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06 mars 2019
Ces fiches techniques ont été conçues afin d’aider les producteurs et les intervenants à mieux identifier et connaître les espèces adventices (mauvaises herbes) des bleuetières et à intervenir efficacement à l’aide de solutions écologiques. Des combinaisons de plusieurs traitements, tel le passage d’un coupe-racine, l’application
d’un paillis de résineux, le fauchage de la partie supérieure des adventices, la taille au sol de la végétation par fauchage ou brûlage, ont été mises à l’essai et certaines se sont avérées efficaces. Ces moyens de contrôle écologique ainsi que les stades phénologiques des adventices sont présentés ici de façon détaillée et imagée à l’aide de nombreuses photographies prises en champs. Les stades phénologiques ont été suivis sur la Côte-Nord. Leur succession dans le temps sera la même mais pourra être décalée dans le temps selon la situation géographique et la continentalité des régions. Ainsi, les stades présentés seront plus hâtifs dans une région continentale et située plus au sud. L’efficacité des solutions écologiques à l’essai a été évaluée et est présentée ici en pourcentage de diminution du recouvrement de la plante et ce, l’année suivant l’application du traitement. Ève-Catherine Desjardins, chercheuse dans le domaine des petits fruits nordiques CEDFOB
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10 juillet 2020
RAPPORT Les bleuets nains sont des éricacées qui sont composées de deux espèces soit le bleuet à feuilles étroites (Vaccinium angusifolium) et le bleuet fausse-myrtille (Vaccinium myrtilloides). Le cycle de production est un cycle biannuel qui commence par la fauche des champs, suivi de l’année de végétation et pour finir
l’année de récolte. Cette méthode est efficace et procure de meilleurs rendements, mais favorise l’établissement d’autres plantes vivaces indigènes (Gagnon, 2009). Les espèces de mauvaises herbes indigènes présentes dans les bleuetières sont des plantes forestières vivaces éricacées, des graminées vivaces et annuelles ainsi que des mauvaises herbes latifoliées vivaces et annuelles. Comparativement aux grandes cultures, la culture du bleuet nain nécessite peu d’herbicides. Cependant, depuis le milieu des années 80, l’utilisation de l’hexazinone a permis d’augmenter la productivité des bleuetières (Gagnon, 2005). L’hexazinone est un herbicide systémique ayant une grande solubilité, un faible potentiel d’adsorption et une persistance élevée dans le sol (Giroux 2008). Les propriétés de cette matière active la rend mobile dans l’environnement et malgré les faibles taux mesurés dans l’eau en bordure des bleuetières, son impact réel sur les écosystèmes demeure incertain (Giroux 2008, Giroux 2010). Pour cette raison, il est primordial de poursuive les recherches afin d’identifier d’autres produits susceptibles de remplacer l’hexazinone ou qui pourrais permettre une utilisation plus restreinte de celui-ci. La comptonie voyageuse (Comptonia peregrina) est une des mauvaises herbes qui pose le plus problème aux producteurs en bleuetière. Cette myricacée peut former de grandes colonies et se reproduit par rhizomes robustes (Desjardins et al., 2013). Une étude antérieure avait mis en lumière l’effet mitigé du glyphosate en humectation sur quelques espèces dans les bleuetières, dont la comptonie (Gagnon 2009, Guide de production, 2010). Dans le but d’éviter une utilisation
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10 juillet 2020
FICHE SYNTHÈSE Les bleuets nains sont des éricacées qui sont composées de deux espèces soit le bleuet à feuilles étroites (Vaccinium angusifolium) et le bleuet fausse-myrtille (Vaccinium myrtilloides). Le cycle de production est un cycle biannuel qui commence par la fauche des champs, suivi de l’année de végétation et pour
finir l’année de récolte. Cette méthode est efficace et procure de meilleurs rendements, mais favorise l’établissement d’autres plantes vivaces indigènes (Gagnon, 2009). Les espèces de mauvaises herbes indigènes présentes dans les bleuetières sont des plantes forestières vivaces éricacées, des graminées vivaces et annuelles ainsi que des mauvaises herbes latifoliées vivaces et annuelles. Comparativement aux grandes cultures, la culture du bleuet nain nécessite peu d’herbicides. Cependant, depuis le milieu des années 80, l’utilisation de l’hexazinone a permis d’augmenter la productivité des bleuetières (Gagnon, 2005). L’hexazinone est un herbicide systémique ayant une grande solubilité, un faible potentiel d’adsorption et une persistance élevée dans le sol (Giroux 2008). Les propriétés de cette matière active la rend mobile dans l’environnement et malgré les faibles taux mesurés dans l’eau en bordure des bleuetières, son impact réel sur les écosystèmes demeure incertain (Giroux 2008, Giroux 2010). Pour cette raison, il est primordial de poursuive les recherches afin d’identifier d’autres produits susceptibles de remplacer l’hexazinone ou qui pourrais permettre une utilisation plus restreinte de celui-ci. La comptonie voyageuse (Comptonia peregrina) est une des mauvaises herbes qui pose le plus problème aux producteurs en bleuetière. Cette myricacée peut former de grandes colonies et se reproduit par rhizomes robustes (Desjardins et al., 2013). Une étude antérieure avait mis en lumière l’effet mitigé du glyphosate en humectation sur quelques espèces dans les bleuetières, dont la comptonie (Gagnon 2009, Guide de production, 2010). Dans le but d’éviter
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13 avril 2011
L'ARLA a accordé l'extension d'homologation suivante: herbicide Callisto dans le bleuet nain et le bleuet en corymbe: pour le contrôle des mauvaises herbes figurant à l'étiquette et la répression de la petite herbe à poux. Les résidus de mésotrione dans/sur
les bleuets ne doivent pas excéder la limite maximale (LMR) fixée à 0.01 ppm.
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14 août 2024
Les herbicides sont utilisés dans la plupart des bleuetières, puisque la présence de mauvaises herbes affecte grandement la productivité du bleuet nain. Toutefois, il est primordial d’y trouver des alternatives, étant donné que l’utilisation de ces produits est le facteur qui a le plus grand impact négatif sur l’environnement
dans la culture du bleuet nain. Ce projet tentera de répondre à cette problématique en testant diverses techniques de lutte à moindre impact sur les trois principales mauvaises herbes retrouvées en bleuetière : le cornouiller du Canada (Cornus canadensis), la comptonie voyageuse (Comptonia peregrina) ainsi que le kalmia à feuilles étroites (Kalmia angustifolia).
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14 août 2024
Les herbicides sont utilisés dans la plupart des bleuetières, puisque la présence de mauvaises herbes affecte grandement la productivité du bleuet nain (Hall et al. 1981). Toutefois, il est primordial d’y trouver des alternatives étant donné que l’utilisation de ces produits est le facteur qui a le plus grand impact négatif
sur l’environnement dans la culture du bleuet nain (Vienneau et al. 2004). À ce jour, il existe peu de méthodes alternatives qui ont prouvé leur efficacité et celles-ci sont peu documentées (Bellemare 2014 ; Bellemare 2011 ; Agrinova 2009a). Ce projet a pour objectif d’évaluer différentes techniques de lutte à moindre impact sur les trois principales mauvaises herbes retrouvées en bleuetière : le cornouiller du Canada (Cornus canadensis), la comptonie voyageuse (Comptonia peregrina) ainsi que le kalmia à feuilles étroites (Kalmia angustifolia).
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07 décembre 2021
.contenu-article .accordion-list ul{position: relative!important;z-index: 10!important; } td{position:relative!important;z-index:0!important;} td>img{top:calc( 50% - 75px ); left:calc( 50% - 72px );} td ul a{color:#0000ff!important;font-weight:500!important;} La biosécurité est une alliée incontournable pour limiter la
propagation des organismes nuisibles aux cultures. La rentabilité et la pérennité du secteur agricole sont liées au maintien du meilleur état sanitaire possible des végétaux. Les principes de biosécurité ont déjà fait leurs preuves dans de nombreux domaines, notamment au niveau des productions animales. L’arrivée de la mouche du bleuet au Saguenay–Lac-Saint-Jean a fait ressortir la nécessité d’implanter ces concepts, qui sont encore peu connus ou utilisés dans ce secteur, afin de mieux gérer les risques économiques que peuvent causer les organismes nuisibles aux cultures. En vue d’aider les entreprises dans cette transition, voici une trousse de biosécurité adaptée à la production du bleuet nain. Cette trousse propose au producteur (productrice) différents outils numériques (modèles de plan de biosécurité, fiches explicatives, capsules d’animation, vidéo, affiches, dépliants, etc.) en vue d'implanter les mesures de biosécurité adéquates dans son entreprise. Ces outils peuvent servir, entre autres, à la gestion de la biosécurité, à l’affichage, à la signalisation, à la sensibilisation des visiteurs et à la formation des employés. Certains outils peuvent être téléchargés et adaptés aux besoins de l’entreprise, utilisés pour impression sur le matériel de votre choix ou visionnés en ligne. De plus, des liens vers des renseignements pertinents ou d’autres outils déjà existants sur le Web sont également ajoutés pour regrouper l’information. La biosécurité est un ensemble de pratiques utilisées pour prévenir, minimiser et gérer la transmission (introduction et propagation) des organismes nuisibles connus, nouveaux ou inconnus. Elle
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25 juillet 2014
Le profil de la culture du bleuet nain au Canada, 2011 présente un aperçu de la production et des méthodes de lutte antiparasitaire ayant trait à le bleuet nain au Canada. De plus, il renferme des renseignements sur les facteurs abiotiques qui en affectent la croissance. Le profil explique également la biologie des maladies,
des insectes, des mites et des mauvaises herbes qui sont les principales sources de problèmes affectant cette culture, ainsi que les méthodes de lutte (lutte culturale et lutte chimique) employées. En outre, des tableaux fournissent de plus amples renseignements sur les ravageurs, ainsi que sur les méthodes de lutte antiparasitaire intégrée et les pesticides homologués que les cultivateurs peuvent utiliser.
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