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- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
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- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Caïn Lamarre S.E.N.C.R.L./Avocats
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- Sollio Groupe Coopératif
- Union paysanne
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
1042 documents disponibles
20 novembre 2020
La solution ePhyto est un outil permettant de transformer les informations contenues dans un certificat phytosanitaire en un format numérique. "ePhyto" est l'abréviation de « certificat phytosanitaire électronique ». ePhyto: la certification phytosanitaire électronique peut faciliter le commerce agricole international. Cet
échange électronique entre les pays rend le commerce plus sûr, plus rapide et moins cher. La solution ePhyto est une approche globalement uniforme avec une meilleure résilience aux crises, cohérence, sécurité, prévention de la fraude, durabilité et remplacement de la documentation papier. Le GIC, qui est composé d'un consortium d'associations industrielles représentant le commerce mondial des produits végétaux, appelle les décideurs à s'engager à une intégration plus rapide de la solution ePhyto et à un accès accéléré pour tous les pays. La solution ePhyto est fondée sur les normes de la seule Convention internationale pour la protection des végétaux, la CIPV, et était destinée à devenir à terme un remplacement permanent des certificats papier avant même que la pandémie ne commence. La solution ePhyto est dirigée par le Secrétariat de la CIPV avec la participation d'autres organisations internationales et gouvernements, dans lesquels plus de 90 pays sont enregistrés. L'initiative est supportée par l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO),agence spécialisée des Nations Unies, et la Convention internationale pour la protection des végétaux. Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=gjDz7aOv-Ys&feature=emb_title
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29 septembre 2020
État de la situation des cultures du poinsettia en serre : présence de l’aleurode du tabac en nombre variable selon les entreprises. Période propice à l’apparition de maladies racinaires. CONTRÔLE DES ALEURODES DU TABAC (Bemisia tabaci) L’aleurode est présent dans les cultures de poinsettias. De façon
générale, selon nos observateurs, les populations sont encore bien contrôlées par la lutte intégrée, en lutte conventionnelle, et par la lutte biologique dans les serres visitées. Stratégie face à la résistance aux insecticides Bemisia tabaci de souche Q, généralement présent dans la culture du poinsettia, est résistant à de nombreuses matières actives. En effet, certains pesticides chimiques vont éliminer tous les Bemisia sensibles (souche B), alors que les Bemisia résistants (souche Q) vont survivre et continuer de se reproduire. En fin de saison, il pourrait alors être impossible de les éliminer avant la vente. En retardant la lutte chimique, par exemple en utilisant la lutte biologique, on laisse la souche B constituer une plus grande proportion de la population. Les aleurodes de cette souche seront plus faciles à éliminer par des traitements chimiques en dernier recours, à la fin de la saison. Aleurode du tabac sur poinsettia Photo : IQDHO Calcul – Poursuivre la lutte biologique ou traiter Il est possible d’estimer si le contrôle de Bemisia sera efficace jusqu’à la fin de la saison de culture du poinsettia en utilisant une méthode rapide publiée par Sarah Jandricic (MAAAR Ontario) : Inspecter 15 à 20 plants par table, sur au moins 50 % des tables des serres. Noter la présence ou l’absence d’adultes, de larves ou de pupes de Bemisia en observant le dessous des feuilles, en soulevant les pots au-dessus des yeux. Additionner le nombre de plants infestés (présence de Bemisia), diviser par le nombre total de plants dépistés et multiplier par 100 pour obtenir un pourcentage. À cette période de la production (1er octobre),
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