Rapport final - Gérer l'eau en grandes cultures biologiques : objectif terrain
Le Québec dispose de plusieurs sources d’information concernant les pratiques de conservation de l’eau, afin d’en optimiser l’usage et de réduire le transport des contaminants vers l’eau de surface. L’application de ces pratiques dépend des conditions de la ferme et doit découler d’un diagnostic permettant de cibler les bonnes interventions. Les systèmes de production biologique posent plusieurs défis sur le plan agroenvironnemental en raison, par exemple, de la nature des travaux du sol en lien avec le contrôle des mauvaises herbes et l’enrichissement du sol en phosphore découlant des apports récurrents d’engrais organiques.
Dans le cadre d’une collaboration entre l’Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA) et le Syndicat des producteurs de grains biologiques du Québec (SPGBQ), ce projet visait à former les agronomes et les producteurs agricoles sur les outils de diagnostic (volet 1 du projet) et d’intervention (volet 2 du projet) liés à la conservation de l’eau adaptés aux conditions qui peuvent être rencontrées dans les entreprises agricoles productrices de grandes cultures biologiques du Québec. La formule retenue a inclus une formation en salle comptant sept ateliers dans 2 régions du Québec, suivies d’études de cas qui ont eu lieu à la Plateforme d’innovation en agriculture biologique de l’IRDA (Montérégie), ainsi que dans trois entreprises agricoles situées dans les régions du Centre-du-Québec, de Chaudière-Appalaches et du Saguenay-Lac-St-Jean.
Les sujets abordés dans le volet diagnostic ont inclus l’évaluation des besoins en eau des cultures, la détermination des voies d’écoulement de l’eau, ainsi que l’identification de pratiques agricoles et de systèmes culturaux favorables à la conservation des sols et de l’eau. Découlant du diagnostic, les interventions telles la mise en place d’ouvrages hydroagricoles et l’application de pratiques et de systèmes agricoles durables qui favorisent la conservation de l’eau au plan de la quantité et de la qualité ont été documentées.
Livrables d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
Dans le cadre d’une collaboration entre l’Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA) et le Syndicat des producteurs de grains biologiques du Québec (SPGBQ), ce projet visait à former les agronomes et les producteurs agricoles sur les outils de diagnostic (volet 1 du projet) et d’intervention (volet 2 du projet) liés à la conservation de l’eau adaptés aux conditions qui peuvent être rencontrées dans les entreprises agricoles productrices de grandes cultures biologiques du Québec. La formule retenue a inclus une formation en salle comptant sept ateliers dans 2 régions du Québec, suivies d’études de cas qui ont eu lieu à la Plateforme d’innovation en agriculture biologique de l’IRDA (Montérégie), ainsi que dans trois entreprises agricoles situées dans les régions du Centre-du-Québec, de Chaudière-Appalaches et du Saguenay-Lac-St-Jean.
Les sujets abordés dans le volet diagnostic ont inclus l’évaluation des besoins en eau des cultures, la détermination des voies d’écoulement de l’eau, ainsi que l’identification de pratiques agricoles et de systèmes culturaux favorables à la conservation des sols et de l’eau. Découlant du diagnostic, les interventions telles la mise en place d’ouvrages hydroagricoles et l’application de pratiques et de systèmes agricoles durables qui favorisent la conservation de l’eau au plan de la quantité et de la qualité ont été documentées.
Livrables d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
