Une étude du CRIIGEN soulève des interrogations dans la communauté scientifique internationale
À la fin septembre 2012, une équipe du Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique (CRIIGEN)1, dirigée par le chercheur Gilles-Éric Séralini de l’Université de Caen en France, publiait une étude à l’effet que les OGM (plus particulièrement le maïs GM NK603) seraient dangereux pour les rats et, par extrapolation, pour les humains.
Plusieurs agences gouvernementales, dont le Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) européen, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail française (ANSES), l’Agence de sécurité allemande – Institut fédéral d’évaluation des risques (BfR), l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), l’Institut national des aliments du Danemark et le Conseil de biosécurité de la Belgique, ont questionné fortement divers aspects de l’étude de l’équipe de Séralini, notamment le dispositif expérimental, les outils statistiques utilisés et les interprétations des données par les auteurs. Le document présente un résumé des questionnements scientifiques.
Plusieurs agences gouvernementales, dont le Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) européen, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail française (ANSES), l’Agence de sécurité allemande – Institut fédéral d’évaluation des risques (BfR), l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), l’Institut national des aliments du Danemark et le Conseil de biosécurité de la Belgique, ont questionné fortement divers aspects de l’étude de l’équipe de Séralini, notamment le dispositif expérimental, les outils statistiques utilisés et les interprétations des données par les auteurs. Le document présente un résumé des questionnements scientifiques.