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64 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Fiers de diffuser leur expertise
09 avril 2024
Conférence présentée dans le cadre du Webinaire sur les ravageurs du maïs sucré le 3 avril 2024. Les outils de suivi sont pertinents et à utiliser en complémentarité! Pour viser la réussite, il est important de comprendre les ravageurs et les stades où la culture est à risque! Par la suite, il est donc plus facile d’appliquer
les bons produits aux bons moments et ainsi réduire les applications à l’essentiel. Une vidéo de la conférence sera disponible prochainement. Le Webinaire est une initiative de l'IRDA en collaboration avec le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), Agriculture et Agroalimentaire Canada et Groupe PleineTerre. Ce projet est financé par l’entremise du Programme Innovation bioalimentaire 2023-2028, Volet 5 - Soutien au transfert de connaissances et à la diffusion, en vertu du Partenariat canadien pour une agriculture durable, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec.
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09 avril 2024
Conférence présentée dans le cadre du Webinaire sur les ravageurs du maïs sucré le 3 avril 2024. Quelle est l’évolution des populations de ravageurs du maïs sucré depuis 15 ans et comment nos stratégies de gestion ont-elles évolué pour y répondre? Les conférenciers font une analyse du passé et des suggestions pour l'avenir.
Une vidéo de la conférence sera disponible prochainement. Le Webinaire est une initiative de l'IRDA en collaboration avec le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), Agriculture et Agroalimentaire Canada et Groupe PleineTerre. Ce projet est financé par l’entremise du Programme Innovation bioalimentaire 2023-2028, Volet 5 - Soutien au transfert de connaissances et à la diffusion, en vertu du Partenariat canadien pour une agriculture durable, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec.
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09 avril 2024
Conférence présentée dans le cadre du Webinaire sur les ravageurs du maïs sucré le 3 avril 2024. La présentation fait une rétrospective de la situation de la pyrale du maïs en tant que ravageur du maïs sucré. Mme Gagnon passe en revue les recherches récentes effectuées sur ce ravageur, en tentant notamment d’identifier
les raisons de son déclin. Enfin, elle aborde les perspectives concernant son avenir en tant que ravageur, en tenant particulièrement compte des changements climatiques. Une vidéo de la conférence sera disponible prochainement. Le Webinaire est une initiative de l'IRDA en collaboration avec le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), Agriculture et Agroalimentaire Canada et Groupe PleineTerre. Ce projet est financé par l’entremise du Programme Innovation bioalimentaire 2023-2028, Volet 5 - Soutien au transfert de connaissances et à la diffusion, en vertu du Partenariat canadien pour une agriculture durable, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec.
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16 février 2024
Le cas du maïs sucré – En 2016, le ver-gris occidental du haricot (VGOH), Striacosta albicosta, a fait son apparition dans les champs de maïs sucré au Québec, tandis que la pyrale du maïs (PM), Ostrinia nubilalis, exerce une pression moindre depuis plusieurs années. Cette situation soulève des questions concernant l’évolution
des populations de lépidoptères ravageurs du maïs sucré et suscite la nécessité d’adapter les stratégies d’intervention. Pour répondre à ces questionnements, l’IRDA a mis sur pieds en 2020 le projet : « Dynamique des populations des ravageurs lépidoptères du maïs sucré et recommandations d’adaptations des stratégies de lutte ».
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30 janvier 2024
Dans le cadre de son projet Portrait du compostage à la ferme des résidus végétaux générés par les entreprises maraîchères québécoises : fermes type, suivis et défis, l’IRDA a développé des outils pour aider les producteurs maraîchers et les agronomes à élaborer des stratégies de gestion des résidus végétaux par le compostage.
À propos du projet Bien que le compostage soit un mode de gestion connu depuis de nombreuses années, son application sur les fermes est encore aujourd’hui marginale. Le présent projet visait entre autres à comprendre pourquoi, en dépit des avantages qu’il procure, le compostage ne parvient pas à s’implanter de façon pérenne sur les exploitations agricoles maraîchères québécoises. Pour tenter d’y répondre, des consultations et rencontres ont été faites auprès de certains producteurs maraîchers et entreprises maraîchères situées dans diverses régions du Québec afin d’identifier notamment les freins et les leviers concernant les activités de compostage à la ferme. Malgré les différents défis identifiés, il s’avère que le compostage suscite toujours de l’intérêt comme technique de gestion des RV et de production de compost?; de nombreuses questions tant sur les avantages et les techniques du compostage à la ferme que sur les caractéristiques du compost et les avantages liés à son emploi comme amendement de sol. Ce projet a été financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation dans le cadre du programme Prime-Vert. Les outils pour les producteurs agricoles maraîchers et les agronomes 1. Aide-mémoire pour les conseillers Cet outil vise à rappeler les différents éléments à considérer avant de commencer à composter ou encore pour effectuer un suivi du compostage ou valoriser le compost produit. 2. Fiche synthèse du projet 3. Cadre règlementaire applicable au compostage de résidus végétaux à la ferme Au Québec, les activités de compostage et d’utilisation de compost à la ferme sont encadrées par certaines lois, des règlements,
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30 janvier 2024
Bien que le compostage soit un mode de gestion connu depuis de nombreuses années, son application sur les fermes est encore aujourd’hui marginale. Le présent projet visait entre autres à comprendre pourquoi, en dépit des avantages qu’il procure, le compostage ne parvient pas à s’implanter de façon pérenne sur les exploitations
agricoles maraîchères québécoises. Pour tenter d’y répondre, des consultations et rencontres ont été faites auprès de certains producteurs maraîchers et entreprises maraîchères situées dans diverses régions du Québec afin d’identifier notamment les freins et les leviers concernant les activités de compostage à la ferme. Malgré les différents défis identifiés, il s’avère que le compostage suscite toujours de l’intérêt comme technique de gestion des RV et de production de compost?; de nombreuses questions tant sur les avantages et les techniques du compostage à la ferme que sur les caractéristiques du compost et les avantages liés à son emploi comme amendement de sol. Ce document est une fiche synthèse du projet en question. Ce projet a été financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation dans le cadre du programme Prime-Vert.
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31 octobre 2022
Les producteurs de grandes cultures biologiques cherchent à diversifier leurs systèmes de cultures en introduisant des légumes dans leur rotation. Les carottes pour le marché frais et de transformation font partie des légumes convoités par ces producteurs. Mais peu d'entre eux parviennent à les cultiver à grande échelle,
car le désherbage manuel obligatoire est très chronophage et demande beaucoup d'attention et de minutie. La plantule de carotte qui émerge est toute menue et ne supporte pas la compétition avec les mauvaises herbes. De plus, le désherbage mécanique du rang est problématique, car peu d'outils peuvent s'approcher des plantules de carotte sans les abîmer. Un projet a été initié en 2019 à la Plateforme d’innovation en agriculture biologique à Saint-Bruno-de-Montarville et à l’Institut national d’agriculture biologique à Victoriaville. D’une durée de trois ans, il avait pour objectif de développer des stratégies et des moyens afin de réduire la pression des mauvaises herbes dans la carotte jumbo et nantaise et plus particulièrement sur le rang. Six expériences ont fait l’objet de l’étude : le moment d’application du fumier de poule granulé, la technique de l’occultation, le faux-semis avec ou sans travail de sol, le semis de carottes dans des bandes de compost stérile, l’impact du type d’outils de sarclage mécanique et de la distance du rang à laquelle il est passé ainsi que l’effet du renchaussage sur la qualité et le rendement de la carotte et sur les mauvaises herbes. Chaque parcelle était composée de 4 buttes d’une longueur de 6 m, distancées entre elles de 76 cm. Le dispositif expérimental était en bloc aléatoire complet répété quatre fois. Cependant, l’expérience sur le type d’outils et la distance des outils du rang était disposée en parcelles divisées (split-plot) où la parcelle principale représentait l’outil et les sous-parcelles (buttes), la distance de l’outil du rang soit 2,5, 5 et 7,5 cm et le témoin désherbé manuellement. Les résultats sur
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14 septembre 2022
Le document est la dernière version mise à jour et augmentée du guide des cultures de CIPRA et il inclut les informations de tous les modèles implantés depuis la version 2018. CIPRA est un logiciel convivial qui permet de visualiser les prévisions d’attaque d’insectes ou de maladies, l’incidence de désordres physiologiques
de même que la phénologie de certaines plantes cultivées. En utilisant des modèles mathématiques alimentés par les données météorologiques en temps réel, le CIPRA génère des graphiques permettant d’évaluer d’un coup d’œil les indices de risques de certaines maladies, le développement de populations d’insectes et la croissance de cultures spécifiques. Ce document est également disponible sur le site des publications d'Agriculture et Agroalimentaire Canada, en anglais et en français (Publications du gouvernement du Canada - Canada.ca).
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29 juillet 2022
Ce rapport présente les résultats des mesures de césium-137 réalisées dans des champs en production horticole sur sol organique dans le sud-ouest de la Montérégie. Les résultats de cette étude ont permis d’évaluer les pertes de sol cumulées depuis le début des années 1960. La perte moyenne de sol a été estimée à 2,9 t/ha/an,
variant de 0,4 à 8,8 t/ha/an. La perte de sol estimée a montré une tendance à croître avec la durée d’exploitation agricole des champs. Une tendance à la décroissance de la perte de sol a été notée avec l’importance croissante d’une protection forestière contre les vents dominants. Les champs sur sol humique (matière organique plus évoluée) ont présenté des taux d’érosion légèrement supérieurs aux champs sur sol mésique-humique. Il s’agit de la première étude sur l’érosion des sols organiques cultivés avec le césium-137. Le projet a soulevé certains points méritant d’être étudiés dans le futur afin d’adapter l’approche utilisée à la nature des sols organiques.
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28 juin 2022
Traduction au français d'une affiche présenté lors de la 74ème réunion annuelle de la Société canadienne de malherbologie. Gatineau, Qc. 23-27 novembre 2020. L’amarante tuberculée est une mauvaise herbe d’importance économique, présente au Québec depuis 2017. La plupart des populations de la province sont détectées
tard dans la saison, lorsque la lutte chimique ou mécanique n'est plus une option. Afin de minimiser l'augmentation de la banque de graines, le désherbage manuel a été la méthode de contrôle la plus courante, du moins pendant la première année de la découverte. Cependant, l'élimination des résidus est problématique : si elles sont laissées dans le champ, les plantes sont capables de se réenraciner et de produire des graines viables, bien qu'en petites quantités et le brûlage des plantes désherbées n'est pas possible en raison des lois provinciales. Nos recherches préliminaires ont montré que l’amarante tuberculée de grande taille peut survivre plusieurs semaines à l'intérieur de sacs à ordures et continuer à produire des graines viables. La présente étude a testé les deux options restantes : la solarisation et l'enfouissement. La solarisation consiste à collecter les résidus dans des sacs poubelles et à les exposer au soleil pendant plusieurs semaines avant de les jeter. Nous avons testé le temps (2, 4, 6 ou 8 semaines) qu'il faudrait pour tuer efficacement l’amarante tuberculée (graines, petites plantes et plantes adultes) par solarisation et enfouissement. L'effet de la profondeur d'enfouissement a également été examiné à 0, 5, 10, 15 et 20 cm. Nos résultats montrent que la solarisation jusqu'à 8 semaines n'est pas une méthode efficace pour lutter contre l’amarante tuberculée : les petites plantes et les tiges restent capables de se réenraciner ; les graines étaient capables de germer à l'intérieur des sacs poubelles. De plus, le taux de germination était plus élevé pour les graines solarisées que pour le traitement non solarisé. Les plantes enterrées
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