Le Plan d’agriculture durable 2020-2030 vient appuyer les engagements climatiques et de développement durable du gouvernement du Québec. Il place les entreprises agricoles au cœur de l’action et du développement économique. Il leur offre un ensemble de possibilités pour accélérer, d’ici 2030, l’adoption des meilleures pratiques agroenvironnementales.
Mis au point en concertation avec les acteurs du milieu agricole, le Plan propose des interventions adaptées aux particularités régionales de même qu’aux différents contextes et modèles de production.
Le plan de mise en œuvre 2021-2025 repose sur une vision commune et mobilisatrice. Il s’articule autour e l’atteinte de résultats concrets et mesurables au moyen d’actions ciblées en matière d’agroenvironnement dans lesquelles les producteurs agricoles sont au coeur de l’action.
Programme de transfert et de reconnaissance pour augmenter les pratiques d’agriculture raisonnée au champ (blé humain)
Les Céréaliers du Québec inc.
Le projet a pour objectif d’encourager les producteurs membres des Céréaliers du Québec (CQ), ainsi que le bassin de producteurs céréaliers non-membres, à accroître leur participation aux pratiques d’agriculture raisonnée pour la culture du blé de consommation humaine. Les blés d’Agriculture Raisonnée™ visent à réduire et à éliminer l’utilisation des pesticides, en plus d’introduire des pratiques culturales favorisant la santé et la conservation des sols.
Le projet conçu par les CQ se veut un programme complet et ordonné qui mise sur la combinaison de différentes actions et moyens privilégiés par le MAPAQ que sont la reconnaissance, la formation, les démonstrations, le transfert des connaissances, ainsi que l’accompagnement. Un volet particulier du projet consiste à mieux documenter les avantages technico-économiques des pratiques agroenvironnementales de l’agriculture raisonnée, en effectuant un suivi auprès de céréaliers participants par l’entremise de l’équipe d’agronome de 2e ligne des Moulins de Soulange. Finalement, quelques activités complémentaires viseront la valorisation du blé raisonné auprès du public et d’autres intervenants du milieu pour mieux faire connaître et reconnaître ce créneau de marché.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Estrie, Laurentides, Mauricie, Montérégie.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement | |
Améliorer la santé et la conservation des sols |
Numéro de projet 22-013-PAD-CERQ Regroupement Les Céréaliers du Québec inc. |
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Nom du demandeur Les Céréaliers du Québec inc. |
Gérer l’eau en grandes cultures biologiques : objectif terrain
Syndicat des producteurs de grains biologiques du Québec (SPGBQ)
Les systèmes de production biologique posent plusieurs défis sur le plan agroenvironnemental, en raison notamment de la nature des travaux du sol en lien avec le contrôle des mauvaises herbes vivaces et l’enrichissement du sol en phosphore découlant des apports récurrents d’engrais de ferme.
Ce projet vise à former les agronomes et les producteurs agricoles sur les outils de diagnostic et d’intervention liés à la conservation de l’eau, adaptés aux conditions qui peuvent être rencontrées dans les entreprises agricoles productrices de grandes cultures biologiques. La formule retenue inclut une formation comptant sept ateliers, suivis d’études de cas qui auront lieu à la ferme expérimentale de St-Lambert-de-Lauzon (Chaudière-Appalaches), à la Plateforme d’innovation en agriculture biologique de l’IRDA (Montérégie), ainsi que dans deux entreprises agricoles situées dans les régions du Centre-du-Québec et du Saguenay–Lac-Saint-Jean.
Les sujets abordés dans le volet diagnostic incluent l’évaluation des besoins en eau des cultures, la détermination des voies d’écoulement de l’eau, la prédiction des pertes en phosphore vers les eaux de surface, ainsi que l’identification de pratiques agricoles et de systèmes culturaux favorables à la conservation des sols et de l’eau. Découlant du diagnostic, les interventions identifiées iront de la mise en place d’ouvrages hydroagricoles à l’application de pratiques et de systèmes agricoles durables favorisant la conservation de l’eau sur le plan de la quantité et de la qualité.
Durée du projet : 2 ans
Régions couvertes : Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Montérégie, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Optimiser la gestion de l’eau |
Numéro de projet 22-014-PAD-SPGBQ Regroupement Syndicat des producteurs de grains biologiques du Québec (SPGBQ) |
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Nom du demandeur Syndicat des producteurs de grains biologiques du Québec (SPGBQ) |
Formation sur la gestion 4B dans l’utilisation des fertilisants
Producteurs de grains du Québec (PGQ)
Le projet s’inscrit dans le cadre des engagements des Producteurs de grains du Québec (PGQ) dans la mise en oeuvre du PAD. Il vise à former des conseillers en agroenvironnement et des producteurs à l’initiative connue sous Gestion des nutriments 4B (les 4 B font référence au bon produit, à la bonne dose, au bon moment et au bon endroit). La gestion 4B maximise l’efficacité des produits et garantit le meilleur effet attendu tout en réduisant l’empreinte environnementale.
La gestion 4B est adoptée dans plusieurs provinces et elle englobe le Protocole de réduction des émissions d’oxyde nitreux (PREON). Ces deux approches font l’objet d’une formation qui peut aboutir à une accréditation reconnue par les ordres professionnels.
Le projet vise donc à former des producteurs de grains et des agronomes oeuvrant en grandes cultures aux principes de la gestion 4 B, la mise en application de cette formation (démonstration) et la promotion de ses principes.
Dans le cadre de la mise en application des principes des 4 B, le projet vise également à répertorier les différentes contraintes à leur adoption par les producteurs qui ont suivi la formation afin d’apporter des correctifs ou des pistes d’intervention pour aider à leur implantation à une plus grande échelle.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Laval, Montérégie, Outaouais, Saguneya-Lac-Saint-Jean.
Améliorer la gestion des matières fertilisantes |
Numéro de projet 22-020-PAD-PGQ Regroupement Producteurs de grains du Québec (PGQ) |
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Nom du demandeur Producteurs de grains du Québec (PGQ) |
Optimisation de l’apport d’azote dans le blé avec les nouvelles grilles de fertilisation
Producteurs de grains du Québec (PGQ)
Ce projet s’inscrit dans l’engagement des Producteurs de grains du Québec (PGQ) dans la mise en oeuvre du PAD, volet amélioration de la gestion de la matière fertilisante. L’objectif du projet est de réduire l’utilisation de la fertilisation azotée à base d’engrais de synthèse dans la culture du blé. Le blé est la céréale à paille cultivée au Québec utilisant le plus d’azote par hectare.
Jusqu’à 2020, la fertilisation des principales céréales à paille au Québec était balisée par les grilles de référence en fertilisation publiées en 2010 (Guide de référence en fertilisation (GREF), édition 2, CRAAQ, 2010). Or, la mise à jour de ces grilles par le MAPAQ en 2020 préconise une approche différente de celle utilisée dans l’ancien GREF pour estimer la quantité de fertilisants à appliquer.
En dépit de la considération des différents facteurs agronomiques pouvant affecter les besoins en azote (précédent cultural, l’utilisation des engrais de ferme, etc.) qui sont utilisés dans les anciennes et les nouvelles grilles, ces dernières apportent des précisions supplémentaires afin d’effectuer le calcul de la dose. En effet, ces grilles recommandent de se baser sur la texture du sol et de la teneur en M.O. afin d’estimer la quantité de fertilisants à appliquer, particulièrement en ce qui a trait à l’azote. L’adoption des nouvelles grilles par les producteurs permettrait de réduire de 25 % (30 kg/ha) la quantité d’azote appliquée dans le blé, dans les situations où les conditions de sols le permettent.
Le projet vise entre autres à promouvoir l’adoption par les producteurs des nouvelles grilles de fertilisation des céréales à paille. Ce projet permettra de mieux conseiller les producteurs quant à la quantité d’azote résiduel présent dans leurs champs et ainsi, de mieux définir la dose optimale à ajouter afin de maintenir une rentabilité maximale.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalches, Centre-du-Québec, Estrie, Launaudière, Laurentides, Laval, Mauricie, Montérégie, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Améliorer la gestion des matières fertilisantes |
Numéro de projet 22-023-PAD-PGQ Regroupement Producteurs de grains du Québec (PGQ) |
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Nom du demandeur Producteurs de grains du Québec (PGQ) |
Accroître l’adoption de pratiques innovantes visant à assurer une couverture hivernale des sols chez les producteurs et productrices de grains biologiques
Syndicat des producteurs de grains biologiques du Québec (SPGBQ)
L’objectif principal est de répertorier, de documenter et de diffuser des pratiques agricoles novatrices et prometteuses, effectuées par des entreprises oeuvrant en grandes cultures biologiques, afin d’assurer une couverture hivernale des sols par des cultures ou des résidus de culture. Ces essais de pratiques agricoles novatrices seront d’abord répertoriés avec une démarche collaboratrice, par l’entremise de divers moyens, soit une consultation des conseillers en grandes cultures biologiques, un sondage auprès des producteurs et des entretiens avec ces derniers. Ensuite, des agronomes du CETAB+ et du GMA Saguenay – Lac-Saint-Jean documenteront ces essais (régions, types de sol, cultures utilisées, dates et moyens d’implantation, destruction mécanique partielle ou non, pourcentage de couverture hivernale, gestion printanière, impacts sur la culture printanière, etc.). Ces informations seront synthétisées dans des fiches et vidéos, puis diffusées par divers moyens (Web, colloques, visites aux champs).
Le principal résultat attendu est d’augmenter l’adoption de pratiques agricoles permettant d’assurer une couverture hivernale des sols par des cultures ou des résidus de culture pour les entreprises en grandes cultures biologiques, et ainsi d’obtenir les nombreux bienfaits associés sans nuire aux cultures annuelles implantées au printemps.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Centre-du-Québec, Lanaudière, Laurentides, Montérégie, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Améliorer la santé et la conservation des sols |
Numéro de projet 22-028-PAD-SPGBQ Regroupement Syndicat des producteurs de grains biologiques du Québec (SPGBQ) |
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Nom du demandeur Syndicat des producteurs de grains biologiques du Québec (SPGBQ) |
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Autres partenaires Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité |
Développer des outils sur les zones tampons en agriculture biologique comme moyen de réduire l’usage des pesticides et améliorer la biodiversité
Syndicat des producteurs de lait biologique du Québec
La norme « CAN/CGSB-32.310-2020 : Systèmes de production biologique – Principes généraux et normes de gestion » définit une zone tampon (buffer zone) comme bande limitrophe clairement définie et reconnaissable, séparant un champ en production biologique des champs adjacents sous régie conventionnelle (article 3.13). La culture de cette zone tampon se doit donc de respecter les dispositions des normes biologiques canadiennes, notamment la non-utilisation de pesticides de synthèse. Afin de contribuer à l’atteinte de l’objectif du Plan d’agriculture durable qui cible la réduction de l’usage de ce type de pesticides et, ce faisant, des risques qui y sont associés pour la santé et l’environnement, le projet vise à maximiser la superficie en zone tampon cultivée chez les entreprises conventionnelles adjacentes aux entreprises en régie biologique.
Durée du projet: 3 ans
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement | |
Améliorer la biodiversité |
Numéro de projet 22-029-PAD-SPGBQ Regroupement Syndicat des producteurs de lait biologique du Québec |
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Nom du demandeur Syndicat des producteurs de lait biologique du Québec |
Favoriser l’augmentation des superficies agricoles aménagées qui favorisent la biodiversité chez les membres de la Coop Agrobio
Le Centre d’expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
Ce projet vise d’abord à répertorier, documenter et diffuser les meilleures pratiques innovantes d’aménagement en biodiversité qui répondent aux exigences pratiques des entreprises agricoles, lesquelles exigences nécessitent que l’entreprise agricole en mode biologique doive intégrer un ou plusieurs des éléments suivants : habitat pour les pollinisateurs ; bandes fleuries ; habitat faunique ; maintien ou restauration des rives ou des milieux humides ; ou autres mesures pour promouvoir la biodiversité.
Ainsi, ce projet va répertorier les aménagements prometteurs selon une approche participative, avec les diverses parties prenantes, soit principalement des organismes représentant des producteurs de grains biologiques et des conseillers en grandes cultures biologiques.
Une première étape (entretiens et sondage auprès d’entreprises agricoles) va permettre de documenter les pratiques innovantes et prometteuses qui seront sujettes au transfert de connaissances et à la diffusion.
Une sélection des meilleures pratiques relevées dans des fermes partenaires du projet va permettre à l’équipe du CETAB+ et à ses partenaires de concevoir des plans d’aménagements pour mettre en place une vitrine de transfert de connaissances chez des adopteurs hâtifs. Des journées dans les fermes vitrines seront organisées afin que les producteurs agricoles puissent mettre en place des aménagements en biodiversité qui sont innovants et performants. Les résultats seront synthétisés sous forme de fiches techniques et de capsules vidéo et sur diverses plateformes Web et divers réseaux sociaux, par diverses organisations (CETAB+, Coop Agrobio, Agri Réseau, etc.). Le projet offrira une formation théorique et pratique aux conseillers agricoles pour que ceux-ci puissent proposer un service-conseil de deuxième ligne.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Lanaudière, Montérégie, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Améliorer la biodiversité |
Sous le thème de la biodiversité: Rendez-vous à la Ferme Genlouis, Montérégie. 21 juillet 2022 | |
Biodiversité en grandes cultures: Comment intégrer les corridors écologiques en milieu agricole ?, Centre-du-Québec, 14 septembre 2022 | |
Biodiversité en grandes cultures: aménagements multifonctionnels pour viser un équilibre écologique, Montérégie, 15 septembre 2022 | |
Suivi du projet "Aménagements favorisant la biodiversité" |
Numéro de projet 22-035-PAD-CETAB Regroupement Coop Agrobio |
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Nom du demandeur Le Centre d’expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+) |
Réseau de porte-paroles démontrant les pratiques visant la diminution des risques et de l’usage des pesticides dans le secteur des grains
Coordination services-conseils
Ce projet répond à l’engagement des Producteurs de grains du Québec (PGQ) dans la mise en oeuvre du PAD, soit « Mettre en place un réseau provincial de vitrines pour démontrer les pratiques visant la diminution des risques et de l’usage des pesticides dans le secteur des grains ».
Chaque syndicat régional des PGQ aura deux producteurs porte-paroles, sauf l’Abitibi-Témiscamingue qui en aura un seul. Les porte-paroles seront invités à témoigner au sujet des bonnes pratiques qu’ils ont adoptées dans le cadre des rencontres régionales et de journées à la ferme. Ces journées d’échanges et de démonstrations permettront de promouvoir les bonnes pratiques en matière de gestion des ennemis des cultures et de réduction de l’usage des pesticides et de leurs risques pour la santé et l’environnement. Ces journées permettront également de mettre en évidence les technologies et les structures implantées dans les fermes pour réduire les risques associés aux pesticides.
Un portrait de la conformité de l’utilisation des équipements de protection individuelle (EPI) aux règles de santé et de sécurité sera conduit auprès de 250 producteurs de grains, à l’aide d’une évaluation visuelle de leur utilisation des EPI.
Cette évaluation sensibilisera les producteurs participants à l’importance de la protection de leur santé et permettra de brosser le portrait des lacunes dans l’utilisation des EPI.
Finalement, tout au long de son déroulement, le projet appuiera les conseillers par l’entremise de cliniques. Les conseillers seront formés pour mener l’évaluation visuelle de l’utilisation des EPI et pour en faire les démonstrations au champ.
Durée du projet : 2 ans
Régions couvertes : Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Côte-Nord, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Mauricie, Montérégie, Nord-du-Québec, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Numéro de projet 22-038-PAD-CSC Regroupement Producteurs de grains du Québec (PGQ) |
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Nom du demandeur Coordination services-conseils |
Formations sur les Cultures de couverture en grandes cultures
Producteurs de grains du Québec
Le projet répond à l'engagement des Producteurs de grains du Québec soit de contribuer à l’augmentation de la teneur en matière organique du sol.
Son objectif est de développer une formation sur les cultures de couverture (CC) en grandes cultures (GC), en mode de production conventionnelle, avec des spécifications selon les zones géographiques (1,2 et 3, telles qu'établies dans le Guide des CC en GC). Le projet de formation sera développé en mode "en salle" afin de répondre aux besoins particuliers des producteurs, dont pourront bénéficier aussi les agronomes et afin de favoriser une dynamique riche des échanges sur ce sujet. Trois parcours de formation seront développés afin de répondre aux besoins spécifiques et différenciés, en fonction du mode de production conventionnel ou biologique en GC et, en fonction du climat des régions 1 et 2 ou 3. Il est alors prévu le développement d'un parcours de formation de CC en GC pour : (A) les zones 1 et 2 en mode de production conventionnelle; (B) les zones 1 et 2 en mode de production biologique et (C) la zone 3 en mode de production conventionnelle.
Cette formation documentera également les enjeux essentiels de l'implantation : choix des espèces, systèmes d'implantation et de gestion des CC, effets sur les rendements des cultures subséquentes ainsi que sur la dynamique de l'azote et la fertilité des sols. Par cette formation, les apprenants maitriseront les notions essentielles à la réussite de l'implantation de CC et les stratégies de choix en fonction des types de production agricole, des sols et du climat.
Un comité d'experts et de producteurs agricoles en appui au projet, assureront la validation et le regroupement des contenus adéquats du Guide CC en grandes cultures, pour chacun des parcours de formation (A, B et C).
Durée du projet : 2 ans
Régions couvertes : Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Estrie, Mauricie, Lanaudière, Laurentides, Laval, Montérégie, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Améliorer la santé et la conservation des sols |
Numéro de projet 23-010-CRAAQ Regroupement Producteurs de grains du Québec |
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Nom du demandeur Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ) |
Démonstration de techniques alternatives visant la diminution de l'usage des herbicides dans les grandes cultures
Producteurs de grains du Québec
Le projet proposé vise la réalisation de l'engagement des Producteurs de grains du Québec (PGQ). Plusieurs techniques de désherbage mécanique ont été développées au cours des 15 dernières années, notamment en agriculture biologique. Ces techniques sont maintenant très bien maitrisées par les entreprises biologiques. Le projet vise à transférer ces connaissances vers la production conventionnelle. Pour atteindre l'objectif principal du projet qui est de favoriser l'implantation de pratiques permettant de diminuer l'utilisation d'herbicides, le projet s'articulera autour de quatre principaux livrables :
- Diffusion de bulletins techniques présentant des innovations ainsi que les pratiques gagnantes en matière de désherbage mécanique et de moyens alternatifs aux herbicides ;
- Ateliers d'échanges et discussion adressés aux conseillers sur la base des bulletins;
- Cliniques terrain de désherbage mécanique chez une entreprise en régie conventionnelle et lors d'évènement d'envergure comme la journée phytoprotection du CRAAQ qui se déroule au CEROM ;
- Conférence clé en main pour les producteurs qui pourra servir lors des journées organisées par les conseillers.
Considérant que le désherbage mécanique est admissible à l’Initiative ministérielle de rétribution des pratiques agroenvironnementales, les producteurs ont tout avantage à être bien outillé pour adopter largement cette pratique et ainsi bénéficier pleinement de l’aide financière de l’Initiative.
Durée du projet : 2 ans
Régions couvertes : Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Estrie, Mauricie, Lanaudière, Laurentides, Laval, Montérégie, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Numéro de projet 23-001-PAD-PGQ Regroupement Producteurs de grains du Québec (PGQ) |
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Nom du demandeur Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+) |
Favoriser l’augmentation de la couverture hivernale des sols par les résidus et les cultures de couverture chez les membres de la Coop Agrobio
Coop Agrobio du Québec
Le projet répond à l’engagement de la Coop Agrobio du Québec soit de favoriser l’augmentation du nombre d’entreprises agricoles membres dont 75 % des superficies cultivées sont couvertes de cultures ou de résidus de cultures en hiver.
L’objectif principal est de répertorier, documenter et diffuser la gestion des résidus par des méthodes alternatives au labour permettant de laisser 50 % ou plus de la surface couverte par des résidus durant l’hiver sur les entreprises en grandes cultures biologiques (GCB). Le labour, pratique fréquemment utilisée par les producteurs biologiques, laisse très peu de résidus au sol. Cependant, de plus en plus de producteurs adoptent des techniques alternatives que l’on désigne communément sous le terme de travail réduit. Dans un premier temps, le projet vise à suivre des entreprises en GCB qui ont adopté des techniques de travail réduit. Sur ces entreprises, une attention particulière sera portée aux travaux de sol printaniers et à l’ajustement des équipements de désherbage mécanique. En effet, selon les conseillers en GCB du CETAB+, l’enjeu principal d’une bonne gestion des résidus de culture réside notamment dans l’ajustement des équipements de désherbage au printemps. Le projet vise également à mettre en place des vitrines de démonstration sur quatre entreprises et à l’Institut national d’agriculture biologique (INAB) afin de diffuser auprès des producteurs agricoles et des intervenants des pratiques alternatives au labour efficaces.
Durée du projet : 2 ans
Régions couvertes : Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Mauricie, Montérégie, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Améliorer la santé et la conservation des sols |
Numéro de projet 23-008-Coop-Agrobio-Québec Regroupement Coop Agrobio du Québec |
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Nom du demandeur Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+) |
Mise en place de vitrines de régies à moindres risques dans la culture de la pomme de terre
Carrefour industriel et expérimental de Lanaudière (CIEL)
Le Carrefour industriel et expérimental de Lanaudière (CIEL) travaille depuis 2019 à la mise en place de vitrines de démonstration dans la pomme de terre chez six producteurs de cinq régions différentes (Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Montérégie-Ouest, Lanaudière et Saguenay-Lac-Saint-Jean). Grâce à la mise en place de techniques de gestion intégrée des ennemis des cultures (GIEC), les risques associés à l’usage des pesticides ont été fortement réduits lors des trois années du projet. Les producteurs de pommes de terre du Québec s’associent au CIEL pour poursuivre ce projet de vitrines basé sur l’accompagnement des producteurs et de leurs conseillers dans l’implantation de régies à moindres risques. Ce projet sera mis en place chez six nouveaux producteurs de pommes de terre, dans six régions productrices du Québec. À terme, grâce à ce projet, aux outils développés en appui aux conseillers et aux activités de diffusion sur le terrain ou de présentations, nous pensons qu’un très grand nombre de producteurs de pommes de terre sera sensibilisé aux avantages de produire en adoptant des techniques de GIEC. Ce projet permettra de faire un pas de plus vers l’adoption de pratiques plus durables.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Abitibi-Témiscamongue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Laval, Mauricie, Montérégie, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Numéro de projet 22-006-PAD-CIEL Regroupement Le Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ) |
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Nom du demandeur Carrefour industriel et expérimental de Lanaudière (CIEL) |
La couverture des sols en maraîchage biologique et diversité : mise en place d’un réseau de ferme témoin dans une démarche de transfert et diffusion
Empreinte de la CAPÉ
Le présent projet a pour objectif de s’assurer que la communauté maraîchère biologique répond à la cible du Plan d’agriculture durable (PAD) du MAPAQ visant à ce que 75 % des superficies en culture soient couvertes en hiver. Pour ce faire, un réseau de fermes témoins sera mis sur pied dans cinq régions du Québec. Le réseau mettra de l’avant des pratiques efficaces et innovantes déjà adoptées par les meilleurs producteurs, en plus de faciliter la mobilisation de la communauté de producteurs au regard de l’atteinte de la cible du PAD, d’encourager le co-développement de pratiques innovantes entre producteurs, d’offrir un accompagnement agronomique adapté au niveau de maîtrise technique des producteurs et d’atteindre un bassin plus large grâce aux outils multimédias.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Abitib-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalapches, Centre-du-Québec, Estrie, Gaspésie, Lanaudière, Laurentides, Laval, Mauricie, Montérégie, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Améliorer la santé et la conservation des sols |
Numéro de projet 22-041-PAD-CAPECOOP Regroupement Coopérative pour l’agriculture de proximité écologique (CAPE) |
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Nom du demandeur Empreinte de la CAPÉ |
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Autres partenaires Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité |
Approche numérique pour stimuler l’adoption de pratiques agroenvironnementales par les producteurs de pommes de terre du Québec
Agrinova
Le projet propose le développement d’une application interactive et évolutive favorisant la mise en commun des connaissances sur la pomme de terre (PDT) et l’adoption de pratiques agroenvironnementales en phase avec les réalités des producteurs. Le projet couvrira l’ensemble de la filière PDT, de la production de semence de base jusqu’à la transformation et l’emballage du produit fini. Pour y parvenir, des vitrines technologiques et la collaboration des acteurs du secteur permettront une collecte initiale de données fondamentales à la gestion intégrée de tous les enjeux agroenvironnementaux liés à la production de la PDT, plus spécifiquement en lien avec :
- La réduction des pesticides et leurs risques sur la santé et l’environnement ;
- L’amélioration de la santé et de la conservation des sols ;
- L’amélioration de la gestion des matières fertilisantes ;
- L’optimisation de la gestion de l’eau.
Cette approche nouvelle et novatrice vise à catalyser des changements immédiats et significatifs des pratiques agroenvironnementales.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Côte-Nord, Gaspésie, Lanaudière, Mauricie, Montérégie, Nord-du-Québec, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement | |
Améliorer la santé et la conservation des sols | |
Améliorer la gestion des matières fertilisantes | |
Optimiser la gestion de l’eau |
Numéro de projet 22-011-PAD-AGRINOVA Regroupement Les Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ) |
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Nom du demandeur Agrinova |
Optimiser la gestion de l’eau dans le secteur du haricot et du pois de transformation au Québec : de l’engagement jusqu’à la mobilisation
Producteurs de légumes de transformation du Québec (PLTQ)
Ce projet permettra d’accélérer l’adoption de pratiques agroenvironnementales via une démarche collaborative et éducative. Dix profils de production feront l’objet d’une évaluation en condition de production commerciale. Les objectifs sont :
- Réaliser un diagnostic global de l’eau dans 10 systèmes culturaux (haricot, pois) ;
- Proposer des correctifs pour améliorer l’usage et la gestion de l’eau ;
- Accompagner les entreprises pour l’intégration des correctifs proposés ;
- Concevoir et réaliser des activités de transfert de connaissances.
Les activités de transfert seront des journées portes ouvertes, des webinaires, des capsules vidéo, des podcasts et des fiches synthèses. Les entreprises seront sensibilisées aux pratiques agroenvironnementales leur permettant de diminuer la vulnérabilité de leur entreprise au stress hydrique et d’optimiser leur gestion de l’eau. Ce projet sera réalisé par une équipe d’intervenants des PLTQ, de l’IRDA, de Bonduelle et du MAPAQ.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Centre-du-Québec, Lanaudière, Montérégie
Optimiser la gestion de l’eau |
Numéro de projet 22-015-PAD-PLTQ Regroupement Producteurs de légumes de transformation du Québec (PLTQ) |
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Nom du demandeur Producteurs de légumes de transformation du Québec (PLTQ) |
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Autres partenaires Institut de recherche et de développement en agroenvironnement |
Vitrines de régie à moindres risques de cultures maraîchères en sol minéral
Carrefour industriel et expérimental de Lanaudière (CIEL)
Durant la saison de production de l’oignon sec, de la carotte et du chou pommé, la lutte aux ennemis de ces cultures entraîne l’utilisation de quantités importantes de pesticides, dont plusieurs ont un profil environnemental et sur la santé défavorable. Or, la plus grande adoption de la gestion intégrée des ennemis des cultures (GIEC) permettrait de limiter l’utilisation de produits présentant des indices de risques élevés, en plus de réduire le nombre d’applications phytosanitaires en saison. Pour faire la promotion de ces méthodes, le CIEL propose donc de coordonner, en collaboration avec l’Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ), pour une durée de 3 ans, des vitrines de démonstration dans la culture de la carotte, du chou pommé et de l’oignon en sol minéral, dans les principales régions productrices de ces légumes de champ au Québec. Ces vitrines offriront une comparaison d’une régie à moindres risques avec la régie « habituelle » des entreprises agricoles participantes. Au total, 6 sites (1 site d’oignon, 3 sites de carotte et 2 sites de chou pommé) situés dans 3 régions, soit Lanaudière, les Laurentides (ou Laval) et la Montérégie, sont ciblés. Les paramètres mesurés permettront d’évaluer la rentabilité et le rendement par hectare de la régie à moindres risques et de les comparer à celle de la régie habituelle de chaque entreprise participante. De plus, l’organisation de journées de visites au champ et une large diffusion des résultats permettront de mieux faire connaître ces techniques pour accroître leur adoption.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Lanaudière, Laurentides, Laval, Montérégie.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Numéro de projet 22-017-PAD-CIEL Regroupement Association des Producteurs Maraîchers du Québec (APMQ) |
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Nom du demandeur Carrefour industriel et expérimental de Lanaudière (CIEL) |
Une vitrine pour réduire les risques liés à l’utilisation des pesticides en terre noire
Compagnie de recherche Phytodata Inc.
Le Québec produit 88 % des superficies de laitues (7 324 acres en 2020) et 40 % des superficies d’oignons (5 704 acres) du Canada. Pour ces deux cultures, de nombreuses approches de GIEC ont été mises au point au cours des deux dernières décennies (techniques de biosurveillance, modèles prévisionnels, solutions de rechange aux pesticides), mais leur intégration aux programmes de phytoprotection demeure limitée. Compte tenu de leur importance économique, des superficies cultivées, des efforts de recherche investis et du nombre important d’applications de pesticides par saison, les cultures d’oignon et de laitue ont été sélectionnées pour faire l’objet de ce projet de vitrines en terre noire.
Ainsi, l’objectif général de ce projet est donc de faire valoir et d’accroître l’utilisation des techniques de GIEC mises au point et disponibles en production maraîchère en terre noire, par le biais d’une série de vitrines régionales dans les cultures d’oignon sec et de laitue.
Plus spécifiquement, il s’agira de :
- Démontrer qu’il est possible de réduire l’utilisation des pesticides grâce à une surveillance adaptée à la culture, à la période de la saison et aux ravageurs ;
- Démontrer qu’il est possible de réduire les risques liés à l’utilisation des pesticides en favorisant l’utilisation de produits à moindre risque, basés sur l’IRE et l’IRS ;
- Sensibiliser les agronomes et spécialistes à l’utilisation de stratégies de lutte intégrée ;
- Sensibiliser les producteurs maraîchers à l’utilisation de stratégies de lutte intégrée ;
- Produire des fiches de résumé, complémentaires aux fiches techniques du RAP, sur les ravageurs ciblés par les vitrines.
Régions couvertes : Lanaudière, Montérégie.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Numéro de projet 22-024-PAD-PHYD Regroupement Association des Producteurs Maraîchers du Québec (APMQ) |
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Nom du demandeur Compagnie de recherche Phytodata Inc. |
Amélioration de la santé des sols par l'utilisation d'engrais verts dans les légumes de transformation
Producteurs de légumes de transformation du Québec
Le projet répond à l’engagement des Producteurs de légumes de transformation du Québec (PLTQ) soit d’aider les producteurs de légumes de transformation à réduire l’usage des pesticides, à améliorer la santé et la conservation des sols et à optimiser la gestion de l’eau au moyen d’un réseau de vitrines qui mettra en valeur les essais et les techniques réputées pour leur efficacité.
L’accompagnement et la coordination des entreprises utilisant des techniques de protection des sols tels les couverts végétaux et la réduction du travail du sol faciliteront le transfert de ces techniques sur au moins 15 entreprises en Montérégie, dans Lanaudière et dans le Centre-du-Québec. La coordination des activités sera faite par le CETAB+. Trois cultures spécifiques de légumes de transformation ont été ciblées, soit les pois, les haricots et le maïs sucré. Le transfert d’information se fera via des vitrines et des conférences ou des outils web tels que des vidéos.
LL'adoption de pratiques culturales comme l'implantation de cultures de couverture et l'utilisation d'engrais verts diminuant la vulnérabilité des sols est au cœur du projet. Les objectifs sont 1) réaliser une enquête sur les pratiques implantées sur les entreprises participantes sur la thématique des engrais verts, 2) valoriser les méthodes de protection des sols ciblées par les producteurs dans trois légumes de transformation, soit le pois, le haricot et le maïs sucré, 3) appuyer les entreprises dans leur démarche afin de faciliter l'appropriation et l'intégration des techniques ciblées pour chacune des cultures, le tout en conformité avec les critères de qualité et de rendement souhaités par les acheteurs, et 4) concevoir et réaliser des activités de transfert de connaissances.
Durée du projet : 2 ans
Régions couvertes : Centre-du-Québec, Lanaudière, Montérégie
Améliorer la santé et la conservation des sols |
Numéro de projet 23-007-PLTQ Regroupement Producteurs de légumes de transformation du Québec |
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Nom du demandeur Producteurs de légumes de transformation du Québec |
Vignobles de démonstration et matériel de diffusion des pratiques de gestion intégrée des ennemis des cultures
Centre de recherche agroalimentaire de Mirabel
Le projet vise à présenter et valoriser l’adoption des pratiques de GIEC autant au regard des arthropodes, des maladies que des mauvaises herbes en vignobles québécois. Le projet permettra d’identifier des vignobles de démonstration qui ont des pratiques de GIEC concernant différents aspects, de réaliser des journées de formation à la ferme et de produire du matériel en soutien à ces formations, afin d’accroître le nombre de producteurs qui utilisent ces pratiques. Une meilleure connaissance des pratiques de GIEC permettra aux producteurs de réduire l’utilisation des pesticides (que ce soit en quantité ou en réduisant les indices IRE, IRS), ce qui diminuera les impacts sur la santé des travailleurs ainsi que les effets néfastes sur l’environnement.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-Du-Québec, Estrie, Lanaudière, Laurentides, Laval, Mauricie, Montérégie, Montréal, Outaouais.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Gestion intégrée des ennemis des cultures. Journée de partage et d’information pour les vignerons(nes) du Québec, Estrie, 12 juillet 2023 | |
Gestion intégrée des ennemis es cultures. Ateliers au champs et échanges pour les vignerons(nes) du Québec, Montérégie, 7 septembre 2023 | |
Viticulture durable : Invitation à une journée d'information et d'échange en Outaouais, Outaouais, 15 juillet 2024 | |
Invitation à une journée d'information et d'échange au Vignoble Domaine Beauchemin, Mauricie, 4 septembre 2024 |
Numéro de projet 22-039-PAD-CRAM Regroupement Conseil des vins du Québec |
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Nom du demandeur Centre de recherche agroalimentaire de Mirabel |
Développement d’outils visant le transfert des connaissances et l’adoption d’alternatives aux pesticides pour lutter contre les ravageurs de la canneberge
Association des producteurs de canneberges du Québec
Au cours des dernières années, de nombreuses initiatives de lutte biologique, physique ou comportementale ainsi que le développement de pratiques culturales ont été entrepris dans le secteur de la canneberge. De plus, les connaissances des paramètres d’application des produits phytosanitaires se sont également développées considérablement, permettant ainsi d’accroître l’efficacité des traitements et ainsi réduire le nombre d’interventions nécessaires. L’objectif du projet est donc de permettre le développement d’outils de transfert aux producteurs afin d’accroître l’accessibilité et l’adoption de ces méthodes, le tout dans l’optique de diminuer, de manière globale, l’utilisation de pesticides en production de canneberges au Québec. Pour ce faire, des sites de démonstration de chacune de ces pratiques seront mis en place, en collaboration avec des producteurs. Ces sites serviront au tournage de capsules vidéo explicatives qui seront mises à la disposition des producteurs via le développement d’une plateforme Web.
Ces capsules vidéo seront également présentées à divers événements et partagées à des périodes stratégiques, dans les infolettres de l’Association des producteurs de canneberges du Québec et du Club environnemental et technique Atocas Québec. Par ailleurs, un accès à ces sites de démonstration sera donné à tout producteur qui souhaite en apprendre davantage, tandis qu’un accompagnement de la part de l’équipe de réalisation sera offert lors de ces visites personnalisées. Enfin, des formations seront également proposées aux conseillers en production, afin qu’ils soient mieux outillés pour transmettre, à leurs clients, leurs connaissances de ces pratiques.
Durée du projet : 2 ans
Régions couvertes : Centre-du-Québec, Côte-Nord.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Numéro de projet 22-027-PAD-APCQ Regroupement Association des producteurs de canneberges du Québec |
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Nom du demandeur Association des producteurs de canneberges du Québec |
Optimiser la gestion de l’eau dans le secteur de la production de fraises et framboises au Québec : mobiliser les producteurs
Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
Ce projet permettra d’accélérer l’adoption de meilleures pratiques agroenvironnementales via une démarche éducative qui fait la promotion d’une gestion optimale de l’eau. Le projet poursuit quatre objectifs :
- Réaliser un diagnostic global de la gestion de l’eau sur 14 profils d’entreprises ;
- Proposer des correctifs pour améliorer la gestion de l’eau des entreprises suivies ;
- Accompagner les entreprises pour l’intégration des correctifs durant une saison de production ;
- Concevoir et réaliser des activités de transfert de connaissances.
Les 14 profils, regroupés selon la culture (fraise d’été ou d’automne, framboise en plein champ et en pots sous abri), se raffinent selon un certain nombre d’éléments ayant trait à l’architecture du système cultural (rangs nattés ou plats, sol butté recouvert de paillis de plastique), l’objectif de l’irrigation (contre le stress hydrique ou gel), le type de système d’irrigation (aspersion et goutte à goutte), le marché visé (frais, kiosque, gros, etc.), le type de sol et la région. Les autres usages de l’eau seront aussi considérés dans le diagnostic global (lavage produits agricoles, main-d’oeuvre hébergée, pulvérisation de pesticides, etc.).
Alors que les objectifs 1 à 3 visent l’atteinte de résultats concrets et mesurables à court terme chez les producteurs accompagnés, l’objectif 4 (transfert de connaissance dans une perspective entrepreneuriale de codéveloppement) a une portée collective plus importante. Ces activités de transfert des connaissances consisteront en des journées portes ouvertes, des webinaires, des capsules vidéo, des podcasts et des fiches synthèses. Les entreprises seront sensibilisées aux différentes pratiques agroenvironnementales leur permettant de diminuer leur vulnérabilité au déficit hydrique et d’optimiser leur gestion de l’eau.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Lanaudière, Laurentides, Laval, Mauricie, Montérégie, Montréal, Sageunay-Lac-Saint-Jean.
Optimiser la gestion de l’eau |
Numéro de projet 22-003-PAD-APFFQ Regroupement Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ) |
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Nom du demandeur Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ) |
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Autres partenaires Institut de recherche et de développement en agroenvironnement |
Réalisation d’affiches en production fruitière intégrée de fraises et framboises
Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
La production fruitière intégrée (PFI) vise la réduction des impacts néfastes des pesticides, tout en assurant une production fruitière de qualité. Un programme de PFI met l’accent sur les pratiques qui favorisent la protection de l’environnement, la santé et la sécurité, la qualité du produit ainsi que la durabilité de l’entreprise agricole. Depuis 2017, des affiches PFI fraise et framboise sont produites pour aider les agronomes et les producteurs dans la gestion des ravageurs et des maladies. Ces affiches sont, à ce jour, vues comme des outils incontournables pour la gestion phytosanitaire à la ferme. Ce projet vise à mettre à jour ces outils pour deux saisons de production, mais aussi à mettre en place des formations (webinaire et vidéo tutoriel) pour une meilleure utilisation de ces outils par les agronomes et les producteurs.
Le transfert de connaissances est un processus dynamique, et nous souhaitons créer de multiples mécanismes qui favorisent la diffusion, l’adoption et l’appropriation des nouvelles connaissances. Il faut non seulement déterminer quelles sont les connaissances pertinentes à transférer, mais aussi les besoins du public cible et les contextes dans lesquels les acteurs utilisent les connaissances.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Estrie, Gaspésie, Lanaudièrs, Laurentides, Laval, Mauricie, Montérégie, Montréal, Nord-du-Québec, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Numéro de projet 22-004-PAD-APFFQ Regroupement Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ) |
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Nom du demandeur Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ) |
Vitrines de démonstration d’une régie à moindres risques dans la fraise d’été et la fraise d’automne dans plusieurs régions du Québec
Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
Les résultats obtenus dans le projet de vitrines de régie à moindres risques dans la fraise d’automne (2018-2021) ont permis de réduire jusqu’à 60,3 % les IRS et 55,9 % les IRE. L’utilisation des pesticides à moindre risque est également passée d’un traitement sur quatre environ à plus d’un traitement sur deux. Fort de ces résultats, l’APFFQ et le Carrefour industriel et expérimental de Lanaudière (CIEL) proposent de poursuivre pour une durée de trois ans la mise en place de vitrines de démonstration sur de nouveaux sites dédiés à la culture de la fraise. Six régions sont ciblées : Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Laurentides, Outaouais, Laval et Montérégie. La culture de la fraise d’automne ainsi que celle de la fraise d’été, aussi bien en implantation qu’en production, seront visées par le projet.
Pour chacun des sites, un accompagnement spécialisé et personnalisé sera mis en place pour réaliser un travail d’équipe avec CIEL, le club-conseil et le producteur afin d’établir les stratégies pour réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement. La régie à moindres risques sera comparée à celle de la régie habituelle de l’entreprise.
Des journées de visites à la ferme et une large diffusion des résultats permettront de mieux faire connaître ces techniques. Voici des exemples d’activités de diffusion qui seraient réalisées dans le cadre de ce projet : fiches techniques, webinaires, articles et/ou balados, etc.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Laurentides, Laval, Montérégie, Outaouais.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Vitrines de démonstration d'une stratégie à moindre risque dans la fraise d'été et la fraise d'automne : Stratégies et résultats, Centre-du-Quéebc, 20 février 2024 |
Numéro de projet 22-005-PAD-APFFQ Regroupement Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ) |
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Nom du demandeur Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ) |
Vitrines 2.0 : Régie à moindres risques et caravane de l’innovation en pomiculture
Les Producteurs de pommes du Québec
Ce projet est une suite du projet des vitrines de régie à moindres risques dans le secteur de la pomme débuté au printemps 2018 et qui se terminera en 2022. Il poursuit les mêmes grands objectifs (justifiés par les mêmes problématiques) et s’appuie sur les expériences et les réalisations du premier projet. Il propose toutefois d’agir sur deux plans complémentaires à celui des vitrines, en vue de favoriser davantage la diffusion et l’adoption de certaines pratiques en remplacement des pesticides de synthèse. Les vitrines seront ainsi appuyées par une « caravane de l’innovation » et des « rencontres de cuisine » qui se déplaceront dans les cinq régions pomicoles (Laurentides, Montérégie-Est, Montérégie-Ouest, Estrie et Capitale-Nationale/Chaudière-Appalaches) afin de rencontrer les producteurs et leur permettre de développer une stratégie de « réduction des risques » adaptée à leur situation. Quant aux vitrines elles-mêmes, elles seront localisées, en 2023, dans les mêmes vergers ou sur de nouveaux sites lorsque possible ; leur régie à moindres risques sera aussi simplifiée et adaptée à chaque site, de façon à ce qu’elle soit plus facilement transférable.
Le transfert et l’adoption seront réalisés essentiellement par le biais des événements « terrain » organisés sur le site des vitrines et lors du passage de la caravane sur l’ensemble du territoire.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Estrie, Laurentides, Montérégie.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Numéro de projet 22-037-PAD-PPQ Regroupement Les Producteurs de pommes du Québec |
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Nom du demandeur Les Producteurs de pommes du Québec |
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Autres partenaires Institut de recherche et de développement en agroenvironnement |
Production fruitière intégrée 2.0 pour les producteurs de pommes du Québec
Les Producteurs de pommes du Québec
La production fruitière intégrée (PFI) est une approche qui favorise l’adoption de bonnes pratiques agricoles visant à produire des fruits de qualité dans le respect de l’environnement, de la santé et de la sécurité des citoyens, et aussi de la durabilité des entreprises. L’Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA) et Les Producteurs de pommes du Québec sont responsables de l’implantation de la PFI dans le secteur de la pomme au Québec, avec le soutien des conseillers des secteurs public et privé. Après avoir franchi différentes étapes depuis les débuts de l’initiative en PFI, en 2002 (initiation, formation, classification, développement, implantation), il nous apparaît opportun de passer aux étapes d’évaluation et de révision avant de poursuivre son implantation. Le but du présent projet est ainsi de réviser le programme de production fruitière intégrée développé il y a 20 ans et d’en faire la promotion auprès des producteurs. Le projet vise également à mettre à jour l’enquête sur l’adoption de ces pratiques par les producteurs, afin de dégager un portrait de la situation actuelle et de mesurer les progrès faits depuis 15 ans.
Durée du projet: 3 ans
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Numéro de projet 22-036-PAD-PPQ Regroupement Les Producteurs de pommes du Québec |
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Nom du demandeur Les Producteurs de pommes du Québec |
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Autres partenaires Institut de recherche et de développement en agroenvironnement |
Évaluation économique et environnementale de certaines techniques alternatives en pomiculture
Producteurs de pommes du Québec
Le projet répond à l’engagement des Producteurs de pommes du Québec (PPQ) soit de réaliser une analyse technico-économique de certaines méthodes alternatives.
LLes PPQ, en collaboration avec l’Institut de recherche et de développement en agroenvironnement ont lancé les projets Vitrines 1.0 et Vitrines 2.0 afin de promouvoir et favoriser l’adoption de régies à moindres risques. En complément à ces projets, le Centre d’études sur les coûts de production en agriculture, d’après les recommandations des acteurs du milieu, réalisera une évaluation économique et environnementale de certaines techniques alternatives en pomiculture. La production d’analyses économiques sur les techniques visées aspire tout autant à favoriser la diffusion et l'adoption des pratiques visées en remplacement des pesticides de synthèse. À terme, le projet vise une plus grande adoption de nouvelles approches permettant de réduire l’empreinte environnementale du secteur tout en préservant la santé et la sécurité des producteurs et productrices.
Durée du projet : 2 ans
Régions couvertes : Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Estrie, Laurentides, Montérégie
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Numéro de projet 23-005-CECPA Regroupement Producteurs de pommes du Québec |
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Nom du demandeur Centre d'étude sur les coûts de production en agriculture |
Optimiser la gestion des matières fertilisantes en production bovine par la caractérisation des effluents d'élevage
Les Producteurs de bovins du Québec
Ce projet a comme objectif principal d’optimiser la gestion des effluents d’élevages des producteurs de bovins pour réduire l’apport des matières fertilisantes azotées en ayant recours à la caractérisation des fumiers et des lisiers.
L’idée maîtresse du projet est de réunir des producteurs et leurs agronomes afin de discuter de la caractérisation des fumiers et des lisiers, de mettre à jour les connaissances des participants, de les amener à découvrir ou à redécouvrir les outils disponibles pour la caractérisation des fumiers ou des lisiers, d’essayer de définir avec eux les freins à la caractérisation et de discuter des avantages et des désavantages de la caractérisation comme outil pour optimiser la gestion des matières fertilisantes. Un accent particulier sera mis sur la fertilisation azotée en production bovine. À terme, le projet permettra notamment : trois cohortes de producteurs et agronomes pour un total de six groupes de discussion ; trois accompagnements pour la préparation du chantier de caractérisation ; trois accompagnements pour la rédaction des rapports de caractérisation ; un nouveau document de référence sur la caractérisation des effluents d’élevage en production bovine.
Durée du projet: 3 ans
Améliorer la gestion des matières fertilisantes |
Numéro de projet 22-007-PAD-BOVINS Regroupement Les Producteurs de bovins du Québec |
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Nom du demandeur Les producteurs de bovins du Québec |
Programme biodiversité en production bovine
Les Producteurs de bovins du Québec
Le projet a comme objectif de former et accompagner les producteurs de bovins sur les pratiques à mettre en place à la ferme pour favoriser un habitat propice à la faune, notamment les oiseaux champêtres et les pollinisateurs, et pour améliorer la biodiversité. L’idée maîtresse du projet est de construire sur des projets novateurs développés, ou en voie d’être développés, par des intervenants déjà impliqués dans leur milieu. Des vidéos témoignages permettront l’organisation d’un panel avec des producteurs où seraient conviés les producteurs de bovins afin de favoriser un échange entre les producteurs et expert au sujet des pratiques mises en place pour favoriser la biodiversité.
Au terme du projet, nous prévoyons avoir réalisé 16 activités de formation, dix vitrines de démonstrations, trois vidéos témoignages, un panel de discussion et un guide pour l’organisation d’événements.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Gaspésie, Laurentides, Montérégie, Outaouais.
Améliorer la biodiversité |
Rapport d'activité Année 1 | |
Journée sur la gestion des pâturages, Centre-du-Québec, 17 mai 2022 | |
Bioblitz en milieu agricole, Estrie, 10 septembre 2022 | |
Journée champ à la ferme Guentert Enr, Montérégie, 15 juillet 2022 | |
Journée au champs en biodiversité, Outaouais, 11 juillet 2023 | |
Atelier pâturage , Saguenay Lac-Saint-Jean, 10 août 2023 | |
Webinaire, Bovins biodiversité : lancement vidéos biodiversité, 23 janvier 2024 | |
Invitation webinaire, Bovins biodiversité : Lancement vidéos biodiversité, 23 janvier 2024 | |
Rapport d'étape |
Numéro de projet 22-009-PAD-BOVIN Regroupement Les Producteurs de bovins du Québec |
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Nom du demandeur Les Producteurs de bovins du Québec |
Formation pratique pour optimiser la culture des plantes fourragères
Les Producteurs de lait du Québec
Les plantes fourragères pérennes rendent plusieurs services écosystémiques à notre société. Elles ont, entre autres, un rôle important à jouer pour la santé et la conservation des sols. Malgré leurs nombreux bénéfices, les superficies en plantes pérennes ont connu un recul ces dernières années, et ce, dans plusieurs régions du Québec.
L’objectif du projet est de former et d’accompagner les producteurs de lait dans l’optimisation de la gestion de leurs prairies. Il s’agit d’aider ces derniers à obtenir de meilleurs rendements en les incitant à maintenir les cultures dans leurs rotations respectives. Ce projet proposera un volet de formation théorique et un volet pratique sous la forme de vitrines de démonstration, dans plusieurs régions du Québec. Un comité de suivi composé principalement de producteurs de lait sera formé dans le but de concevoir une formation dans un processus co-créatif orienté vers les besoins des producteurs. D’autres intervenants pourront être sollicités pour faire partie du comité de suivi et élaborer le projet.
Le projet sera donc conçu en deux phases : le développement de la formation et la panification des vitrines auront lieu en 2022, puis la diffusion de la formation et les visites de vitrines auront lieu en 2023 et 2024.
Durée du projet : 2 ans
Améliorer la santé et la conservation des sols |
Numéro de projet 22-033-PAD-PLQ Regroupement Les Producteurs de lait du Québec |
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Nom du demandeur Les Producteurs de lait du Québec |
Formation pratique pour optimiser la culture des plantes fourragères
Producteurs de lait du Québec
Le présent projet est la deuxième phase du projet « Formation pratique pour optimiser la culture des plantes fourragères ». Il consiste à diffuser la formation planifiée au cours de la première phase du projet.
Pour ce faire, la diffusion de la formation sera séparée en deux parties. La première partie sera un webinaire disponible dès l'hiver 2024 par le biais de Lactanet. Les producteurs pourront y assister en direct, ou le revisionner au moment qui leur conviendra le mieux. La deuxième partie de la formation se tiendra sur des fermes dans toutes les régions au cours de l'été 2024. Cette deuxième partie de la formation comprendra une partie théorique et une partie pratique, où les producteurs auront l'occasion d'entendre des témoignages de producteurs de leur région et de voir des démonstrations des concepts présentés pendant le webinaire et la journée à la ferme. Pour compléter la formation, des capsules vidéo seront tournées et incluses au webinaire, puis des fiches d’information seront produites pour être distribuées lors des journées de formation et disponibles en version électronique.
LÀ la fin du projet, il est attendu qu'au moins 500 producteurs de lait auront participé à la formation. Les producteurs bovins, ovins, caprins et de foin de commerce seront aussi invités à participer, car plusieurs des concepts concernant l'optimisation des rendements et de la qualité des fourrages s'appliquent également à leurs entreprises.
Durée du projet : 2 ans
Régions couvertes : Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Côte-Nord, Estrie, Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Mauricie, Lanaudière, Laurentides, Laval, Montérégie, Nord-du-Québec, Montréal, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Améliorer la santé et la conservation des sols |
Webinaire, Durable et rentable, de la prairie à l'étable - 10 janvier 2024 | |
Journées en salle, Durable et rentable, de la prairie et à l'étable - Plusieurs dates, |
Numéro de projet 23-004-PAD-PLQ Regroupement Producteurs de lait du Québec |
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Nom du demandeur Producteurs de lait du Québec |
Série d'animations - Préserver la biodiversité
Producteurs de lait du Québec
Le projet répond à l’engagement des Producteurs de lait du Québec soit de former les producteurs agricoles sur les pratiques à mettre en place à la ferme pour favoriser davantage la biodiversité indigène du Québec.
La biodiversité joue plusieurs rôles bénéfiques dans les écosystèmes et il est essentiel de la préserver. L’objectif du projet « Série d’animations – Préserver la biodiversité » est d’encourager les producteurs à adopter des pratiques favorables à la biodiversité à la ferme. L’objectif spécifique est d’illustrer diverses pratiques ou aménagements qui peuvent être mis en place à la ferme afin d’y parvenir.
Pour illustrer des pratiques et aménagements favorables à la biodiversité, une série de courtes animations sera créée. Le comité d’experts, composé de QuébecOiseaux, Nature Québec et Gestrie-Sol, soumettra leurs idées pour les scénarios. Les oiseaux champêtres, les pollinisateurs et les chauves-souris font partie des espèces de la faune qui pourront être abordées dans les capsules. Ces courtes animations seront par la suite diffusées par différents canaux. Les animations seront intégrées à la formation de l’Union des producteurs agricoles sur la biodiversité « Agir pour l’agriculture durable » et elles seront partagées par les Producteurs de lait du Québec sur leurs différents réseaux.
Durée du projet : 2 ans
Régions couvertes : Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Côte-Nord, Estrie, Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Mauricie, Lanaudière, Laurentides, Laval, Montérégie, Nord-du-Québec, Montréal, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Améliorer la biodiversité |
Numéro de projet 23-002-PAD-PLQ Regroupement Producteurs de lait du Québec |
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Nom du demandeur Producteurs de lait du Québec |
Réussir sa culture de couverture dans le maïs ensilage
Producteurs de lait du Québec
Le projet répond à l’engagement des Producteurs de lait du Québec soit de former et accompagner les producteurs agricoles afin qu’ils saisissent les occasions d’intégrer des cultures de couverture tout au long du cycle de rotation des cultures. Les plantes fourragères constituent la majeure partie de l’alimentation des bovins. Les cultures pérennes et la culture du maïs ensilage se partagent ainsi une grande partie des superficies agricoles en culture sur les fermes laitières, avec une variabilité d’une région à l’autre.
Ayant déjà un projet sur les cultures fourragères pérennes en cours, l’objectif du projet « Réussir sa culture de couverture dans le maïs ensilage » est d’encourager les producteurs à augmenter leurs superficies couvertes pendant et après la saison de croissance. Le premier objectif spécifique est de résumer dans une fiche technique différentes façons d’intégrer les cultures de couverture dans le maïs ensilage. Le deuxième objectif spécifique est d’illustrer ces techniques par des témoignages de producteurs qui ont adopté ces pratiques sur leurs fermes.
Pour illustrer les façons d’intégrer les cultures de couverture dans le maïs ensilage, deux capsules vidéo et une fiche technique seront réalisées. Ces deux capsules vidéo et cette fiche seront par la suite diffusées par différents moyens. Elles seront, d’une part, intégrées à la formation de l’Union des producteurs agricoles sur la santé et la conservation des sols « Agir pour l’agriculture durable » et, d’autre part, partagées par les Producteurs de lait du Québec sur différents canaux, comme l’Extranet des producteurs.
Durée du projet : 2 ans
Régions couvertes : Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Côte-Nord, Estrie, Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Mauricie, Lanaudière, Laurentides, Laval, Montérégie, Nord-du-Québec, Montréal, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Améliorer la santé et la conservation des sols |
Numéro de projet 23-003-PAD-PLQ Regroupement Producteurs de lait du Québec |
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Producteurs de lait du Québec |
Implantation d'aménagements agroforestiers favorables à la présence d'espèces auxiliaires bénéfiques sur des sites de production avicole
Les Producteurs d’oeufs d’incubation du Québec
Le projet vise à assurer et à pérenniser la disponibilité d’une expertise adaptée au contexte spécifique des sites d’élevage d’oiseaux reproducteurs et de production d’oeufs d’incubation, en ce qui concerne l’implantation d’aménagements agroforestiers favorables à la biodiversité, et en faire la diffusion et la promotion auprès des membres. Dans ce contexte, il est proposé d’accompagner les membres afin de réaliser l’implantation sur une vingtaine de sites d’élevage de nouveaux aménagements agroforestiers favorables à la biodiversité, autour des bâtiments de production et de nouvelles infrastructures aménagées favorisant la présence d’espèces auxiliaires. Le projet se déroulera en plusieurs étapes. Une fiche synthèse, destinée aux producteurs et productrices ainsi qu’aux professionnels qui les accompagnent, sera d’abord conçue et diffusée. Un guide d’implantation de haies brise-vent, une liste de ressources d’intérêt, ainsi que des témoignages filmés – complémentaires à la fiche – seront également produits dans le cadre du projet, puis diffusés afin d’assurer la poursuite des efforts d’amélioration de la biodiversité sur les sites de production avicole au-delà de 2025.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Lanaudière, Montérégie.
Améliorer la biodiversité |
Numéro de projet 22-012-PAD-POIQ Regroupement Les Producteurs d’oeufs d’incubation du Québec |
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Nom du demandeur Les Producteurs d’oeufs d’incubation du Québec |
Réduire l'impact environnemental de la fertilisation par une saine gestion des lisiers de porc
Les Éleveurs de porcs du Québec
Le projet répond à l’engagement des Éleveurs de porcs du Québec soit d’améliorer la valorisation du lisier de porc au champ par la réalisation d’activités de transfert, de formation et d’accompagnement pour les entreprises porcines québécoises.
Le projet a comme objectif principal d'optimiser la gestion des effluents d’élevages porcins afin de réduire les pertes environnementales associées aux pratiques d'épandage. Il propose la réalisation de vidéos, d'une activité de formation et d’une conférence visant le transfert de connaissances et l'accompagnement et mise sur la collaboration d'agronomes ayant une expertise reconnue en fertilisation et de producteurs appliquant des pratiques responsables en fertilisation. L'objectif général du projet est d'informer les conseillers en agroenvironnements, les éleveurs de porcs, les receveurs de lisier et les forfaitaires sur les pratiques d'épandages à préconiser dans des situations définies (saison de culture, type de culture, type de machinerie). Cette formation permettra aux participants de découvrir ou de redécouvrir les outils et connaissances agronomiques disponibles pour limiter les pertes de nutriments dans l'environnement et de discuter des avantages et potentiels freins à l'utilisation et l’application de ceux-ci. Des experts en fertilisation organiques ainsi que des producteurs adoptant déjà des pratiques exemplaires en termes de fertilisation seront mis à contribution pour animer les vidéos et séances de formation afin de nourrir les discussions et d’arriver à des solutions adaptées pour chacun. Afin que la formation bénéficie au plus grand nombre de participants possible, trois capsules vidéo (printemps, post-levé, post-récolte) seront rendues disponibles sur le site des Éleveurs de porcs du Québec. Également, une formation se tiendra via une plateforme de vidéoconférence.
Durée du projet : 2 ans
Régions couvertes : Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Côte-Nord, Estrie, Mauricie, Lanaudière, Laurentides, Laval, Montérégie, Nord-du-Québec, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Améliorer la gestion des matières fertilisantes |
Numéro de projet 23-006-PAD-ÉPQ Regroupement Les Éleveurs de porcs du Québec |
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Nom du demandeur Les Éleveurs de porcs du Québec |
Gestion intégrée d’organismes nuisibles en pépinière et dans les arbres de Noël
Québec Vert
Ce projet vise à orchestrer une campagne de sensibilisation et de formation auprès de tous les producteurs en pépinière et des producteurs d’arbres de Noël du Québec, afin de promouvoir la réduction de l’utilisation des pesticides et des risques associés. D’une part, le projet vise à sensibiliser les producteurs aux rôles joués par les prédateurs et les auxiliaires des cultures qui sont naturellement présents dans leurs entreprises. Parallèlement, des outils à l’usage des producteurs seront conçus. Ces outils prendront la forme de 17 fiches techniques portant sur les principaux ravageurs en pépinière et leurs techniques de gestion intégrée, sur les facteurs à prendre en compte pour favoriser la biodiversité en pépinière, ainsi que sur la tolérance à la présence d’insectes et de maladies n’affectant pas les ventes ; celles-ci refléteront les dernières avancées du secteur. Une série de 15 capsules vidéo sera réalisée et permettra de bien exemplifier les notions contenues dans les fiches. À partir de cette compilation d’informations actualisées, des formations en gestion intégrée seront aussi conçues et offertes sous la forme de huit ateliers de terrain dans quatre régions du Québec, et de trois cliniques de formation.
L’ensemble des outils de sensibilisation et d’information ainsi que les activités de formation permettront d’accélérer le transfert des connaissances en gestion intégrée, l’adoption de pratiques culturales moins risquées par les producteurs en pépinière et les producteurs d’arbres de Noël, dont une meilleure connaissance de la lutte intégrée et biologique et la réduction des pesticides.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes :Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Côte-Nord, Estrie, Gaspésie, Launaudière, Laurentides, Laval, Mauricie, Maontérégie, Montréal, Nord-du-Québec, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Dépliant - Gestion intégrée d'organismes nuisibles en pépinière et dans les arbres et sapins de Noël | |
Fiche technique - La cicadelle de la pomme de terre | |
Fiche technique - La brûlure bactérienne des rosacées | |
Fiche technique - La brûlure bactérienne du lilas | |
Fiche technique - Taches foliaire de l'hémérocalle | |
Fiche technique - Le tétranyque de l'épinette |
Numéro de projet 22-026-PAD-QV Regroupement Québec Vert |
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Nom du demandeur Québec Vert |
Réduction de l’exposition des travailleurs serricoles aux pesticides par l’optimisation de l’utilisation des auxiliaires de lutte en serres maraîchères
Centre de recherche agroalimentaire de Mirabel
Le secteur des serres maraîchères est en plein développement et la Stratégie de croissance des serres 2020-2025 du gouvernement pour doubler les superficies de serre et la production va accélérer les besoins de transfert efficace de l’information aux producteurs de fruits et de légumes de serre.
L’objectif du projet est de réunir l’ensemble de l’information pertinente sur la réduction de l’exposition des travailleurs aux pesticides et sur la phytoprotection dans les serres maraîchères. La production de fiches techniques, de capsules vidéos, d’outil d’aide à la décision sera faite à partir des informations de la littérature, mais aussi selon les résultats et les observations faites dans le cadre du réseau des serres sentinelles du CRAM (maraîcher). Les informations présentes dans le matériel qui sera produit seront notamment la protection des travailleurs liée à la réduction de l’exposition aux pesticides (ex. : EPI), la présentation des différents outils d’aide au diagnostic, les méthodes de lutte pertinentes selon les ravageurs (ex. : auxiliaires de lutte, plantes trappes, lutte physique, maladies…), ainsi qu’un outil d’aide à la décision pour identifier la ou les méthodes de lutte optimales dans les conditions spécifiques du producteur.
Les divers outils et produits développés permettront de rassembler une panoplie d’informations à un même endroit et faciliteront l’adoption des pratiques impliquant les auxiliaires de lutte dans les différentes cultures en serre, réduisant ainsi les applications de pesticides en serre et l’exposition des travailleurs aux produits chimiques.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Côte-Nord, Estrie, Gaspésie, Lanaudière, Laurentides, Laval, Mauricie, Montérégie, Montréal, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Numéro de projet 22-008-PAD-CRAM Regroupement Producteurs en serre du Québec |
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Nom du demandeur Centre de recherche agroalimentaire de Mirabel |
Sensibiliser les producteurs sur les zones les plus contributives en phosphore des cours d’eau avec GéODEP
Fédérations de l'UPA de Lanaudière
Les Fédérations régionales de l’UPA de Lanaudière, de la Mauricie et du Saguenay–Lac-Saint-Jean se sont engagées à sensibiliser les productrices et producteurs agricoles aux enjeux entourant les exportations diffuses de phosphore total vers les cours d’eau, notamment au regard des superficies cultivées. Afin de réaliser cet engagement, diverses initiatives seront réalisées dans le cadre du projet, afin de sensibiliser les producteurs :
- aux mécanismes entourant les exportations de phosphore provenant de parcelles cultivées vers les cours d’eau ;
- à l’adoption de bonnes pratiques agroenvironnementales et à la réalisation d’aménagements hydroagricoles de conservation qui peuvent réduire les exportations de phosphore vers les cours d’eau ;
- à l’utilisation d’outil d’aide à la décision ;
- en chiffrant monétairement les pertes potentielles en phosphore des parcelles cultivées vers les cours d’eau.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Lanaudière, Mauricie, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Optimiser la gestion de l’eau |
Dépliant - Le PAD, c'est quoi? | |
Modèle de rapport GéODEP : Sensibilisation des producteurs sur les zones les plus contributives en phosphore des cours d’eau avec GéODEP | |
Présentation - Présentation du projet GéODEP - Journée grandes cultures - 16 mars 2023- Saguenay-Lac-Saint-Jean | |
Présentation- Présentation du Projet GéODEP - 9 mai 2023 - Lanaudière |
Numéro de projet 22-040-PAD-UPA-LAN Regroupement Fédération de l'UPA (SLSJ, Lanaudière, Mauricie) |
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Nom du demandeur Fédération de l'UPA de Lanaudière |
Sensibilisation à la réduction de l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement
Fédérations de l'UPA du Saguenay-La-Saint-Jean
Les Fédérations régionales de l’UPA de Lanaudière, de la Mauricie et du Saguenay–Lac-Saint-Jean se sont engagées à sensibiliser les productrices et producteurs agricoles à l’importance de réduire l’usage et les risques des pesticides sur leur entreprise, notamment par la mise en place d’une campagne de sensibilisation. Le projet a deux volets.
- Appui à la mise en action des entreprises : Ce volet vise à cibler une trentaine de producteurs par fédérations qui se portent volontaires pour prendre part à l’engagement concernant la réduction de l’usage et des risques liés aux pesticides. Ils seront encouragés, grâce à une sensibilisation individuelle, à utiliser des produits phytosanitaires et des pratiques de moindre impact. Les producteurs seront encouragés à mettre en place des parcelles de démonstration.
- La sensibilisation collective : Les exemples de pratiques recueillis dans le volet individuel ou chez les producteurs avant-gardistes pourraient être utilisés dans des activités de démonstration, des ateliers, ou publiés dans des infolettres spéciales ou les médias sociaux. Nous souhaitons valoriser les producteurs qui font des efforts et qui adoptent des bonnes pratiques en matière d’utilisation de pesticides.
Régions couvertes : Lanaudière, Mauricie, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Activité phytoprotection, Saguenay-Lac-Saint-Jean, 21 juin 2023 | |
Dépliant - Le PAD, c'est quoi? | |
Présentation - Présentation des projets PAD à la Journée Grandes cultures du 16 mars 2023 - Saguenay-Lac-Saint-Jean | |
Vers fil-de-fer : la stratégie à adopter | |
Exemple de rapport de dépistage du vers fil-de-fer | |
Exemple d'un diagnostic en phytoprotection et proposition d'options d'intervention |
Numéro de projet 22-016-PAD-UPA-SLSJ-LAN-MAU Regroupement Fédération de l'UPA (SLSJ, Lanaudière, Mauricie) |
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Nom du demandeur Fédération de l'UPA Saguenay-Lac-Saint-Jean |
Optimisation de la fertilisation azotée, des outils d’aide à la décision
Fédérations de l'UPA de la Mauricie
Les fédérations régionales de l’UPA, de Lanaudière, de la Mauricie et du Saguenay–Lac-Saint-Jean se sont engagées à sensibiliser les productrices et producteurs agricoles aux bonnes pratiques agroenvironnementales à implanter à la ferme, pour améliorer la gestion des matières fertilisantes (synthèse et organique), notamment par la mise en place d’une campagne de sensibilisation qui poursuit les objectifs suivants :
- Sensibiliser les producteurs à une meilleure utilisation de leurs sources d’engrais organique et minéral afin de minimiser les pertes d’azote par volatilisation, ruissellement, lessivage, dénitrification, en rappelant certaines bonnes pratiques agroenvironnementales ;
- Sensibiliser les producteurs à l’importance d’utiliser des outils d’aide à la décision (test de nitrate, Outil SCAN, Rotation $+, etc.) ;
- Sensibiliser les producteurs aux cultures de couverture et intercalaires pour profiter d’une source d’azote naturelle ;
- Sensibiliser les producteurs à l’amélioration de la santé de leurs sols qui a aussi un impact sur l’efficacité de l’azote.
En guise d’activités de sensibilisation, des vitrines aux champs seront organisées chez les producteurs participants. Ces vitrines ont pour but de sensibiliser et d’informer les producteurs et autres intervenants au sujet de la saine gestion de la fertilisation azotée. Enfin, des capsules vidéo ainsi qu’un groupe de discussion seront créés et animés afin d’encourager et de perpétuer les efforts engagés dans cette voie.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Lanaudière, Mauricie, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Améliorer la gestion des matières fertilisantes |
Numéro de projet 22-031-PAD-FUPAM Regroupement Fédération de l'UPA (SLSJ, Lanaudière, Mauricie) |
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Nom du demandeur Fédération de l'UPA de la Mauricie |
Projet biodiversité
Fédération de l’UPA d’Abitibi-Témiscamingue
Le projet a pour objectif principal d’améliorer la biodiversité en milieu agricole en incitant les producteurs à accroître les superficies agricoles aménagées favorables à la biodiversité. Le projet se décline en trois volets. D’une part, une synergie interrégionale sera développée entre les acteurs du milieu, grâce à la mise en place de nouveaux canaux de communication (comité aviseur et groupes de mise en oeuvre régionaux) afin d’offrir de l’information de qualité aux producteurs. Cette synergie permettra, dans un deuxième temps, la réalisation de nombreuses activités de formation et d’information sur l’ensemble du territoire (webinaires, présentations en salle et démonstrations à la ferme). Enfin, une campagne de valorisation sera développée, afin que les aménagements en biodiversité de plus de 150 entreprises agricoles rayonnent à grande échelle. La visibilité sera assurée par une image facile à reconnaître. Des capsules vidéo mettant en vedette des experts et des fermes participantes seront également diffusées pour reconnaître les bons coups réalisés par les producteurs et les bienfaits de la biodiversité à la ferme.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Côte-Nord, Gaspésie.
Améliorer la biodiversité |
Numéro de projet 22-019-PAD-UPA-AT Regroupement Fédérations de l’UPA (BSL, Abitibi-Témiscamingue, GIM et Capitale-Nationale–Côte-Nord) |
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Nom du demandeur Fédération de l’UPA d’Abitibi-Témiscamingue |
Réseau bio-conventionnel, plus d’échanges pour moins de pesticides
Fédérations de l’UPA de la Chaudière-Appalaches
Le projet vise à mettre en place un réseau d’expertises et d’échanges entre les conseillers en milieu agricole et les producteurs biologiques ou conventionnels, pour favoriser les changements de pratiques. Il vise également à faire connaître les méthodes de gestion des ennemis des cultures en agriculture biologique et à sensibiliser les producteurs aux risques de l’utilisation des pesticides pour la santé et l’environnement.
Ce projet est élaboré par les fédérations de l’UPA de la Chaudière-Appalaches, du Bas-Saint-Laurent et de l’Estrie. Les trois régions seront visitées, au cours des trois prochaines années, pour y réaliser des séances d’information, des ateliers de discussions ainsi que des visites de démonstration.
Toutes ces activités viseront à inciter les producteurs conventionnels à adopter de nouvelles méthodes de gestion des ennemis de cultures plus respectueuses de l’environnement grâce aux échanges enrichissants dont ils auront bénéficié auprès des producteurs biologiques. Ce partage de connaissances devrait faciliter l’adoption de nouvelles méthodes de gestion des ennemis de cultures qui sont respectueuses de l’environnement.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Bas-Saint-Laurent, Chaudière-Appalaches, Estrie.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement |
Démonstration en champ - Ferme Jean Labrie inc., Bas-Saint-Laurent, 11 août 2022 | |
Réseau bio-conventionnel, plus d'échange pour moins de pesticides - Activité 1, Chaudière-Appalaches, 18 août 2022 | |
Activité en champ - Les cultures J. Pelletier inc., Bas-Sanit-Laurent, 23 août 2022 | |
Activité culture d'arbres de Noël - Plantation du Pinacle, Estrie, 7 septembre 2022 | |
Démonstration en champ - Ferme du Porc-Épic, Chaudière-Appalaches,16 septembre 2022 | |
Démonstration en champ - Ferme Casault, Bas-Saint-Laurent, 14 septembre 2022 | |
Démonstration en champ - Ferme Blondaine inc., Bas-Saint-Laurent, 13 septembre 2022 | |
Démonstrations en champ - Les élevages André Carrier inc., Chauedière-Appalaches, 20 septembre 2022 | |
Démonstrations en champ - Ferme St-Élie, Estrie, 27 septembre 2022 | |
Réduire les pesticides, est-ce possible? Plénière et discussion - Camp Richelieu, Bas-Saint-Laurent, 25 janvier 2023 |
Numéro de projet 22-034-PAD-UPA-CH Regroupement Fédérations de l’UPA (Chaudière-Appalaches, Bas-Saint-Laurent et Estrie) |
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Nom du demandeur Fédérations de l’UPA de la Chaudière-Appalaches |
Transfert de connaissances sur les bonnes pratiques d’aménagement et de valorisation des coulées agricoles
Fédération de l'UPA de la Montérégie
Le projet vise à outiller les producteurs agricoles, conseillers agricoles et autres intervenants locaux afin de valoriser les coulées agricoles. À terme, ce projet permettra d’améliorer la biodiversité et la gestion de l’eau, ainsi que de mettre en valeur, par des pratiques d’aménagement bénéfiques, les coulées agricoles, les services écosystémiques qu’elles dispensent, ainsi que les milieux et éléments d’intérêts écologiques (corridors, clairières herbacées d’intérêt, chicots, arbres isolés, etc.).
Pour atteindre ces objectifs, des outils d’aide à la décision, d’aménagement et de sensibilisation seront créés et diffusés à large échelle afin de favoriser l’aménagement de coulées agricoles adaptées aux besoins et réalités des entreprises agricoles. Des visites de sites aménagés sont également prévues auxquelles seront invités producteurs agricoles, conseillers des CCAE, responsables du monde municipal (aménagistes, inspecteurs municipaux, chargés de projets en environnement) et autres intervenants du territoire afin d’informer et de mobiliser tous les acteurs des régions concernées.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Centre-du-Québec, Estrie, Montérégie.
Optimiser la gestion de l’eau | |
Améliorer la biodiversité |
Numéro de projet 22-001-PAD-UPA Regroupement Fédérations de l'UPA (Montérégie, Estrie et Centre-du-Québec) |
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Nom du demandeur Fédération de UPA de la Montérégie |
Agir pour l’agriculture durable : 3 en 1
Union des producteurs agricoles (UPA)
L’UPA, en collaboration avec AGRIcarrières, développera une campagne de sensibilisation sur les bonnes pratiques agroenvironnementales, spécifiquement orientée vers trois des objectifs du PAD et à concevoir une formation adaptée pour chacun d’entre eux. Les trois objectifs sont ceux ciblés par l’Initiative ministérielle de rétribution des pratiques agroenvironnementales :
- Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement ;
- Améliorer la santé et la conservation des sols ;
- Améliorer la biodiversité.
VOLET 1 du projet : La campagne de sensibilisation
La campagne de sensibilisation vise à informer, à intéresser et à inspirer les producteurs agricoles à entreprendre leur propre démarche agroenvironnementale, en adoptant des pratiques agroenvironnementales afin de répondre aux défis liés aux changements climatiques et ainsi à contribuer à la résilience des écosystèmes agricoles. La campagne de sensibilisation se déclinera en trois parties correspondant aux objectifs retenus.
VOLET 2 du projet : Les formations
Trois formations seront offertes plus spécifiquement en lien avec les pratiques identifiées dans le cadre de l’Initiative ministérielle de rétribution des pratiques agroenvironnementales.
Durée du projet: 3 ans
Régions couvertes : Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches, Centre-du-Québec, Côte-Nord, Estrie, Gaspésie, Lanaudière, Laurentides, Laval, Mauricie, Montérégie, Montréal, Nord-du-Québec, Outaouais, Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Réduire l’usage des pesticides et leurs risques pour la santé et l’environnement | |
Améliorer la santé et la conservation des sols | |
Améliorer la biodiversité |
Numéro de projet 22-010-PAD-UPA Regroupement Union des producteurs agricoles (UPA) |
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Nom du demandeur Union des producteurs agricoles (UPA) |
Calendrier des activités