Une main-d’oeuvre formée et stable possible comme en Chaudière-Appalaches
Pour les Beaucerons, l’expression « rareté de main-d’oeuvre » n’est pas nouvelle, car le taux de chômage est généralement l’un des plus bas depuis longtemps. Dès 2004, des producteurs agricoles de la région se donnaient comme objectif l’embauche de main-d’oeuvre « locale », celle-ci s’étendant jusqu’à Montréal. Dès le début, différents acteurs ont travaillé main dans la main pour atteindre des résultats concrets : le Centre d’emploi agricole (CEA) de l’UPA, le Centre de formation de Saint-Anselme, Emploi-Québec, les employeurs agricoles, Agrijob deMontréal (service d’AGRIcarrières) et l’organisme Intégration communautaire des immigrants. La vision du projet était de recruter des personnes intéressées au secteur agricole, en particulier de la région de Montréal, pour les rendre disponibles aux employeurs de la région souhaitant une main-d’oeuvre locale et formée.