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19 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
31 juillet 2014
Voici le rapport final du projet "Élaboration d'une stratégie de lutte intégrée contre la pourriture sclérotique dans le bleuet en corymbe en régie biologique" réalisé par FERTIOR et le MAPAQ de la Chaudière-Appalaches et financé
dans le cadre du volet 3 du programme Innovbio du MAPAQ.
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02 novembre 2021
La pourriture sclérotique (Monilinia vaccinii-corymbosi), une maladie fongique, est présente au Québec avec une forte incidence dans certaines régions. Un modèle prévisionnel a été développé à l'Université du Maine à partir d’informations de chercheurs d’AAC en Nouvelle-Écosse. Ce modèle est utilisé pour orienter les intervenants
et producteurs dans le suivi de cette maladie. Il sert à prédire le développement de la maladie, aide à la prise de décision et mène à une diminution d’application de fongicides en diminuant la pratique d’application systématique. Les conditions météorologiques associées au climat continental et les spécificités au niveau des types de sols des bleuetières québécoises justifient l’évaluation et l’adaptation de ce modèle prévisionnel. Ce projet vise l’adaptation du modèle existant afin d’assurer une gestion efficace et raisonnée de la pourriture sclérotique dans la culture du bleuet sauvage au Québec. Les résultats obtenus démontrent que le modèle ne répond pas de façon adéquate à la réalité du terrain. Un faible nombre de jeux de données et le fait qu’une infection peut survenir uniquement lorsque des apothécies sont présentes pendant la période phénologique sensible du bleuet nain rendent l’évaluation très limitée. Plus d’observations seraient nécessaires afin de tirer des conclusions plus précises sur le potentiel prévisionnel du modèle.
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02 novembre 2021
FICHE SYNTHÈSE: La pourriture sclérotique (Monilinia vaccinii-corymbosi), une maladie fongique, est présente au Québec avec une forte incidence dans certaines régions. Un modèle prévisionnel a été développé à l'Université du Maine à partir d’informations de chercheurs d’AAC en Nouvelle-Écosse. Ce modèle est utilisé pour
orienter les intervenants et producteurs dans le suivi de cette maladie. Il sert à prédire le développement de la maladie, aide à la prise de décision et mène à une diminution d’application de fongicides en diminuant la pratique d’application systématique. Les conditions météorologiques associées au climat continental et les spécificités au niveau des types de sols des bleuetières québécoises justifient l’évaluation et l’adaptation de ce modèle prévisionnel. Ce projet vise l’adaptation du modèle existant afin d’assurer une gestion efficace et raisonnée de la pourriture sclérotique dans la culture du bleuet sauvage au Québec. Les résultats obtenus démontrent que le modèle ne répond pas de façon adéquate à la réalité du terrain. Un faible nombre de jeux de données et le fait qu’une infection peut survenir uniquement lorsque des apothécies sont présentes pendant la période phénologique sensible du bleuet nain rendent l’évaluation très limitée. Plus d’observations seraient nécessaires afin de tirer des conclusions plus précises sur le potentiel prévisionnel du modèle.
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24 février 2025
Dans cette étude, différentes doses de Frass (3-2-2) ont été utilisées en combinaison avec différentes doses d’Acti-Sol (5-3-2), le fertilisant généralement utilisé par les producteurs de bleuets biologiques. Les résultats ont été comparés à ceux obtenus avec de l’Acti-Sol utilisé seul ainsi qu’un fertilisant chimique utilisé
en régie conventionnelle (15-10-10) et un contrôle sans fertilisant. L’objectif de la présente étude est de documenter l’effet du Frass, combiné à l’Acti-Sol, à titre de fertilisant dans la culture du bleuet nain.
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06 novembre 2025
Les maladies susceptibles de causer des dommages à la vigne sont causées par un large éventail d’organismes: phytoplasmes, virus, bactéries, levures, pseudochampignons et champignons. Ces organismes affectent les différents organes de la vigne soit les racines, bois, sarments, feuilles et baies. Les symptômes visuels varient
selon les conditions météorologiques, l’état de santé de la vigne (stress, carence), l’âge des organes affectés et la population de l’agent pathogène (taille et diversité génétique). Le diagnostic de ces organismes et des maladies qu’ils causent est donc complexe d’autant que certains de ces organismes peuvent être dans un stade ‘latent’ sans causer de symptômes apparents ou être plusieurs à affecter simultanément la vigne. De plus, certains des champignons pathogènes se sont adaptés aux fongicides, adaptation généralement exprimée par des mutations dans leur génome. Les individus résistants présentent des phénotypes semblables ce qui rend le diagnostic visuel impossible. Par contre, il est possible de détecter les individus résistant à l’aide de tests moléculaires. C’est dans ce contexte que le projet a été réalisé et visait à développer des tests moléculaires qui permettent de détecter et d’identifier ces organismes ainsi que les mutations liées à la résistance aux fongicides. Les champignons ciblés sont les nouvelles espèces de Botrytis cinerea (pourriture de la grappe/moisissure grise), Elsinoë ampelina (anthracnose), Erysiphe necator (blanc), Guignardia bidwellii (pourriture noire), Phomopsis viticola (excoriose), les nouvelles sous–espèces de Plasmopara viticola riparia, P.v. aestivalis et P.v. vinifera (mildiou), Colletotrichum spp. (pourriture de maturité des baies), Greeneria uvicola (pourriture amère), Pilidiella diplodiella (rot blanc) et Pseudopezicula tracheiphila (rougeot parasitaire).
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02 mars 2018
Conférence prononcée lors de la Journée en 'Lutte Intégrée' du 8 décembre 2017 dans le cadre des Journées Horticoles et Grandes Cultures (JHGC) de St-Rémi. Cette présentation décrit l'efficacité, les modes d'action et d'application d'un futur biofongicide (en processus d'homologation au Canada), le Prestop
4B contenant les spores d'un champignon bénéfique, Gliocladium catenulatum souche J1446 (syn.: Clonostachys rosea f. catenula), afin de lutter contre la moisssure grise (Botrytis cinerea) dans la fraise en champ et sous abri, ainsi que la pourriture interne du fruit (Fusarium subglutinans) dans le poivron sous serre.
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21 juin 2022
La fraise est très sensible aux maladies racinaires et du collet présentes dans le sol. Dans plusieurs champs, le recours aux fumigants, qui sont des produits présentant des indices de risques élevés pour la santé et l’environnement, est devenu une pratique courante et souvent considérée primordiale pour continuer à cultiver.
En Europe, les producteurs de fraises se sont tournés vers la culture dite en hors sol qui se réalise traditionnellement sous serre ou tunnels. Au Québec, du fait du climat, la culture de fraises en serre ou sous tunnels est coûteuse et nécessite beaucoup de ressources. Or, une alternative de culture hors sol en plein champ a été développée aux États-Unis sous le nom de « raised bed trough system (RABETS) ». Le présent projet posait l’hypothèse que ce système de culture de la fraise en hors sol au champ était possible au Québec et permettrait de cultiver la fraise sans maladies racinaires et sans utiliser de fumigants. Nous avons testé ce dispositif sur deux ans (2018-2019), une année en fraises à jours neutres et une autre en fraises d’été, dans un champ présentant un historique de maladies racinaires important sur les fraisiers. Pour les deux cultures, deux variétés de fraises ont été testées en hors sol RABETS en comparaison avec un témoin non fumigé et un témoin fumigé en plein champ. Les deux années du projet ont mis en évidence que le système hors sol a permis de conduire la culture de variétés de fraises à jours neutres et de fraises d'été presque sans symptômes de maladies du sol, notamment au niveau racinaire où l’incidence et la sévérité de la pourriture noire. De plus, la protection contre les maladies racinaires dans le système hors sol a été largement meilleure que la fumigation.
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21 juin 2022
La fraise est très sensible aux maladies racinaires et du collet présentes dans le sol. Dans plusieurs champs, le recours aux fumigants, qui sont des produits présentant des indices de risques élevés pour la santé et l’environnement, est devenu une pratique courante et souvent considérée primordiale pour continuer à cultiver.
En Europe, les producteurs de fraises se sont tournés vers la culture dite en hors sol qui se réalise traditionnellement sous serre ou tunnels. Au Québec, du fait du climat, la culture de fraises en serre ou sous tunnels est coûteuse et nécessite beaucoup de ressources. Or, une alternative de culture hors sol en plein champ a été développée aux États-Unis sous le nom de « raised bed trough system (RABETS) ». Le présent projet posait l’hypothèse que ce système de culture de la fraise en hors sol au champ était possible au Québec et permettrait de cultiver la fraise sans maladies racinaires et sans utiliser de fumigants. Nous avons testé ce dispositif sur deux ans (2018-2019), une année en fraises à jours neutres et une autre en fraises d’été, dans un champ présentant un historique de maladies racinaires important sur les fraisiers. Pour les deux cultures, deux variétés de fraises ont été testées en hors sol RABETS en comparaison avec un témoin non fumigé et un témoin fumigé en plein champ. Les deux années du projet ont mis en évidence que le système hors sol a permis de conduire la culture de variétés de fraises à jours neutres et de fraises d'été presque sans symptômes de maladies du sol, notamment au niveau racinaire où l’incidence et la sévérité de la pourriture noire. De plus, la protection contre les maladies racinaires dans le système hors sol a été largement meilleure que la fumigation.
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18 mars 2025
Les cultures de couverture en maraîcher : plus de fenêtres et d’options que vous ne le pensez s’offrent à vous version 2.0. Dans ce PDF, vous trouverez 7 fiches techniques qui résument les réflexions, les questionnements et les observations qui ont eu lieu à la suite d’un projet de mobilisation collective sur l’implantation
des cultures de couverture en production maraîchère en Montérégie. Afin de bonifier les fiches, les observations ou résultats d’autres essais au Québec ont été ajoutés en références. Pour les plus novices, ces fiches sont un point de départ afin d’éviter certaines erreurs de base et permettent aussi de diversifier les systèmes déjà en place sur les entreprises plus expérimentées. Elles ne représentent donc pas un Guide complet, mais plutôt une bougie d’allumage. Il est recommandé de lire la fiche 1 au départ et se diriger vers la fiche correspondant à votre besoin par la suite. Bonne consultation! Fiche 1: Réflexions préliminaires- inclut aussi une section Gestion intégrée des ennemis de cultures (recommandée en lecture initiale) Fiche 2: Cultures de couverture en intercalaire_ culture sur paillis plastique Fiche 3: Cultures de couverture en interclaire_ après le dernier sarclage d'une culture de plein champ Fiche 4: Cultures de couverture en dérobée_ après une récolte hâtive Fiche 5: Cultures de couverture en dérobée_ après une récolte tardive Fiche 6: Cultures de couverture en dérobée_avant une implantation tardive Fiche 7: Cultures de couverture_pleine saison Ce projet a été financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation dans le cadre du programme Prime-Vert 2023-2026.
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