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La gestion de cette maladie génère beaucoup de frustration au moment où l’industrie maximise les efforts pour restreindre l’utilisation des antibiotiques alors que les vaccins ne se sont pas avérés très efficaces contre cette bactérie encapsulée. En effet, les seuls vaccins disponibles et utilisés sur le terrain sont ceux composés de bactéries tuées (‘bactérines’ – bactéries mortes administrées aux animaux), étant pour la plupart des autovaccins. Le coût du vaccin est faible, mais son effet protecteur est controversé et, lorsqu’observé, limité généralement à une protection homologue.
Organisation : Porc Québec, avril 2016
Auteur(s) : Mariela Segura, FMV; René Roy, Chaire de recherche du Canada en chimie thérapeutique | UQAM
Date de publication : 01 avril 2016