Les plantes fourragères, principalement utilisées dans l’alimentation des vaches laitières, occupent plus de la moitié de la superficie en grandes cultures du Québec. L’agriculture nordique possède ses propres spécificités, puisque les températures plus froides auraient une influence positive sur la valeur nutritive des plantes fourragères. Les agriculteurs de ces régions doivent parfois miser sur les caractéristiques nutritionnelles et organoleptiques de leurs fourrages qui se démarquent afin de bien se positionner sur le marché. Par ailleurs, il est souvent plus avantageux pour les régions nordiques de produire ce type de culture, puisque celles-ci n’ont pas nécessairement les unités thermiques permettant de produire des plantes comme le maïs ou le soya.
Ce document résume un article scientifique qui avait pour but de comparer l’évolution de la valeur nutritive au cours de la croissance printanière de la luzerne et de la fléole des prés cultivées sous les conditions d’agriculture nordique du Saguenay–Lac-Saint-Jean (Normandin) à celle des mêmes fourrages produits dans deux autres régions situées plus au sud de la province, soit à Saint-Augustin-de-Desmaures et à Sainte-Anne-de-Bellevue.
Organisation : Université Laval et Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) Auteur(s) : Rachel Gervais (Univ. Laval), Gaëtan Tremblay (AAC) Date de publication : 30 juin 2020
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