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726 documents disponibles
Mise à jour
24 octobre 2024
Ferme François Gosselin produit depuis quelques années de la framboise en culture hors-sol sous abris. Tulameen est le cultivar utilisé. On parle ici d’un cultivar d’été (floricanne), c’est à dire une plante bisannuelle. En fait, il y a d’abord la croissance végétative d’une canne la première année qui deviendra ensuite
productive la saison suivante. Ce type de production nécessite, en conséquence, une phase en pépinière et ultimement une phase en production. Concernant la phase en pépinière, l’entreprise repique actuellement 2 plants mottes par contenant de 1,8 litres de substrat (fibre de coco). La disposition des pots génère une densité de 16 cannes par mètre linéaire. Le projet vise à bonifier les connaissances en termes de densités de plants, de volumes de contenants, de fertigation et de coûts en main d’œuvre pour la phase pépinière et la phase production sous grands tunnels.
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21 octobre 2024
La gestion des mauvaises herbes au pied des vignes est un enjeu majeur en viticulture. Au Québec, la majorité des entre-rangs des vignobles sont enherbés et les rangs sont désherbés à l’aide d’herbicides ou d’équipement de désherbage mécanique. Dans une optique de réduction des pesticides, l’utilisation de couvre-sols enherbés
sous le rang de vigne est un réel gain pour l’environnement et la santé. Cette pratique vise à maîtriser le développement d’adventices indésirables en recouvrant le sol d’espèces végétales sélectionnées. Elle est bien plus qu’une simple façon de remplacer le désherbage chimique et mécanique, car elle offre de multiples avantages. Elle permet de protéger le sol en limitant l’érosion, le ruissellement, la compaction et l’évaporation excessive. Elle favorise la biodiversité et limite les blessures mécaniques, porte d’entrée de plusieurs maladies. Ce projet d’une durée de 3 ans a donc pour but d’évaluer le potentiel de couvre-sols permanents sur le rang comme alternative aux herbicides dans la culture de la vigne au Québec. Pour ce faire nous avons suivi sur trois ans quatre couvre-sols végétaux vivaces comparés à deux traitements témoins dans deux vignobles québécois. Les espèces choisies sont : 1) le Lotier corniculé (Lotus corniculatus); 2) le Thym serpolet (Thymus serpyllum); 3) l’Aspérule odorante (Galium odoratum); 4) l’Épervière piloselle (Pilosella officinarum) et elles étaient comparées à 5) l’Enherbement spontané et 6) le Sol à nu (herbicides selon les pratiques du producteur). Nous avons évalué l’effet des couvre-sols sur la phénologie et la croissance des plants de vigne, sur les ravageurs et les maladies, ainsi que sur le rendement et la qualité des fruits. Nous avons aussi suivi l’établissement des différents couvre-sols choisis et leur compétitivité face aux adventices. Finalement, les problématiques récurrentes de gel sur les sites nous ont aussi amenés à évaluer l’effet du couvert végétal sur la température du sol à différents moments
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21 octobre 2024
Notre étude a permis de mettre en lumière l’intérêt des couvre-sols végétaux en vignoble comme alternative à l’utilisation d’herbicides sur le rang. Nos résultats montrent que les couvre-sols à l’étude ont peu d’effet sur la croissance des vignes, les maladies, les ravageurs et ultimement le rendement, tout en étant une
belle façon d’accroître la biodiversité en vignoble. Des espèces se démarquent dans le contexte de l’étude, soit le thym serpolet et l’épervière piloselle. Ces deux plantes ne nécessitent pas de fauches, car elles restent basses et ne créent pas de problèmes d’humidité aux pieds des ceps. Elles ont aussi une jolie floraison attractive pour les insectes bénéfiques et sont intéressantes pour l’agrotourisme. Leur coût d’implantation reste plus élevé, car elles s’établissent mieux à partir de transplants, mais elles arrivent alors à dominer l’espace rapidement et laissent peu de place à des plantes indésirables. Il reste que des techniques d’implantation plus abordables comme l’hydroensemencement par exemple, devront être testées pour faciliter leur utilisation à l’échelle commerciale. Ce sont également des espèces qui se naturalisent très bien dans le reste du couvre-sol du verger et supportent assez bien le piétinement. Peu de travaux avaient été réalisés sur les couvre-sols permanents dans la vigne au Québec à ce jour, mais devant le fait que le buttage est de plus en plus délaissé, cette technique devient possible et transférable sur une majorité d'entreprises viticoles. Les couvre-sols à l'essai pourraient aussi être intéressants pour plusieurs autres cultures fruitières qui connaissent des enjeux similaires (bleuets, camerises, pommes, poires, etc.).
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16 octobre 2024
Bienvenue sur notre page dédiée aux producteurs d'argousiers et aux conseillers! Le Québec est une région riche en cultures variées et l'argousier fait partie des cultures émergentes les plus implantées, il s’agit de la deuxième culture fruitière émergente en superficie au Québec selon le Ministère de l’agriculture, des
pêcheries et de l’alimentation. Notre page vous offre une mine d'informations sur la production, les pratiques en matière de culture, la phytoprotection, la mise en marché, les informations économiques Notre objectif est de fournir une source d'information fiable et actualisée pour vous aider à prendre des décisions informées et à développer votre entreprise. Nous vous invitons à explorer notre page pour en savoir plus sur les opportunités de croissance de l'industrie de l'argousier et comment vous pouvez en tirer parti. L'argousier au Québec Les bienfaits Carte des producteurs Ressources entrepreneuriales Plongez dans l'univers de l'argousier du Québec avec cette vidéo captivante de Radio-Canada, à ne pas manquer ! Découvrez son histoire, apprenez comment savourer ce fruit, explorez ses bienfaits sur la santé et bien plus encore dans ce blog captivant. Lire le billet Découvrez une carte détaillée des producteurs d'argousier du Québec, illustrant la répartition régionale de cette culture émergente. Cliquer pour agrandir Pour démarrer votre entreprise dans la culture de l'argousier au Québec, consultez Agro-Démarrage pour des conseils pratiques, et découvrez l'arterre, qui met en relation cédants et repreneurs d'entreprises agricoles. ajouter les liens sur les mots arterre et agro-démarrage. Les liens sont: https://outils.craaq.qc.ca/agro-demarrage/GENERAL et https://www.arterre.ca/. Découvrez neuf catégories regroupant une diversité de ressources en ligne dédiées à l'argousier. Explorez cet univers d'informations complètes sur ce fruit sacré et trouvez tout ce dont vous avez besoin pour approfondir vos connaissances
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04 octobre 2024
La page Argousier : tout ce qu'il faut savoir est une source d'information fiable et actualisée pour vous aider à prendre des décisions informées et à développer votre entreprise. Explorez notre page pour en savoir plus sur les opportunités de croissance de l'industrie de l'argousier et comment vous pouvez en
tirer parti. Vous y retrouverez une mine d'informations sur la production, les pratiques en matière de culture, la phytoprotection, la mise en marché, les informations économiques et entrepreneuriales. Consulter la page dédiée pour en savoir plus! Le Québec est une région riche en cultures variées et l'argousier fait partie des cultures émergentes les plus implantées, il s’agit de la deuxième culture fruitière émergente en superficie au Québec selon le Ministère de l’agriculture, des pêcheries et de l’alimentation. Propriétés nutritives Les bienfaits de la baie d’argousier pour la santé sont probablement nombreux et variés. Pour la plupart, ils sont liés aux propriétés antioxydantes de leurs constituants. Les fruits de l’argousier sont également d’intérêt en raison de leur faible teneur calorique et de leur teneur élevée en fibres alimentaires, de vitamine C et en acides gras essentiels. L’argousier s’inscrit aussi dans l’achat en circuit court et la plupart des producteurs mettent eux-mêmes en marché leur production. En achetant leurs produits, vous pouvez en connaître l’origine et vous informer de leur mode de production. Consulter le pour en savoir plus!
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27 août 2024
Le cornouiller du Canada est une plante à rhizomes fréquemment présente en bleuetière. Celle-ci livre une compétition importante à la culture du bleuet. En production biologique, il n’existe aucune méthode de lutte efficace. Les producteurs sont contraints de récolter au travers des colonies jusqu’à ce qu’elles soient trop
denses et qu’ils doivent abandonner leurs parcelles. Toutefois, un essai préliminaire réalisé avec le BioLink, un herbicide à base d’acides gras, a démontré son efficacité contre le cornouiller. Les acides gras s’intercalent dans les membranes cellulaires de la plante, entraînant une fuite puis une dégradation des lipides membranaires, provoquant une nécrose et un effet d'assèchement rapide des cellules des mauvaises herbes ciblées. Les acides gras ne se transloquent pas à travers les tissus ligneux et les racines et ils n'ont aucune activité dans le sol, préservant ainsi la fertilité, la biodiversité et la résistance à l'érosion du sol. Cependant, une seule application en saison ne réduit pas suffisamment les réserves de la plante et celle-ci arrive à recoloniser les parcelles d’étude.
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27 août 2024
Le cornouiller du Canada est une plante à rhizomes fréquemment présente en bleuetière. Celle-ci livre une compétition importante à la culture du bleuet. En production biologique, il n’existe aucune méthode de lutte efficace. Les producteurs sont contraints de récolter au travers des colonies jusqu’à ce qu’elles soient trop
denses et qu’ils doivent abandonner leurs parcelles. Toutefois, un essai préliminaire réalisé avec le BioLink, un herbicide à base d’acides gras, a démontré son efficacité contre le cornouiller. Les acides gras s’intercalent dans les membranes cellulaires de la plante, entraînant une fuite puis une dégradation des lipides membranaires, provoquant une nécrose et un effet d'assèchement rapide des cellules des mauvaises herbes ciblées. Les acides gras ne se transloquent pas à travers les tissus ligneux et les racines et ils n'ont aucune activité dans le sol, préservant ainsi la fertilité, la biodiversité et la résistance à l'érosion du sol. Cependant, une seule application en saison ne réduit pas suffisamment les réserves de la plante et celle-ci arrive à recoloniser les parcelles d’étude.
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14 août 2024
Les herbicides sont utilisés dans la plupart des bleuetières, puisque la présence de mauvaises herbes affecte grandement la productivité du bleuet nain (Hall et al. 1981). Toutefois, il est primordial d’y trouver des alternatives étant donné que l’utilisation de ces produits est le facteur qui a le plus grand impact négatif
sur l’environnement dans la culture du bleuet nain (Vienneau et al. 2004). À ce jour, il existe peu de méthodes alternatives qui ont prouvé leur efficacité et celles-ci sont peu documentées (Bellemare 2014 ; Bellemare 2011 ; Agrinova 2009a). Ce projet a pour objectif d’évaluer différentes techniques de lutte à moindre impact sur les trois principales mauvaises herbes retrouvées en bleuetière : le cornouiller du Canada (Cornus canadensis), la comptonie voyageuse (Comptonia peregrina) ainsi que le kalmia à feuilles étroites (Kalmia angustifolia).
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14 août 2024
Les herbicides sont utilisés dans la plupart des bleuetières, puisque la présence de mauvaises herbes affecte grandement la productivité du bleuet nain. Toutefois, il est primordial d’y trouver des alternatives, étant donné que l’utilisation de ces produits est le facteur qui a le plus grand impact négatif sur l’environnement
dans la culture du bleuet nain. Ce projet tentera de répondre à cette problématique en testant diverses techniques de lutte à moindre impact sur les trois principales mauvaises herbes retrouvées en bleuetière : le cornouiller du Canada (Cornus canadensis), la comptonie voyageuse (Comptonia peregrina) ainsi que le kalmia à feuilles étroites (Kalmia angustifolia).
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