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28 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Fiers de diffuser leur expertise
13 mai 2021
État de la situation des cultures maraîchères en serre : printemps plutôt calme sur le plan des ravageurs et des maladies. La prévention par un dépistage régulier et l’introduction des agents de lutte biologique restent parmi les meilleures pratiques! Ravageurs : présence de pucerons, particulièrement dans le poivron
et la laitue, avec quelques foyers de puceron du melon dans le concombre. Les premières chrysomèles rayées sont attirées par le concombre en serre. Maladies: la moisissure olive reste à surveiller dans les variétés sensibles de tomates sous climat humide. Certains désordres apparaissent liés le plus souvent à un pH élevé (carence en fer), à un excès d’humidité (œdème) ou à une forte charge en fruits (carence en magnésium). PUCERONS Comme d’habitude, les populations de pucerons sont en augmentation à cette période-ci de l’année, le plus polyphage étant le puceron vert du pêcher (Myzus persicae var. persicae). Photo : Liette Lambert, agr. (MAPAQ) Dans le poivron, en plus du puceron vert du pêcher, on remarque, depuis quelques années, une augmentation du puceron du tabac (Myzus persicae var. nicotianae), une espèce très semblable, sauf sur le plan du comportement et de sa coloration majoritairement rougeâtre. Cette espèce a la particularité de s’attrouper massivement dans les points en croissance (apex), au lieu de se disperser sur le plant, ce qui complique le travail des auxiliaires pour atteindre leurs proies. Puceron du tabac (= Puceron vert du pêcher forme nicotianae (Myzus persicae var. nicotianae) Photo : Liette Lambert, agronome, MAPAQ Une autre espèce susceptible d'être observée dans la laitue de serre est le puceron de la pomme de terre (Macrosiphum euphorbiae). Pucerons de la pomme de terre dans la laitue Photo : Liette Lambert, agr. (MAPAQ) Caractéristiques identifiant le puceron de la pomme de terre Photo : Liette Lambert, agr. (MAPAQ) Dans le concombre, on rapporte encore certains cas
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06 septembre 2024
Le développement de projets de serres connait un essor sans précédent dans les régions nordiques du Québec (Société du Plan Nord 2021). Le projet de laboratoire nordique est né de la volonté de conduire des recherches qui viennent répondre aux enjeux auxquels les communautés nordiques sont confrontées dans la conception,
la mise en place et la pérennité de leurs initiatives agroalimentaires. Cette collaboration a débuté avec des projets d’élaboration ou de l’amélioration de projets de serre des communautés de Kuujjuaq, Radisson et Matagami avec des chercheuses et chercheurs du Centre d’innovation sociale en agriculture (CISA) du Cégep de Victoriaville et de l’École de technologie supérieure (ÉTS). Ces collaborations ont mené à la conception du projet de prototype de laboratoire nordique (avril 2022-mars 2024) coordonné par le CISA, en collaboration avec le Centre d’expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+) et l’ÉTS, ainsi qu’une vingtaine de partenaires dans les régions du Nord-du-Québec et de la Côte-Nord. Le projet a rapidement évolué vers deux directions complémentaires : • La première fut de soutenir des partenariats entre les organismes de recherche et de transfert technologique avec les organismes porteurs de projets agroalimentaires. Ces partenariats ont permis de renforcer les capacités locales par de l’accompagnement technique et organisationnel dans le domaine de l’agriculture. • La deuxième consistait à créer des opportunités de réseautage entre les différents acteurs impliqués dans les systèmes alimentaires des différentes régions nordiques du Québec afin de briser les silos et réduire l’impact les distances. Ces deux directions se rejoignent dans le présent rapport sous la forme d'une collection de fiches à destination des porteuses et porteurs de projets agroalimentaires actuels ou futurs, afin d’alimenter leur réflexion. Consultez et téléchargez le rapport complet Téléchargez la fiche synthèse du projet 2022-2024,
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22 juillet 2020
On observe divers cas de désordres physiologiques et de carences surtout en lien avec l’irrigation et la transpiration des plants : carence en calcium (pourriture apicale sur tomate et poivron, brûlure de la pointe (tipburn) sur laitue et feuilles en cuillère, dans le concombre), maturation inégale des fruits, carence
en magnésium, fentes de croissance, insolation ou collet vert, microfendillement ou « russeting ». CARENCE EN CALCIUM Les symptômes d’une carence en calcium s’expriment différemment selon les cultures : de la pourriture apicale sur la tomate et le poivron, des jeunes feuilles en cuillère dans le concombre (avertissement No 5), ou encore de la brûlure de pointe (tipburn) dans la laitue. Liette Lambert, agr. (MAPAQ) Julie Marcoux, t.p. (MAPAQ) La carence en calcium est reliée à l’absorption de l’eau par les racines, puis à son transport dans le plant. Le calcium voyage dans l’eau de transpiration, mais aussi grâce à la pression racinaire qui se produit surtout durant la nuit et le matin, avant que les plants ne transpirent activement. Par son rôle direct dans la formation des parois cellulaires, le manque en calcium se verra d’abord au niveau des jeunes tissus à croissance rapide, particulièrement en temps de canicule et d’ensoleillement intense. Le calcium se dirige donc vers les organes qui transpirent le plus, soit les vieilles feuilles au détriment des fruits et des jeunes feuilles. Alors, trop de feuilles peuvent monopoliser le calcium au détriment des fruits qui, par ailleurs, doivent aussi être protégés des rayons du soleil. Il faut trouver le bon équilibre feuilles/fruits. Sachant que 50 % de tout le calcium est absorbé par l’extrémité racinaire, tout ce qui limite l’absorption d’eau par les racines peut causer cette carence : racines déficientes ou malades; excès d’eau qui asphyxie les racines; excès de sels dans le terreau ou dans la solution nutritive qui brûlent les racines; irrigations insuffisantes
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26 juin 2018
La table de développement de la production biologique de l'UPA ce concert avec le Comité agriculture biologique du CRAAQ, publie, grâce au travail de concertation de près de quatre-vingt acteurs du secteur de l’agriculture biologique et de l’avis de plus de 300 producteurs, des plans d'action et pistes de réflexion
concernant l'adaptation de semences ou races à la régie biologique. Ce document spéficique pour le secteur maraîcher fait parti d'une série de documents incluant aussi les grandes cultures, les petits fruits et les viandes.
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24 mars 2020
État de la situation des cultures maraîchères en serre (semaine 13) : début de thrips dans les différentes productions, notamment dans la tomate et le concombre : mieux vaut prévenir que guérir! Poivron : début de tétranyques. Laitue : présence de pucerons de la pomme de terre à plusieurs endroits.
VEUILLEZ PRENDRE NOTE QUE : Avec la situation actuelle concernant la COVID-19 et les moyens de transport qui sont limités, prenez note des changements d’horaire pour commander vos agents de lutte biologique auprès des fournisseurs suivants : Plant Products (Biobest) : Lundi 11 h au 450 682-6110 ou au 1 800 361-9184 pour réception le mercredi Anatis Bioprotection : Mercredi midi au 1 800 305-7714 pour réception le mercredi ou le jeudi suivant Bioline : Mardi avant minuit par courriel à sleclair@cams.ca pour réception le mardi suivant Koppert : Mercredi midi au 1 800 567-4195 ou par courriel à commandes@koppert.ca pour réception la semaine suivante THRIPS DES PETITS FRUITS (Frankliniella occidentalis) Photo : Liette Lambert, agr. (MAPAQ) Puisque les différents stades de développement du thrips se produisent à différents endroits (sol, fleurs, feuilles), il faut actuellement combiner plusieurs techniques de lutte pour obtenir un contrôle satisfaisant : Lutte biologique Sur les pupes (au sol) : En prévention : introduire dès la plantation ou avant, directement sur les pots ou le substrat, en une seule application, l'acarien Stratiolaelaps scimitus (anc. Hypoaspis miles) qui va davantage en profondeur ou l'acarien Gaeolaelaps gillespii qui se tient plus à la surface du substrat. En prévention : au sol ou sous les gouttières (à éviter sur les substrats de culture ou les plants), appliquer de la chaux hydratée par saupoudrage, pour ensuite la mouiller afin qu’elle soit bien en contact avec le sol, ou sinon, pulvérisez
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30 juillet 2019
Ravageurs : détection de l’acariose bronzée dans la tomate; Tétranyques en augmentation dans tomate et concombre; Aleurodes dans tomate : c’est payant, la prévention; Puceron du melon dans concombre : ça s’en vient; Thrips sous contrôle (consulter fiches techniques sur thrips des petits fruits; tomate, concombre ou
poivron; Puceron vert du pêcher en augmentation dans poivron et aubergine. Maladies : Blanc (oïdium) dans concombre; Moisissure olive parfois très sévère sur variétés sensibles; Moisissure grise et chancre de tiges en progression dans tomate.
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02 juin 2021
Du nouveau sur le virus du fruit rugueux brun de la tomate (ToBRFV). Concombre : fonte de semis tardive (Pythium) : chaux hydratée à la rescousse. Pucerons : dépôts de fumagine à déloger. Punaises Microtechnites : de plus en plus tôt, de plus en plus nombreuses. Punaise terne à surveiller.
Coenosia : une mouche prédatrice de sciarides à votre service! DU NOUVEAU SUR LE VIRUS DU FRUIT RUGUEUX BRUN DE LA TOMATE (ToBRFV) Fruits marbrés avec ou sans rugosité Photo : collaborateur du RAP Feuilles déformées avec mosaïques Photo : collaborateur du RAP Le virus du fruit rugueux brun de la tomate (ToBRFV), communément appelé la rugose, peut causer des pertes très importantes dans la tomate et est difficile à éliminer. De nombreux projets de recherche s'y sont intéressés au cours des dernières années, et il a fait l’objet de plusieurs conférences partout dans le monde, dont une série de webinaires au Québec. Tout récemment, AGDIA a commercialisé des bandelettes appelées ‘Immuno-Strip’ permettant de détecter en quelques minutes la présence de particules virales de la rugose. Ces bandelettes peuvent vous être utiles et sont actuellement en vente au Québec, chez Plant Products. Le MAPAQ a aussi permis la mise en place d’un projet d’envergure dans le but d’outiller l’industrie à faire face à cette nouvelle menace. En plus d'une enquête provinciale sur la prévalence de la maladie, le projet vise à valider des tests de dépistage ainsi qu'à établir les méthodes de désinfection des semences et des terreaux. Ce projet, pris en charge par le CRAM (Centre de recherche agroalimentaire de Mirabel), sera réalisé avec la collaboration des Producteurs en serre du Québec (PSQ), d'agronomes des secteurs public et privé, des chercheurs et virologistes d’Agriculture et agroalimentaire Canada (AAC) et de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS). Si vous observez des symptômes de ToBRFV dans vos serres, contactez
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