Le défi, bien connu des éleveurs et éleveuses, est que certaines truies ne produisent pas assez de colostrum pour tous leurs porcelets, surtout avec les portées de plus en plus nombreuses. Cela crée un désavantage pour les porcelets plus faibles. Grâce aux recherches menées par la Dre Chantal Farmer au Centre de recherche et de développement de Sherbrooke (AAC) au Québec, une solution simple et peu coûteuse (environ 0,04 $ par porcelet*) a été mise au point.
En effet, une injection d’ocytocine administrée de 10 à 12 heures après la fin de la mise bas permettrait de prolonger la phase colostrale. Cette innovation est d’ailleurs déjà appliquée dans certaines fermes en Amérique du Nord.
Organisation : Porc Québec, septembre 2025 Auteur(s) : L. Moura Rocha et R. Bertinotti | Les Éleveurs de porcs du Québec Date de publication : 15 septembre 2025
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