmes qui n’étaient pas enceintes et
- la toxine Bt chez les femmes enceintes et chez les femmes qui n’étaient pas enceintes. En raison de plusieurs lacunes présumées, cette étude ne fait pas l’unanimité dans la communauté scientifique.
La FSANZ publie une contre-analyse d’une étude québécoise sur la présence d’OGM dans le sang de femmes enceintes
En avril 2011, une étude de chercheurs de l’Université de Sherbrooke* faisait la une de certains quotidiens québécois pour avoir détecté :
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