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Pour des raisons pratiques et économiques évidentes, les éleveurs ont depuis toujours souhaité pouvoir choisir le sexe des veaux à naître. Bien que ce rêve soit devenu réalité en 2006, ce sont jusqu’à maintenant les producteurs laitiers qui en ont profité. Considérant le nombre limité de femelles de remplacement disponibles sur le marché et les prix payés pour les obtenir - on parle ici de $2,000 pour une taure croisée gestante - parions que la semence sexée fera bientôt partie du plan de match d’un nombre grandissant d’éleveurs de bœuf.
Organisation : Bovins du Québec, février 2013
Auteur(s) : Pierre Desranleau, T.P. CIAQ
Date de publication : 06 mars 2013