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Grandes cultures, Avertissement No 2, 7 mai 2021
06 mai 2021
Comment évaluer l’impact du gel et du froid sur les grandes cultures? Cet avertissement traite notamment de l’impact du gel sur les céréales déjà en terre et sur le maïs semé à l’aide d’un semoir spécialisé pour l’installation de film plastique.   IMPACT DU GEL ET DU FROID SUR LES SEMIS RÉALISÉS ET À VENIR   Télécharger l'enregistrement audio de l'avertissement   Lecture audio RAP GC avertissement no 2 du 7 mai 2021 Lors de la période de semis et au moment de la levée, les épisodes de gel ou tout simplement de refroidissement peuvent causer du stress ou des dommages aux cultures. La fiche technique Temps froid et gel printanier : effets sur les cultures traite de l’impact du froid lors de la germination et après la levée pour le maïs, le soya et les céréales, et décrit les méthodes pour évaluer les dommages. Semis de céréales Les céréales, semées à l’automne ou au printemps, supportent bien les épisodes de gel et de froid à cette période de l’année. Par ailleurs, les épisodes de gel successifs ont pu endommager certains champs. L’heure est au diagnostic. Les graines non germées résistent bien à des températures glaciales. C’est surtout au moment de la germination que le blé peut être affecté par un épisode de gel. Si la température est bien en dessous du point de congélation, il serait possible de perdre des plants. Les jeunes plants, jusqu’au stade de la 1re feuille, peuvent être vulnérables au gel. Après ce stade, la survie des plants a peu de chance d’être compromise. La température gélive se situe autour de -2 °C pour des expositions prolongées, mais le point de croissance est sous le sol et la céréale est bien protégée. À la suite d'un épisode de gel, voici les symptômes pouvant être observés chez les céréales : rougissement des feuilles, port flasque, jaunissement, dessèchement et pincement sur les feuilles.   À gauche : Semis de seigle de printemps 2021, affecté par la neige et le gel, une journée après un gel de -4 °C Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 2, 13 mai 2020
12 mai 2020
Les sujets de cet avertissement : la germination et la levée du maïs, du soya et des céréales en sols froids; les températures froides qui peuvent retarder le bon moment pour dépister les vers fil-de-fer; quoi faire pour prévenir les dommages causés par la mouche des semis; et l’impact du froid sur les opérations de désherbage.   LA GERMINATION ET LA LEVÉE DES CULTURES EN SOLS FROIDS Yves Dion, agr. (MAPAQ), Stéphanie Mathieu, agr. (MAPAQ) et Isabelle Fréchette, agr. (CÉROM) Ce printemps froid que nous connaissons présentement s’étire en longueur, et les conditions sont relativement sèches dans certaines régions. Quel est l’impact de ces conditions sur la germination et la levée des cultures? Maïs Pour les semis déjà en terre, les grains de maïs sont probablement en train de germer : malgré les conditions relativement sèches, l’eau du sol a été suffisante pour être absorbée par le grain (imbibition), et le processus de germination a été enclenché. À ce stade de développement, les grains gonflent, les tissus sont fragiles et on peut faire face à des dommages à l’imbibition par le froid. Ce risque se situe dans les 24 à 48 heures après la mise en terre. La germination du maïs est affectée par des températures du sol inférieures à 10 °C, et les dommages sont plus importants lorsque le sol se refroidit en deçà de 5°C. Voici les dommages que peut entraîner le froid lors de la germination : Arrêt complet de la germination. Interruption de croissance des premières racines ou du coléoptile (enveloppe de laquelle sortent les premières feuilles). Déformation du mésocotyle (tissu connectant le grain au coléoptile), lequel apparaît comme un tire-bouchon (figure1). Ce phénomène est attribuable à des dommages physiques aux cellules et aux tissus externes, qui affectent l’élongation de ces zones, mais pas celle des tissus plus internes : ce dommage est physiologique et ne doit pas être confondu avec un dommage causé par un pesticide. Retard de levée Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 5, 28 mai 2021
28 mai 2021
VER-GRIS MOISSONNEUR : zones touchées : Charlevoix, Chaudière-Appalaches et Bas-Saint-Laurent. DÉSHERBER par temps sec. VER-GRIS NOIR : dépistage des champs de maïs à risque. Suivi des MALADIES DES CÉRÉALES d'automne. CHRYSOMÈLE DU HARICOT dans le soya. Émergence de l'AMARANTE TUBERCULÉE. JAUNISSEMENT du maïs. Télécharger l'enregistrement audio de l'avertissement Lecture audio de l'avertissement RAP GC no 5 du 28 mai 2021      PRÉSENCE DU VER-GRIS MOISSONNEUR : DÉPISTAGE RECOMMANDÉ DANS LES ZONES TOUCHÉES PAR LE RAVAGEUR Groupe de travail du RAP Grandes cultures sur les papillons   Lecture audio sur le VGM (avertissement RAP GC no 5 du 28 mai 2021) Depuis la dernière semaine, de nouvelles observations de larves de ver-gris moissonneur ont été rapportées au RAP Grandes cultures. Le ravageur est présent dans plusieurs champs dans la région de Charlevoix, à La Pocatière et à Saint-Pascal (Bas-Saint-Laurent) et dans les localités de Saint-Jean-Port-Joli et de Sainte-Louise (Chaudière-Appalaches). Ces observations s’ajoutent à celles signalées dans le dernier avertissement. Un collaborateur du réseau a dépisté 5 champs dans Charlevoix le 25 mai. Le dépistage s’est fait en grattant le sol sur quelques centimètres de profondeur et en dénombrant les larves à 5 stations représentatives dans chacun de ces champs. La taille des larves retrouvées variait entre 1 et 2,5 cm.   Le dépistage de cette espèce est recommandé dans les prairies et les céréales, en particulier dans les zones où l’espèce a été observée cette année et dans les zones touchées l’année dernière. Attention de ne pas confondre le ver-gris moissonneur avec d’autres espèces de vers gris.   Il n’y a pas de seuil économique d’intervention pour les prairies autres que la luzerne pure. Aucun produit n’est homologué pour lutter contre les vers gris dans tous les types de prairies. Dans les cas d’infestations dans des prairies, la stratégie pourrait être de devancer la fauche et ainsi Lire la suite
17 juin 2013
Conférence donnée lors du rendez-vous agroalimentaire de l'Outaouais le 30 janvier 2010. L’année 2009 fut pluvieuse et froide alors que les médias claironnent que l’on subit les effets du réchauffement climatique... Chercher l’erreur. Quels sont les gestes à poser sur une ferme bovine pour parer à ces secousses météorologiques ? Que nous réserve 2010 ? Lire la suite
17 juin 2013
Conférence donnée lors du Rendez-vous agroalimentaire de l'Outaouais le 30 janvier 2010. L’année 2009 fut pluvieuse et froide alors que les médias claironnent qu'on subit les effets du réchauffement climatique... chercher l’erreur. Quels sont les gestes à poser sur une ferme bovine pour parer à ces secousses météorologiques ? Que nous réserve 2010 ? Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 1, 14 avril 2023
14 avril 2023
SURVIE À L'HIVER DES CÉRÉALES D'AUTOMNE : L’ÉTAT ACTUEL Y. Dion1, M. McElroy2, et S. Mathieu, V. Samson et H. Brassard1  1. Agronomes (MAPAQ)  2. Chercheur (CÉROM)   Les conditions agroclimatiques et environnementales observées dès l’automne passé, celles de l’hiver dernier et celles qui prévalent actuellement ce printemps dans la grande région montréalaise, le sud-ouest du Québec et les régions adjacentes, laissent présager une survie des céréales d'automne à l’hiver de bonne à très bonne, voire exceptionnelle. En Montérégie, on observe que le feuillage est demeuré vert. Cette situation s’explique par la faible profondeur de gel du sol à l’hiver, par de bonnes couvertures de neige isolant les plantes des forts froids, ainsi que par la fonte des neiges et un dégel rapides causés par des conditions favorables.    Les céréales d’automne entament un processus d’endurcissement au froid à partir de l’exposition à de basses températures en automne. La tolérance des plants atteint son maximum à la suite d’une longue séquence de basses températures (figure 1). Au cours de l’hiver et du printemps, le niveau de cette tolérance au froid s’affaiblit selon les températures auxquelles sont soumises les céréales. Plus le réchauffement est important et prolongé, plus le niveau de tolérance au froid est réduit.   Figure 1 : Endurcissement au froid (température minimale de survie) du blé d’automne de septembre à mai Source : Struthers et Greer, 2001, dans le Guide de production : céréales d’automne, CRAAQ, 2018   Les données agrométéorologiques de plusieurs stations météorologiques ont été observées et, dans l’ensemble, les températures du sol se sont maintenues entre 0 et -10 °C et pour de longues séquences à des températures égales ou supérieures à -5 °C. De plus, une seule période de froid extrême a été observée en début février et sur une très courte période. Les conditions du printemps sont cruciales : les fluctuations de températures Lire la suite
14 juin 2013
Résumé et présentation PowerPoint de la conférence présentée lors du Colloque en agroclimatologie « Outils disponibles et changements climatiques » du 9 mars 2011. Dernier gel printanier, premier gel automnal, températures extrêmes, cumuls thermiques, cumul des précipitations, indices d’assèchement : autant d’indices agroclimatiques qui caractérisent la saison de croissance en agriculture. Mais comment les utiliser et comment peuvent-ils faciliter la prise de décision? Une initiative de la Commission agrométéorologie du CRAAQ. Lire la suite
12 avril 2017
Diaporama présenté dans le cadre de la Journée Cultures de couverture 2017. Cliquez ICI pour visionner la capsule vidéo. Cliquez ICI pour accéder à l'ensemble des présentations de la journée.
Grandes cultures, Avertissement No 1, 27 avril 2022
27 avril 2022
Survie à l’hiver des céréales d’automne : comment on s’en tire?     SURVIE À L'HIVER DES CÉRÉALES D'AUTOMNE : COMMENT ON S'EN TIRE? Y. Dion 1, M. McElroy 2, S. Mathieu 1, H. Brassard 1 et M. Neau 3 1. Agronomes (MAPAQ)  2. Chercheur (CÉROM)  3. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)   Les conditions climatiques ont été jusqu’ici, pour plusieurs régions, peu favorables à un examen poussé des champs de céréales d’automne. Le feuillage de ces cultures peut être endommagé par le gel, mais avant d’évaluer leur survie, il est préférable de laisser quelques jours aux plants afin qu’ils débutent leur croissance printanière. Les dommages aux cultures peuvent être causés par plusieurs phénomènes : Un semis trop tardif à l’automne associé à des conditions ne favorisant pas le développement adéquat des plantules et l’accumulation des réserves pour l’hiver peut rendre les plants plus vulnérables au froid. Les conditions hivernales entraînant la fonte du couvert de neige et laissant apparaître les plants sont particulièrement problématiques lorsqu’elles entraînent la formation de glace. Les conditions du printemps sont extrêmement cruciales : les fluctuations de température prolongées au-dessus du point de congélation qui sont suivies de gels et la formation de nappes d’eau qui tardent à se résorber occasionnent des conditions d’anoxie (absence d’oxygène) néfastes aux céréales d’automne. Les céréales d’automne entament un processus d’endurcissement au froid à partir du mois de septembre. La tolérance est au maximum en novembre (figure 1). Au cours de l’hiver et du printemps, le niveau de cette tolérance au froid s’affaiblit selon les températures auxquelles sont soumises les céréales. Plus le réchauffement est important et prolongé, plus le niveau de tolérance au froid est réduit. Figure 1 : Endurcissement au froid (température minimale de survie) du blé d’automne de septembre à mai (Tiré de Struthers et Greer, 2001, dans le Guide de production : Lire la suite
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