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Les couvre-sols sur le rang en vignoble québécois - 4 fiches techniques

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21 octobre 2024
Caractéristiques, avantages et inconvénients de quatre couvre-sols pour la vigne : aspérule odorante, épervière piloselle, lotier corniculé et thym serpolet.
Évaluation de couvre-sols permanents sur le rang dans la culture de la vigne du Québec - Rapport final

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21 octobre 2024
La gestion des mauvaises herbes au pied des vignes est un enjeu majeur en viticulture. Au Québec, la majorité des entre-rangs des vignobles sont enherbés et les rangs sont désherbés à l’aide d’herbicides ou d’équipement de désherbage mécanique. Dans une optique de réduction des pesticides, l’utilisation de couvre-sols enherbés sous le rang de vigne est un réel gain pour l’environnement et la santé. Cette pratique vise à maîtriser le développement d’adventices indésirables en recouvrant le sol d’espèces végétales sélectionnées. Elle est bien plus qu’une simple façon de remplacer le désherbage chimique et mécanique, car elle offre de multiples avantages. Elle permet de protéger le sol en limitant l’érosion, le ruissellement, la compaction et l’évaporation excessive. Elle favorise la biodiversité et limite les blessures mécaniques, porte d’entrée de plusieurs maladies. Ce projet d’une durée de 3 ans a donc pour but d’évaluer le potentiel de couvre-sols permanents sur le rang comme alternative aux herbicides dans la culture de la vigne au Québec. Pour ce faire nous avons suivi sur trois ans quatre couvre-sols végétaux vivaces comparés à deux traitements témoins dans deux vignobles québécois. Les espèces choisies sont : 1) le Lotier corniculé (Lotus corniculatus); 2) le Thym serpolet (Thymus serpyllum); 3) l’Aspérule odorante (Galium odoratum); 4) l’Épervière piloselle (Pilosella officinarum) et elles étaient comparées à 5) l’Enherbement spontané et 6) le Sol à nu (herbicides selon les pratiques du producteur). Nous avons évalué l’effet des couvre-sols sur la phénologie et la croissance des plants de vigne, sur les ravageurs et les maladies, ainsi que sur le rendement et la qualité des fruits. Nous avons aussi suivi l’établissement des différents couvre-sols choisis et leur compétitivité face aux adventices. Finalement, les problématiques récurrentes de gel sur les sites nous ont aussi amenés à évaluer l’effet du couvert végétal sur la température du sol à différents moments Lire la suite
Évaluation de couvre-sols permanents sur le rang dans la culture de la vigne au Québec - Fiche synthèse

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21 octobre 2024
Notre étude a permis de mettre en lumière l’intérêt des couvre-sols végétaux en vignoble comme alternative à l’utilisation d’herbicides sur le rang. Nos résultats montrent que les couvre-sols à l’étude ont peu d’effet sur la croissance des vignes, les maladies, les ravageurs et ultimement le rendement, tout en étant une belle façon d’accroître la biodiversité en vignoble. Des espèces se démarquent dans le contexte de l’étude, soit le thym serpolet et l’épervière piloselle. Ces deux plantes ne nécessitent pas de fauches, car elles restent basses et ne créent pas de problèmes d’humidité aux pieds des ceps. Elles ont aussi une jolie floraison attractive pour les insectes bénéfiques et sont intéressantes pour l’agrotourisme. Leur coût d’implantation reste plus élevé, car elles s’établissent mieux à partir de transplants, mais elles arrivent alors à dominer l’espace rapidement et laissent peu de place à des plantes indésirables. Il reste que des techniques d’implantation plus abordables comme l’hydroensemencement par exemple, devront être testées pour faciliter leur utilisation à l’échelle commerciale. Ce sont également des espèces qui se naturalisent très bien dans le reste du couvre-sol du verger et supportent assez bien le piétinement. Peu de travaux avaient été réalisés sur les couvre-sols permanents dans la vigne au Québec à ce jour, mais devant le fait que le buttage est de plus en plus délaissé, cette technique devient possible et transférable sur une majorité d'entreprises viticoles. Les couvre-sols à l'essai pourraient aussi être intéressants pour plusieurs autres cultures fruitières qui connaissent des enjeux similaires (bleuets, camerises, pommes, poires, etc.). Lire la suite

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16 octobre 2024
Ce portrait aborde différents aspects agronomiques, économiques et les caractéristiques de la région Chaudière-Appalaches.  On y retrouve des informations telles que : le territoire desservi, les principales productions, l'importance des circuits courts, l'environnement de la relève et les modes d''établissement, etc.
26 septembre 2024
Lancement du 6e Appel à projets - Programme de recherche du CRPTQ An English message will follow   Chers chercheurs, chercheuses et partenaires de recherche, Le Consortium de recherche sur la pomme de terre du Québec (CRPTQ) lance son 6e Appel à projets dans le cadre de son Programme de recherche. Le financement offert correspond à la ''partie privée'' souvent nécessaire dans le montage financier d’un projet de recherche collaborative. Un financement additionnel devra compléter le montage financier du projet. La proposition de recherche doit répondre aux priorités de recherche 2024-2025 du CRPTQ.  Enveloppe disponible : 450 000 $ Date limite du dépôt : 10 janvier 2025 (16h00 pm)   Annonce des projets financés : Début du mois de mars 2025 Le Programme de recherche du CRPTQ est possible grâce à la collaboration financière des Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ).  Pour déposer un projet : Guide du 6e appel à projet du CRPTQ  Formulaire de la demande  Visitez notre site web : www.crptq.ca   Call for the 6th Projects - CRPTQ Research Program Dear Researchers and Research Partners, The Quebec Potato Research Consortium (CRPTQ) is launching its 6th Call for Projects as part of its Research Program. The funding offered corresponds to the "private sector portion" often required in the financial structuring of a collaborative research project. Additional funding will be needed to complete the financial structure of the project. The research proposal must align with the 2024-2025 research priorities of the CRPTQ. Available funding: 450,000$ Submission deadline: January 10, 2025 (4:00 PM) Announcement of funded projects: Early March 2025 The CRPTQ Research Program is made possible thanks to the financial collaboration of the Quebec Potato Producers (PPTQ). Visit our website: www.crptq.ca       Lire la suite
06 septembre 2024
Le développement de projets de serres connait un essor sans précédent dans les régions nordiques du Québec (Société du Plan Nord 2021). Le projet de laboratoire nordique est né de la volonté de conduire des recherches qui viennent répondre aux enjeux auxquels les communautés nordiques sont confrontées dans la conception, la mise en place et la pérennité de leurs initiatives agroalimentaires. Cette collaboration a débuté avec des projets d’élaboration ou de l’amélioration de projets de serre des communautés de Kuujjuaq, Radisson et Matagami avec des chercheuses et chercheurs du Centre d’innovation sociale en agriculture (CISA) du Cégep de Victoriaville et de l’École de technologie supérieure (ÉTS). Ces collaborations ont mené à la conception du projet de prototype de laboratoire nordique (avril 2022-mars 2024) coordonné par le CISA, en collaboration avec le Centre d’expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+) et l’ÉTS, ainsi qu’une vingtaine de partenaires dans les régions du Nord-du-Québec et de la Côte-Nord. Le projet a rapidement évolué vers deux directions complémentaires : • La première fut de soutenir des partenariats entre les organismes de recherche et de transfert technologique avec les organismes porteurs de projets agroalimentaires. Ces partenariats ont permis de renforcer les capacités locales par de l’accompagnement technique et organisationnel dans le domaine de l’agriculture. • La deuxième consistait à créer des opportunités de réseautage entre les différents acteurs impliqués dans les systèmes alimentaires des différentes régions nordiques du Québec afin de briser les silos et réduire l’impact les distances. Ces deux directions se rejoignent dans le présent rapport sous la forme d'une collection de fiches à destination des porteuses et porteurs de projets agroalimentaires actuels ou futurs, afin d’alimenter leur réflexion.  Consultez et téléchargez le rapport complet Téléchargez la fiche synthèse du projet 2022-2024, Lire la suite
14 août 2024
Le Saguenay–Lac-Saint-Jean est la principale région productrice de bleuets au Québec. Depuis les années 1980, la plupart des bleuetières qui sont aménagées le sont à l’aide de l’hexazinone, un herbicide systémique. Toutefois, l’hexazinone est très soluble et a un faible potentiel d’adsorption. De ce fait, l’herbicide persiste dans le sol et devient mobile dans l’environnement. Bien qu’il ait été démontré que l’hexazinone soit peu toxique, sa présence est néfaste pour les plantes aquatiques qui y sont sensibles et il est primordial de réduire son utilisation au maximum. À ce jour, les études portant sur des méthodes alternatives à l’hexazinone sont peu nombreuses et ont généralement obtenu des résultats mitigés. Le présent projet vise à répondre à cette problématique. Lire la suite
14 août 2024
Le Saguenay–Lac-Saint-Jean est la principale région productrice de bleuets au Québec (gouvernement du Québec 2018). Depuis les années 1980, la plupart des bleuetières qui sont aménagées le sont à l’aide de l’hexazinone, un herbicide systémique (Giroux et St-Gelais 2010). Toutefois, l’hexazinone est très soluble et a un faible potentiel d’adsorption (Gorse et al. 2002). De ce fait, l’herbicide persiste dans le sol et devient mobile dans l’environnement (Giroux et St-Gelais 2010). Bien qu’il ait été démontré que l’hexazinone soit peu toxique, sa présence est néfaste pour les plantes aquatiques qui y sont sensibles et il est primordial de réduire son utilisation au maximum (Giroux 2008). À ce jour, les études portant sur des méthodes alternatives à l’hexazinone sont peu nombreuses et ont généralement obtenu des résultats mitigés (Bellemare 2014 ; Bellemare 2011 ; Agrinova 2009). Le présent projet vise à répondre à cette problématique. La bleuetière d’enseignement et de recherche (BER) située à Normandin au Lac-Saint-Jean a été spécialement conçue pour effectuer des recherches dans le bleuet nain. Comme une portion de cette bleuetière est en aménagement (BER 2), ce site est l’endroit idéal pour mener à bien cette recherche, en testant l’efficacité et la faisabilité des méthodes d’aménagement alternatives à l’hexazinone. Effectivement, les opportunités d’utiliser une bleuetière en aménagement sont rares et cela permet d’être certain que les résultats ne sont pas biaisés par les traitements effectués durant les années précédant l’étude. Les résultats de cette étude démontrent une bonne efficacité des 3 méthodes testées afin de lutter contre les mauvaises herbes. Il est possible d’avoir un contrôle très similaire à la méthode conventionnelle en utilisant seulement le glyphosate en humectation. L’arrachage est le traitement le plus efficace. Cependant, économiquement il est peu applicable à grande échelle. L’utilisation de cette technique doit être combinée à d’autres méthodes, Lire la suite
30 juillet 2024
2023-2024 en quelques chiffres… Plus de 1 800 accessions maintenus in vitro dans la banque de gènes Plus de 465 croisements réalisés en serres visant une maturité hâtive et une résistance aux maladies importantes Plus de 22 000 graines obtenues, sources de nouvelles variétés Plus de 2 800 analyses PCR effectuées afin de dépister des gènes de hâtivité, de résistance contre le PVY, le mildiou et le nématode à kyste doré Plus de 6 000 variétés et clones en essais au champ Contribution financière de 507 000  $ dans 6 projets de recherche totalisant, avec les autres programmes de financement, un investissement total de 6 064 528 $ Effet de levier de 11 du Programme de recherche du CRPTQ (1 $ du privé génère 11 $ d’argent public) Plus de 10 collaborateurs provinciaux, canadiens et internationaux impliqués dans des projets et collaborations. Les États financiers au 31 mars 2024 sont également disponibles à la suite du Rapport annuel.   Lire la suite
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