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1325 documents disponibles
11 octobre 2023
Le rapport présente les données agronomiques des graminées pérennes telles que le panic érigé et le miscanthus géant implantées dans les différentes régions du Québec durant la période 2011-2016. Ces résultats ont été obtenus par le RPBQ lors des dix années de l'étude. Ce projet est financé en partie par le gouvernement
du Canada dans le cadre du Partenariat canadien pour une agriculture durable, une initiative fédérale, provinciale et territoriale.
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02 octobre 2023
Rapport final du projet de science participative: Abeilles citoyennes visant à inventorier l'abondance et la richesse des communautés de pollinisateurs (abeilles sauvages et syrphes) dans l'ensemble du Québec. De 2019 à 2021, 131 participants se sont impliqués dans le projet en récoltant des échantillons d’insectes sur
161 sites répartis dans tout le Québec rural. Un total de 16 044 insectes pollinisateurs (13 558 abeilles et 2 486 syrphes) ont été capturés durant les trois années qu’a duré le projet. Les abeilles échantillonnées représentaient 252 espèces réparties en 33 genres. Du côté des syrphes, un total de 86 espèces qui appartiennent à 39 genres ont été échantillonnées.
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02 octobre 2023
Rapport final du projet de science participative Abeilles citoyennes visant à inventorier l'abondance et la richesse des communautés de pollinisateurs (abeilles sauvages et syrphes) dans l'ensemble du Québec. De 2019 à 2021, 131 participants se sont impliqués dans le projet en récoltant des échantillons d’insectes sur 161
sites répartis dans tout le Québec rural. Un total de 16 044 insectes pollinisateurs (13 558 abeilles et 2 486 syrphes) ont été capturés durant les trois années qu’a duré le projet. Les abeilles échantillonnées représentaient 252 espèces réparties en 33 genres. Du côté des syrphes, un total de 86 espèces qui appartiennent à 39 genres ont été échantillonnées.
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15 septembre 2023
Comment gérer les champs de soya affectés par la pourriture sclérotique. Gestion des mauvaises herbes en prérécolte du soya. Pyrale du maïs : développement de la résistance au Bt à surveiller. COMMENT GÉRER LES CHAMPS DE SOYA AFFECTÉS PAR LA POURRITURE SCLÉROTIQUE ? S. Mathieu1, H. Brassard1, T. Copley2,
M.-E. Cuerrier1, B. Duval1 et V. Samson1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Chercheuse (CÉROM) Les conditions météorologiques des mois de juillet et d’août ont été propices à l’infection et au développement de la pourriture sclérotique (à sclérotes) occasionnée par le champignon Sclerotinia sclerotiorum. Présentement, dans certains champs, il est possible d’observer les symptômes de la maladie, qui se présentent sous forme de moisissure (mousse) blanche sur les tiges, les branches et les gousses. Les sclérotes, les structures de survie du champignon, peuvent également être observés à l’intérieur et à l’extérieur des tiges et des gousses. À gauche : Pourriture et mycélieum blancs causés par Sclerotinia scleoriorum sur une tige de soya (T. Copley, CÉROM). Au centre : Présence de moisissure et de sclérotes sur la tige et les gousses (T. Copley, CÉROM). À droite : Sclérotes à l'intérieur d'une tige de soya (B. Duval, agr., MAPAQ). Bien qu’il soit trop tard pour intervenir pour contrôler la maladie cette année, les mesures présentées ici-bas peuvent être mises en place dès cet automne pour diminuer le réservoir de sclérotes dans le sol et éviter la propagation du champignon au cours des années qui suivront. Rappel : les sclérotes peuvent survivre jusqu’à sept ans dans le sol. Éviter autant que possible de travailler le sol, cela permet aux sclérotes de rester à la surface et diminue ainsi leur taux de survie. Il vaut mieux ne pas labourer, car les sclérotes enfouis à plus de 5 cm dans le sol ne fructifient pas, mais demeurent dormants. Un labour enfouira les sclérotes, mais en remontera aussi à une profondeur
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08 septembre 2023
VGOH : dépistage des larves et évaluation des dommages aux épis. Maïs : évaluation de la santé des tiges à l'automne et dépistage des maladies. Gestion automnale de la vergerette du Canada résistante au glyphosate. VER-GRIS OCCIDENTAL DU HARICOT : MOMENT IDÉAL POUR DÉPISTER LES LARVES ET ÉVALUER
LES DOMMAGES AUX ÉPIS J. Saguez1 et S. Mathieu2 1. Chercheur (CÉROM); Agronome (MAPAQ) La période de ponte du ver-gris occidental des haricots (VGOH) est terminée depuis quelques semaines. À cette période de l’année, les larves se trouvent au niveau des épis où elles s’alimentent. Elles complèteront sous peu leurs stades de développement larvaire pour ensuite tomber au sol et s’y enfouir pour passer l’hiver. Le dépistage des larves et l’évaluation des dommages peuvent donc être effectués à partir de maintenant, et ce, jusqu’à la récolte. Effectuer un dépistage plus tôt permet d’observer les larves et de s’assurer qu’on attribue les dommages à la bonne espèce de ravageur. Le dépistage des larves s’effectue en épluchant les épis sur au moins 100 plants, répartis dans 10 stations (10 plants consécutifs dans 10 stations ou 5 plants consécutifs dans 20 stations) afin d’obtenir une estimation du pourcentage de plants infestés dans le champ. Attention, les larves de VGOH peuvent être parfois confondues avec les larves d’autres papillons ravageurs qui s’attaquent également aux épis en fin de saison, comme le ver de l’épi, la légionnaire d’automne et la pyrale du maïs. Larve de VGOH et autres larves de ravageurs du maïs Photos (à gauche, au centre gauche et à droite) : B. Duval, agr. (MAPAQ) Photo (au centre droit) : LEDP (MAPAQ) Ce dépistage permet également d’observer l’ampleur des dommages aux épis causés par le VGOH ainsi que l’incidence des maladies comme la fusariose. Dans plus de 70 % des cas, les larves entrent au niveau des soies et restent au niveau de l’apex de l’épi. Elles peuvent aussi faire des trous dans les spathes (feuilles
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01 septembre 2023
Chrysomèle du haricot dans le soya : faibles populations et peu de dommages aux gousses. Un plant d'amarante de Palmer identifié en Ontario. CHRYSOMÈLE DU HARICOT DANS LE SOYA : FAIBLES POPULATIONS ET PEU DE DOMMAGES AUX GOUSSES S. Boquel1, V. Samson2 et M.-E. Cuerrier2 1. Chercheur (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ)
Les résultats de dépistage de la chrysomèle du haricot réalisé dans les champs de soya de la Montérégie-Est et Ouest ainsi que dans Lanaudière montrent de faibles populations et peu de dommages aux gousses. En effet, les populations de chrysomèles varient de 0,05 à 3 individus par coup de filet dans les champs suivis. Les dommages aux gousses sont également faibles avec un maximum de 2,7 % des gousses endommagées. C’est en Montérégie-Ouest, au site de Saint-Urbain-Premier, que les valeurs maximales ont été atteintes. Toutefois, ces valeurs restent en dessous des seuils d’intervention proposés par l’Université de Purdue (voir le tableau ci-dessous). Le suivi de l’évolution des populations et des gousses endommagées est tout de même suggéré dans les champs de cette région. Seuils d’intervention en fonction des dommages aux gousses, du nombre de chrysomèles actives dans le champ et de la maturité des gousses entre les stades R5 et R7 du soya Photo 1 : Gousse légèrement grignotée par la chrysomèle du haricot S. Boquel (CÉROM) Par ailleurs, la période à risque (R5 à R7) et de dépistage arrive bientôt à sa fin : une fois les gousses jaunies, elles deviennent peu attrayantes pour la chrysomèle et sont ainsi moins susceptibles d'être endommagées. Consultez le document suivant pour de l’information détaillée sur les stades du soya. Pour en savoir plus sur la chrysomèle du haricot et son dépistage, consultez l’avertissement N° 16 du 11 août 2023, la fiche technique La chrysomèle du haricot dans le soya ou encore la vidéo La chrysomèle du haricot : biologie, dépistage et stratégies d’intervention. GARDEZ L’ŒIL OUVERT :
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