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Le présent rapport analyse, des points de vue économique et technique, l’intérêt de l’introduction de pratiques agroforestières sur les terres agricoles avec l’objectif de capter le carbone et ainsi réduire les gaz à effet de serre (GES). L’exercice a été réalisé dans le contexte géographique d’un bassin versant à vocation agricole, soit le bassin de la rivière L’Ormière, au Québec. Plus précisément, il s’agissait d’établir le potentiel du bassin quant à l’implantation de haies brise-vent et de systèmes riverains agroforestiers, de quantifier la quantité de carbone pouvant être séquestré et de vérifier dans quelle mesure la vente des crédits de captage du carbone attribués aux pratiques agroforestières constituerait une incitatif pour la mise en place de telles pratiques au sein de l’entreprise agricole. L’étude a été financé par le Programme d’atténuation des gaz à effet de serre pour le secteur agricole canadien.