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154 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Fiers de diffuser leur expertise

19 mai 2023
Ces fiches ont été conçues comme aide-mémoire afin d’en faciliter l’utilisation. Une formation plus approfondie en biosécurité permet de mieux comprendre quand, comment et pourquoi utiliser les recommandations qu’elles contiennent. Les fiches ne sont pas seulement limitées aux organismes nuisibles aux productions végétales.
En effet, un intervenant peut avoir à visiter différentes productions végétales et/ou animales dans la même journée ou dans la même semaine. De plus, bien que vous visitiez une production végétale, il est possible que, durant la visite, vous soyez en contact avec d’autres productions que celle visitée ou d’autres agents pathogènes, par exemple dans les cas suivants : présence de fientes d’oiseaux migrateurs : danger de grippe aviaire; rencontre du producteur dans une étable : danger d’agents pathogènes transmissibles aux humains ou aux animaux; chemin de ferme qui traverse une autre production : risque de contamination d’autres productions, etc.
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16 mars 2023
La dartrose de la pomme de terre (Colletotrichum coccodes) est une maladie en progression dans les régions productrices de pomme de terre, notamment au Québec. Elle est en mesure de causer des pertes de vigueur dans la croissance des plants, de réduire les rendements et d’occasionner des lésions sur les tubercules qui occasionnent
des rejets lors de l’emballage. Pour lutter adéquatement contre cette maladie, il est recommandé d’utiliser une combinaison de moyens de lutte préventifs car la lutte avec les fongicides chimiques n’est pas totalement efficace. L’utilisation de cultivars de pomme de terre tolérants à la dartrose est un des premiers facteurs à considérer dans l’établissement d’une stratégie de lutte face à la dartrose. Il n’existe pas sur le marché de cultivar entièrement résistant à cette maladie, mais des études réalisées ailleurs qu’au Québec démontrent que les cultivars n’ont pas tous la même susceptibilité face à la dartrose. Nous avons donc élaboré un projet dont le but premier est de documenter la sensibilité de différents cultivars de pomme de terre utilisés par les producteurs québécois. L’objectif général du projet est de fournir des informations pertinentes aux producteurs de pommes de terre afin de les guider dans leurs choix de cultivars.
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16 mars 2023
La dartrose de la pomme de terre (Colletotrichum coccodes) est une maladie en progression dans les régions productrices de pomme de terre, notamment au Québec. Elle est en mesure de causer des pertes de vigueur dans la croissance des plants, de réduire les rendements et d’occasionner des lésions sur les tubercules qui occasionnent
des rejets lors de l’emballage. Pour lutter adéquatement contre cette maladie, il est recommandé d’utiliser une combinaison de moyens de lutte préventifs car la lutte avec les fongicides chimiques n’est pas totalement efficace. L’utilisation de cultivars de pomme de terre tolérants à la dartrose est un des premiers facteurs à considérer dans l’établissement d’une stratégie de lutte face à la dartrose. Il n’existe pas sur le marché de cultivar entièrement résistant à cette maladie, mais des études réalisées ailleurs qu’au Québec démontrent que les cultivars n’ont pas tous la même susceptibilité face à la dartrose. Nous avons donc élaboré un projet dont le but premier est de documenter la sensibilité de différents cultivars de pomme de terre utilisés par les producteurs québécois. L’objectif général du projet est de fournir des informations pertinentes aux producteurs de pommes de terre afin de les guider dans leurs choix de cultivars.
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15 mars 2023
La brûlure hâtive (Alternaria solani et alternata) est une maladie largement répandue et qui peut causer des pertes importantes de rendement dans la pomme de terre. Pour la contrôler, les producteurs utilisent en moyenne huit à dix applications fongicides par saison. Même si la gestion des produits varie d'une ferme à l'autre,
les produits à base de chlorothalonile et de mancozèbe sont encore largement utilisés, principalement en raison de leur faible coût. Or, ces produits sont très toxiques et présentent des indices de risque sur la santé (IRS) élevés. Ce projet souhaitait tester trois stratégies de lutte intégrée : (1) une alternance de bio-fongicides avec des produits chimiques pénétrants (systémiques, translaminaires) présentant un profil environnemental et sur la santé favorable (IRS et IRE faibles); (2) l’utilisation unique de produits chimiques pénétrants à moindre risques; et (3) l’usage unique de produits de contact (mauvais profil sur la santé). Ces stratégies ont été testées en débutant les applications à un stade précoce de la culture (20 cm de hauteur) et au moment de la fermeture des rangs. Peu importe le cultivar (Envol, Goldrush, Red Maria et Russet Burbank), l’utilisation de fongicides pénétrants a procuré la meilleure protection du feuillage. L'introduction des fongicides biologiques dans la rotation de produits a assuré également une bonne efficacité (similaire à la stratégie utilisant seulement des produits de contact), mais celle-ci a été inférieure à la stratégie producteur ou encore à celle utilisant uniquement des produits pénétrants dans la Goldrush et la Red Maria. Le fait de débuter les traitements à la fermeture des rangs a permis d’éviter trois applications en général, sans impact sur le niveau de protection du feuillage, les rendements et la qualité des tubercules. Logiquement, c’est la stratégie utilisant des produits biologiques en alternance avec des produits chimiques à moindres risques, tout en débutant les traitements au moment de
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15 mars 2023
La brûlure hâtive (Alternaria solani et alternata) est une maladie largement répandue et qui peut causer des pertes importantes de rendement dans la pomme de terre. Pour la contrôler, les producteurs utilisent en moyenne huit à dix applications fongicides par saison. Même si la gestion des produits varie d'une ferme à l'autre,
les produits à base de chlorothalonile et de mancozèbe sont encore largement utilisés, principalement en raison de leur faible coût. Or, ces produits sont très toxiques et présentent des indices de risque sur la santé (IRS) élevés. Ce projet souhaitait tester trois stratégies de lutte intégrée : (1) une alternance de bio-fongicides avec des produits chimiques pénétrants (systémiques, translaminaires) présentant un profil environnemental et sur la santé favorable (IRS et IRE faibles); (2) l’utilisation unique de produits chimiques pénétrants à moindre risques; et (3) l’usage unique de produits de contact (mauvais profil sur la santé). Ces stratégies ont été testées en débutant les applications à un stade précoce de la culture (20 cm de hauteur) et au moment de la fermeture des rangs. Peu importe le cultivar (Envol, Goldrush, Red Maria et Russet Burbank), l’utilisation de fongicides pénétrants a procuré la meilleure protection du feuillage. L'introduction des fongicides biologiques dans la rotation de produits a assuré également une bonne efficacité (similaire à la stratégie utilisant seulement des produits de contact), mais celle-ci a été inférieure à la stratégie producteur ou encore à celle utilisant uniquement des produits pénétrants dans la Goldrush et la Red Maria. Le fait de débuter les traitements à la fermeture des rangs a permis d’éviter trois applications en général, sans impact sur le niveau de protection du feuillage, les rendements et la qualité des tubercules. Logiquement, c’est la stratégie utilisant des produits biologiques en alternance avec des produits chimiques à moindres risques, tout en débutant les traitements au moment de
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06 mars 2023
La biosécurité est un allié incontournable afin de limiter la propagation des organismes nuisibles aux cultures. La rentabilité et la pérennité du secteur agricole sont liées au maintien du meilleur état sanitaire possible des végétaux. Il importe de rester vigilant face aux risques que représentent plusieurs
ravageurs de la pomme de terre, tel que la galle verruqueuse, les nématode à kyste de la pomme de terre, le flétrissement bactérien, le mildiou, etc. L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a développé plusieurs guides de biosécurité, notamment pour le secteur de la pomme de terre. Cependant, afin de faciliter l’adoption de mesures de biosécurité spécifiques à cette production, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ) a développé un « modèle type » de plan de biosécurité. Celui-ci propose différentes mesures à mettre en place que vous pouvez adapter à la réalité de votre entreprise. C’est pourquoi vous trouverez une série de documents à télécharger en format Word et Excel que vous pourrez par la suite modifier selon les mesures que vous désirez mettre en place et imprimer. Pour toutes questions sur le plan de biosécurité ou la façon de vous en servir, vous pouvez communiquer avec Josée Tremblay, conseillère en biosécurité et inspectrice, au 418 662-6457, poste 2876.
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01 mars 2023
Bien qu’étant considérée comme un ravageur secondaire de la pomme de terre, la cicadelle de la pomme de terre (Empoasca fabae) est un insecte qui peut causer des dégâts importants. Néanmoins, les impacts réels des attaques de cet insecte sont peu connus alors que nos connaissances sur les seuils d’intervention à employer
sont encore embryonnaires. Actuellement, le seuil d’intervention contre la cicadelle de la pomme de terre est basé sur le dépistage des nymphes et les recommandations du RAP préconisent le déclenchement d’une application quand le seuil de 10 nymphes/100 feuilles est atteint. Or, ce type de dépistage est long, fastidieux et peu précis car les nymphes sont difficiles à voir. Pour toutes ces raisons, le développement d’un seuil d’intervention basé sur une méthode de dépistage simple, rapide, peu coûteuse et standardisée grâce à l’usage de papiers collants jaunes semble important pour mieux accompagner les producteurs et les conseillers sur le terrain. Dans le but de favoriser le transfert technologique vers l’industrie il importait également de déterminer le nombre de pièges à mettre en place dans un champ commercial. Les résultats obtenus ont démontré qu’un seuil de 25 captures/semaine/piège permettait une très bonne protection du feuillage alors que l’installation de six à huit pièges dans un champ commercial, peu importe sa superficie, permettait d’obtenir un niveau de précision (prise de décision) excellent (85 % et plus) comparativement à l’usage d’un grand nombre de pièges.
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01 mars 2023
Bien qu’étant considérée comme un ravageur secondaire de la pomme de terre, la cicadelle de la pomme de terre (Empoasca fabae) est un insecte qui peut causer des dégâts importants. Néanmoins, les impacts réels des attaques de cet insecte sont peu connus alors que nos connaissances sur les seuils d’intervention à employer
sont encore embryonnaires. Actuellement, le seuil d’intervention contre la cicadelle de la pomme de terre est basé sur le dépistage des nymphes et les recommandations du RAP préconisent le déclenchement d’une application quand le seuil de 10 nymphes/100 feuilles est atteint. Or, ce type de dépistage est long, fastidieux et peu précis car les nymphes sont difficiles à voir. Pour toutes ces raisons, le développement d’un seuil d’intervention basé sur une méthode de dépistage simple, rapide, peu coûteuse et standardisée grâce à l’usage de papiers collants jaunes semble important pour mieux accompagner les producteurs et les conseillers sur le terrain. Dans le but de favoriser le transfert technologique vers l’industrie il importait également de déterminer le nombre de pièges à mettre en place dans un champ commercial. Les résultats obtenus ont démontré qu’un seuil de 25 captures/semaine/piège permettait une très bonne protection du feuillage alors que l’installation de six à huit pièges dans un champ commercial, peu importe sa superficie, permettait d’obtenir un niveau de précision (prise de décision) excellent (85 % et plus) comparativement à l’usage d’un grand nombre de pièges.
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17 octobre 2022
Cette présentation est issue du webinaire tenu par le conférencier Ghislain Poisson le 18 octobre 2022 dans le cadre de la série de webinaires en agriculture numérique et agriculture de précsion. La présentation vise à faciliter l'intégration dans la pratiques des conseillers agricoles l’utilisation des images satellites
en données ouvertes comme un outil additionnel pour effectuer le suivi des cultures, notamment les cultures de couverture et la survie au printemps des céréales d’automne. Deux applications simples et efficaces sont abordée : « Sentinel Playground » et « EO Browser » qui permettent d’afficher rapidement des images provenant des satellites Sentinel-2 et Landsat 8 et 9. Ces produits ont une résolution plus grossière que d’autres types d’imagerie, mais les prises de vues sont fréquentes et accessibles le jour suivant le survol du satellite.
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