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325 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Fiers de diffuser leur expertise
28 mars 2024
La punaise terne est un insecte ravageur très important de plusieurs cultures en Amérique du Nord. Ce ravageur se nourrit de fleurs, bourgeons, fruits et ses pièces buccales pénètrent, de façon répétée, les tissus fragiles des plantes lors de son alimentation. La pénétration du stylet entraîne la formation de blessures
par incision de la cuticule de l'épiderme et des cellules sous-jacentes. Également la salive injectée provoque la mort des cellules autour du canal alimentaire et génère une distorsion des points de croissance de la plante ce qui génère des fruits tachés ou déformés à la suite des piqûres. En ce qui concerne la culture de la framboise, il est mentionné que les adultes peuvent piquer les bourgeons ou les fruits de framboisiers, cependant, les dommages sont très peu connus et documentés visuellement dans les guides de dépistage. En effet, le guide québécois sur les ravageurs du framboisier mentionne uniquement des piqûres d’une à quelques drupéoles qui sèchent, brunissent et peuvent s’affaisser. La nutrition sur le méristème apicale pourrait également provoquer un dépérissement des pousses. Ce projet avait donc pour objectif premier d’évaluer en conditions semi-naturelles, l’impact des piqûres de punaises ternes sur différentes parties structurelles et stades phénologiques des framboisiers piqués (bouton vert serré, bouton vert dégagé, floraison, fruit vert, fruit rose, fruit rouge) en fonction des stades piqueurs du ravageur (différents stades nymphaux et stade adulte). Également un deuxième objectif visait à étudier le comportement alimentaire de la punaise et mieux documenter les dommages aux fruits rouges par des observations en laboratoire. Les résultats des expériences terrain sur deux ans n’ont pas pu conclure qu’une piqûre de punaise terne sur un stade bouton vert serré, dégagé, floraison ou fruit vert provoque des dommages visibles après plusieurs semaines. Les observations de dommage potentiellement attribuable à la punaise terne n’ont pas été
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15 mars 2024
MISE EN GARDE BIEN QU’IL NE SOIT PAS PERMIS D’UTILISER L’HYPOCHLORITE DE SODIUM À LA CONCENTRATION RECOMMANDÉE DANS LE PRÉSENT PROTOCOLE POUR LE TRAITEMENT DES SEMENCES EN RÉGIE BIOLOGIQUE, UNE DÉROGATION DU CONSEIL DES APPELLATIONS RÉSERVÉES ET DES TERMES VALORISANTS (CARTV) A ÉTÉ ACCORDÉE POUR LES SAISONS DE CULTURE 2024
ET 2025. LE TRAITEMENT EST DONC AUTORISÉ POUR LES DÉTENTEURS D’UNE CERTIFICATION BIOLOGIQUE EN RESPECTANT LE PRÉSENT PROTOCOLE, POUR PRÉVENIR LE VIRUS DU FRUIT RUGUEUX BRUN DE LA TOMATE (TOBRFV) DANS LES TOMATES. CETTE DÉROGATION EST UNIQUEMENT APPLICABLE SUR LE TERRITOIRE DU QUÉBEC. Le virus du fruit rugueux brun de la tomate (ToBRFV) a été détecté pour la première fois en 2014, en Israël. Depuis, le virus a été trouvé dans plusieurs pays d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Asie. Le ToBRFV peut considérablement réduire la productivité des cultures de tomate et la qualité marchande des fruits. Au Québec, sa présence a été confirmée pour la première fois en 2021, dans des serres de tomate. Le ToBRFV fait partie de la famille des Tobamovirus reconnus pour être hautement transmissibles par contact. Bien qu’inoffensif pour l'humain, il cause des pertes de rendement considérables sur les plants et les fruits. Même à l'extérieur de la plante-hôte, ce virus est persistant longtemps dans l'environnement, ce qui le rend difficile à éradiquer et a souvent pour conséquence la cession de la production de tomates sur un site, et ce, pour plusieurs années. Le virus peut se transmettre par les semences. Or il n’existe aucune certification, à ce jour, qui garantit l'absence de virus au niveau des lots de semences achetés. D'ailleurs, des chercheurs italiens ont détecté la présence du virus dans plusieurs lots testés de nombreux semenciers. Des études récentes ont démontré l'efficacité d'un trempage de semences, dans une solution d’hypochlorite de sodium (2,5 %), pour éradiquer le virus. Une solution d'eau de Javel aurait donc la capacité d'éradiquer le virus qui se
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14 mars 2024
Le Grand inventaire de mauvaises herbes du Québec arrive au Centre-du-Québec à partir de la saison 2024. Nous sommes à la recherche de 574 champs, toutes cultures confondues, autant en régie conventionnelle (incluant le semis direct) comme en biologique. Les participants pourront profiter du dépistage gratuit de jusqu'à
3 champs par entreprise. À terme, le Grand inventaire permettra de : obtenir une vision d’ensemble et actuelle de la distribution des mauvaises herbes au Québec; déterminer la fréquence et l’abondance des mauvaises herbes dans les principales cultures de chaque région agricole du Québec; évaluer les différents facteurs influençant la dynamique des mauvaises herbes et effectuer un constat de l’évolution des mauvaises herbes au cours de ces 40 dernières années. Si vous souhaitez participer au projet, vous pouvez vous inscrire en remplissant le formulaire disponible ici : https://tinyurl.com/grand-inventaire-2024 ou contacter l’équipe de malherbologie du CÉROM à l’adresse : [email protected] ou par téléphone au 450 464 2715 poste 237.
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02 octobre 2023
Rapport final du projet de science participative Abeilles citoyennes visant à inventorier l'abondance et la richesse des communautés de pollinisateurs (abeilles sauvages et syrphes) dans l'ensemble du Québec. De 2019 à 2021, 131 participants se sont impliqués dans le projet en récoltant des échantillons d’insectes sur 161
sites répartis dans tout le Québec rural. Un total de 16 044 insectes pollinisateurs (13 558 abeilles et 2 486 syrphes) ont été capturés durant les trois années qu’a duré le projet. Les abeilles échantillonnées représentaient 252 espèces réparties en 33 genres. Du côté des syrphes, un total de 86 espèces qui appartiennent à 39 genres ont été échantillonnées.
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02 octobre 2023
Rapport final du projet de science participative: Abeilles citoyennes visant à inventorier l'abondance et la richesse des communautés de pollinisateurs (abeilles sauvages et syrphes) dans l'ensemble du Québec. De 2019 à 2021, 131 participants se sont impliqués dans le projet en récoltant des échantillons d’insectes sur
161 sites répartis dans tout le Québec rural. Un total de 16 044 insectes pollinisateurs (13 558 abeilles et 2 486 syrphes) ont été capturés durant les trois années qu’a duré le projet. Les abeilles échantillonnées représentaient 252 espèces réparties en 33 genres. Du côté des syrphes, un total de 86 espèces qui appartiennent à 39 genres ont été échantillonnées.
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11 août 2023
Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) souhaite vous informer de la présence dans plusieurs régions du Québec de la maladie du mildiou (Phytophthora infestans), affectant les productions de pommes de terre et de tomates. Cette maladie très agressive peut causer des pertes économiques
importantes pour les producteurs agricoles. Les structures qui permettent à cet organisme de se reproduire (spores) sont facilement transportées par le vent et peuvent parcourir plusieurs dizaines de kilomètres, propageant ainsi la maladie. Celle-ci se développe rapidement et les plantes atteintes peuvent être détruites en quelques jours. En raison de ce risque, le mildiou est donc l’affaire de tous. Sa présence doit obligatoirement être déclarée au MAPAQ si elle est détectée dans une zone de culture protégée (i.e. Bas-Saint-Laurent et Saguenay-Lac-Saint-Jean). Dans toutes les régions, c’est une maladie réglementée : des mesures doivent être prises pour éviter sa propagation et détruire les végétaux infectés. Le mildiou ne pose pas de risque pour la consommation humaine : les tubercules de pommes de terre et les tomates issus de plantes infectées peuvent être consommés sans danger. Toutefois, pour éviter la propagation de la maladie, les tubercules récoltés dans les jardins ne doivent pas être entreposés pour une longue période ou replantés l’année prochaine. Voici le document d’information du MAPAQ. Pour toute question à cet effet, nous vous invitons à communiquer avec votre direction régionale du MAPAQ.
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19 mai 2023
Ces fiches ont été conçues comme aide-mémoire afin d’en faciliter l’utilisation. Une formation plus approfondie en biosécurité permet de mieux comprendre quand, comment et pourquoi utiliser les recommandations qu’elles contiennent. Les fiches ne sont pas seulement limitées aux organismes nuisibles aux productions végétales.
En effet, un intervenant peut avoir à visiter différentes productions végétales et/ou animales dans la même journée ou dans la même semaine. De plus, bien que vous visitiez une production végétale, il est possible que, durant la visite, vous soyez en contact avec d’autres productions que celle visitée ou d’autres agents pathogènes, par exemple dans les cas suivants : présence de fientes d’oiseaux migrateurs : danger de grippe aviaire; rencontre du producteur dans une étable : danger d’agents pathogènes transmissibles aux humains ou aux animaux; chemin de ferme qui traverse une autre production : risque de contamination d’autres productions, etc.
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