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Le dossier de la récupération des animaux morts occasionne de bien mauvaises surprises car en plus de la mortalité, les producteurs doivent maintenant en assumer la facture. Le ban des protéines animales issues des ruminants et les odeurs dégagées lors du recyclage des animaux morts en sont les principales causes. Depuis l’annonce de la tarification, les réunions se sont multipliées entre les intervenants concernés sans toutefois trouver de solutions concrètes à cette problématique.
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Organisation : Bovins du Québec, août-septembre 2002
Auteur(s) : Anne-Marie Christen
Date de publication : 05 novembre 2004