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15 mai 2025
L'intérêt pour la culture biologique et pour une agriculture plus responsable est en constante progression. L'usage de plusieurs pesticides de synthèses est en réévaluation et certains d'entre eux seront éventuellement retirés. Les producteurs doivent donc s'adapter à ce changement dans l'utilisation des produits phytosanitaires
et l'arrivée de plusieurs biopesticides s'inscrivent dans ce contexte. Un tour d'horizon vous est proposé afin de comprendre en quoi consiste un biopesticide et de donner quelques éléments d'information pour les intégrer adéquatement dans la régie de culture. Une présentation de la nouvelle fiche de production fruitière intégrée (PFI) pour la vigne est aussi au programme.
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04 juin 2020
Chaque fiche technique présente une description des symptômes, les différentes formes d'expression, les méthodes/moyens de lutte actuellement disponibles et les pratiques de gestion pour contrer une maladie spécifique du bois de la vigne. Ces fiches techniques permettront aux intervenants et producteurs d'intégrer des pratiques
préventives pour limiter la présence de ces maladies, d'identifier les diverses maladies au champ, d'analyser la situation au vignoble et d'utiliser les méthodes/moyens de gestion de ces maladies au vignoble.
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17 novembre 2022
Les viticulteurs sont menacés par plusieurs maladies foliaires et des baies, dont le la pourriture de la grappe (Botrytis cinerea), le mildiou (Plasmopara viticola), le blanc (Erysiphe necator), et la pourriture noire (Guignardia bidwellii). L'utilisation des biofongicides est à privilégier dans une stratégie de lutte
contre les maladies. Cette fiche synthèse résume les résultats d'efficacité de différents produits biologiques contre les maladies.
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21 octobre 2024
Notre étude a permis de mettre en lumière l’intérêt des couvre-sols végétaux en vignoble comme alternative à l’utilisation d’herbicides sur le rang. Nos résultats montrent que les couvre-sols à l’étude ont peu d’effet sur la croissance des vignes, les maladies, les ravageurs et ultimement le rendement, tout en étant une
belle façon d’accroître la biodiversité en vignoble. Des espèces se démarquent dans le contexte de l’étude, soit le thym serpolet et l’épervière piloselle. Ces deux plantes ne nécessitent pas de fauches, car elles restent basses et ne créent pas de problèmes d’humidité aux pieds des ceps. Elles ont aussi une jolie floraison attractive pour les insectes bénéfiques et sont intéressantes pour l’agrotourisme. Leur coût d’implantation reste plus élevé, car elles s’établissent mieux à partir de transplants, mais elles arrivent alors à dominer l’espace rapidement et laissent peu de place à des plantes indésirables. Il reste que des techniques d’implantation plus abordables comme l’hydroensemencement par exemple, devront être testées pour faciliter leur utilisation à l’échelle commerciale. Ce sont également des espèces qui se naturalisent très bien dans le reste du couvre-sol du verger et supportent assez bien le piétinement. Peu de travaux avaient été réalisés sur les couvre-sols permanents dans la vigne au Québec à ce jour, mais devant le fait que le buttage est de plus en plus délaissé, cette technique devient possible et transférable sur une majorité d'entreprises viticoles. Les couvre-sols à l'essai pourraient aussi être intéressants pour plusieurs autres cultures fruitières qui connaissent des enjeux similaires (bleuets, camerises, pommes, poires, etc.).
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06 novembre 2025
Ce projet a consisté à répondre à l’objectif principal qui vise à évaluer la capacité d’identifier par séquençage à haut débit (SHD) des organismes phytopathogènes bactériens et fongiques qui infectent des pommes de terre et des plantes en grandes cultures, et en cultures maraîchères. En partenariat avec le Laboratoire
d’expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ (LEDP) et le Laboratoire de phytopathologie du CEROM, nous avons obtenu et traité des échantillons provenant de nos partenaires entre 2019 et 2022. Nous avons validé les protocoles d’extraction d’acides nucléiques nécessaires selon le type d’échantillon, développé les protocoles de séquençage haut débit sur plateforme MiSeq et MinION (Livrable L3). Au total cinq systèmes de détection ont été retenus pour l’évaluation sur MiSeq et deux systèmes sur MinION. Des tests additionnels ont également permis d’évaluer l’approche NanoMiSeq permettant de soumettre moins d’échantillons en même temps à la phase de séquençage. Cette approche sera plus adaptée au débit analytique du LEDP en saison estivale. Nous avons de plus évalué une approche de préparation de librairie en une seule étape qui permet de réduire les coûts d’opération reliés à l’analyse par SHD. Nous avons également développé un nouvel outil informatique permettant de créer des bases de références taxonomiques en regroupant des séquences de plusieurs bases de données de référence publiques et selon le système d’amplification utilisé pour le SHD. Cet outil (ASVMaker) a été publié dans la revue « Plants » (Annexe 2-4). La base de données taxonomiques de référence spécifiques produite avec cet outil s’intègre dans notre stratégie de double identification (application pour les données obtenues par MiSeq et NanoMiSeq) Nos résultats montrent un fort potentiel des approches SHD pour identifier les genres pathogéniques ciblés (Livrable L2). Pour certains d’entre eux (essentiellement des genres fongiques), il est possible d’identifier des
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21 juillet 2017
Cette fiche synthèse présente un projet qui avait comme objectif d'inventorier, de documenter et d'analyser les approches et les technologies novatrices dans les secteurs des grandes cultures et des cultures horticoles qui répondent aux besoins du Québec en termes de surveillance phytosanitaire. Le rapport complet,
également disponible, a été fiancé par le programme Prime-Vert (volet 3.2) du MAPAQ.
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01 mars 2023
L’anthracnose est une maladie observée en vignoble causée par le champignon Elsinoë ampelina. Selon la gravité de l’épidémie, le cep infecté par E. ampelina aura un développement ralenti et un mûrissement des baies retardé. Les vignes infectées présentent une diminution de rendement importante due à la mortalité d'inflorescences
et de rameaux et à la pourriture des baies. Les ceps gravement atteints sont moins résistants à l’hiver et en absence de contrôle peuvent mourir causant ainsi des pertes économiques importantes. L’objectif du projet était d’évaluer l'impact du mode de conduite de la vigne pour la gestion et la réduction de l'incidence de l'anthracnose en vignoble. Des essais ont été menés dans deux vignobles durant la saison 2019 et 2020 afin de comparer trois modes de conduite : le Cordon de Royat, le Cordon de Royat renouvelé (renouvellement des bras à partir de nouveaux bourgeons) et le Guyot.
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