
Chargement en cours
- Toutes les organisations
- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
- Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ)
- Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
- Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ)
- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Caïn Lamarre S.E.N.C.R.L./Avocats
- Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)
- Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole inc.
- Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
- Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA)
- Centre d'expertise en production ovine du Québec (CEPOQ)
- Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
- Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA)
- Fédération des producteurs d'œufs du Québec (FPOQ)
- Financement agricole Canada (FAC )
- Fondaction
- Fonds d'investissement pour la relève agricole (FIRA)
- Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA)
- Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ)
- Institut de valorisation des données (IVADO)
- Institut nationale d'agriculture biologique (INAB)
- La Financière agricole du Québec (FADQ)
- Lactanet
- Le Bulletin des agriculteurs
- Les Apiculteurs et Apicultrices du Québec (AADQ)
- Les Éleveurs de porcs du Québec (EPQ)
- Les éleveurs de volailles du Québec
- Les Producteurs de grains du Québec (PGQ)
- Les Producteurs de lait du Québec (PLQ)
- Les producteurs de pommes du Québec (PPQ)
- L'Union des producteurs agricoles (UPA)
- Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
- Mouvement Desjardins
- Ordre des agronomes du Québec (OAQ)
- Sollio Groupe Coopératif
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
458 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Fiers de diffuser leur expertise

06 décembre 2022
L'outil comptable pour la production maraîchère inclut un onglet d'utilisation de l'outil, des notions comptables, des outils du CETAB+, 12 mois de saisies comptables, une balance de vérification, un état des résultats, un bilan et quelques ratios pour analyse. C'est un outil Excel qui se veut simple d'utilisation
et gratuit.
Lire la suite

27 juillet 2022
Un cas de mildiou du basilic dépisté. MILDIOU DU BASILIC Un cas de mildiou du basilic a été dépisté cette semaine dans une serre froide de la région de l'Estrie. Cas probable de mildiou du basilic Julie Marcoux, technologue (MAPAQ) Cette maladie, causée par le champignon Peronospora belbahrii, s'installe
normalement au Québec autour de la mi-août. Parions que les conditions chaudes et humides des derniers jours ont permis son développement. Rappelons que la progression de la maladie est fulgurante. Dans une période de 48 heures, elle peut rapidement affecter toute la culture. Ce bulletin d'information explique les symptômes à surveiller et les stratégies de lutte à mettre en place contre ce ravageur. La stratégie préventive rapportée la plus efficace à ce jour consiste à réaliser des périodes de déshumidification au minimum aux 3 à 4 heures. Pour ce faire, il faut démarrer le chauffage pendant un minimum de temps, et ce, peu importe la température observée, tout en ventilant la serre. Le résultat sera une baisse de l'hygrométrie pendant ces périodes. Ceci contrera le mildiou du basilic, qui nécessite de courtes périodes d'humidité élevée pour proliférer. Toute intervention envers un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique, physique et chimique). Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) préconise la gestion intégrée des ennemis des cultures et la réduction des pesticides et de leurs risques. Cette alerte a été rédigée par Philippe-Antoine Taillon, agronome (MAPAQ) et révisée par la Direction de la phytoprotection (MAPAQ). Pour des renseignements complémentaires, vous pouvez contacter les avertisseurs du réseau Cultures maraîchères en serre ou le secrétariat du RAP. La reproduction de ce document ou de l’une de ses parties est autorisée à condition
Lire la suite

25 juillet 2022
Gestion du risque lié à Botrytis et aux autres maladies d’humidité. Publication périodique et prévisions pour les cinq prochains jours du rayonnement solaire global, de la température moyenne et de l’humidité relative moyenne. GESTION DU RISQUE LIÉ AUX MALADIES D’HUMIDITÉ TELLE BOTRYTIS Les conditions
météorologiques favorisent les maladies liées à l’humidité telles Botrytis (moisissure grise), Cladosporium (moisissure olive dans la tomate), Dydimella (chancre gommeux dans le concombre), Sclerotinia, etc. Bien que ces maladies soient causées par des organismes différents, la protection contre ces ravageurs est basée avant tout sur des méthodes préventives et une bonne gestion du climat. Certaines règles de base doivent être mises de l’avant pour une lutte efficace. Créer des conditions de culture défavorables au ravageur avec du chauffage (qui permet d’assécher les plantes et les serres), une conduite sans excès de végétation et une irrigation modérée. Selon la maladie présente, des pulses de chauffage devront être réalisés aux 4 à 12 heures pour obtenir un contrôle. Lors de journées très chaudes, certains automates n’effectueront pas les pulses de chauffage programmés. Il faut ainsi prévoir le coup et s’assurer que les réglages programmés s’effectuent. L’évacuation régulière hors de la serre des feuilles issues de l’effeuillage permettra de réduire l’hygrométrie à proximité des plantes. Le travail sur les plantes, notamment l’effeuillage, doit être fait avec le plus grand soin et dans des conditions asséchantes (début de journée/journée ensoleillée) pour éviter l’installation de la maladie sur les blessures. L’effeuillage doit être réalisé avec soin pour éviter de laisser des moignons. De bons résultats sont généralement plus faciles à obtenir en effeuillant à l’aide d’un couteau. Pour certaines maladies (ex. : cladosporiose), un effeuillage avec évacuation des feuilles hors de la serre peut réduire l’inoculum et la propagation
Lire la suite

12 juillet 2022
Problèmes de fertilisation. Qualité des fruits. Bilan du rayonnement solaire du mois de juin. Publication périodique du tableau du rayonnement solaire global. Prévisions de rayonnement solaire pour les cinq prochains jours. PROBLÈMES DE FERTILISATION De nombreux collaborateurs rapportent des
problématiques liées à la fertilisation. La plupart sont causées par des carences en magnésium. Avec la luminosité élevée des dernières semaines, les cultures poussent rapidement et des problèmes mineurs de fertilisation mènent rapidement à des carences majeures. Dans les cultures en plein sol ou en bacs de terreau hors-sol, il est fréquent d'observer l’abondance de racines à l’endroit où la fertilisation est appliquée. Cette constatation devrait alerter les producteurs et les conseillers qui la font et mener à certains questionnements. Racines abondantes à la surface du terreau Dany Boudreau, technologue (Climax Conseils) En début de récolte, l’équilibre entre les cations Ca++, K++ et Mg+ est précaire dans la solution du sol ou du substrat dans la plupart des légumes cultivés en serre. Si des ajustements ne sont pas réalisés aux pratiques de fertilisation en place, des carences en magnésium peuvent apparaître dans des cultivars sensibles (p. ex. Trust), comme c’est souvent le cas à ce moment-ci de l’année. Normalement, des modifications à la recette de fertilisation en place permettent de corriger le problème. Dans certains cas, les carences sont si avancées que des pulvérisations foliaires sont nécessaires pour corriger la situation. Ces carences mènent très souvent à des problématiques plus graves liées à la moisissure grise (Botrytis cinerea). Non seulement ceci peut apporter des pertes importantes de production, mais il faut aussi prévoir de laborieux passages répétés pour élaguer les tissus infectés par la moisissure grise. Carence sévère en magnésium dans une culture de tomates en serre 1. Vue d’ensemble
Lire la suite

07 juin 2022
DES PUNAISES DE TOUTES LES SORTES… ET DES CHRYSOMÈLES C’était prévisible, les punaises et la chrysomèle rayée du concombre ont fait leur apparition, comme chaque année, autour de la semaine 21. Il est probable que leur apparition sera plus hâtive dans les années à venir, à cause des changements climatiques.
On retrouve présentement, dans les serres de concombre, la chrysomèle rayée du concombre (Acalymma vittatum) et la punaise terne (Lygus lineolaris) qui sont deux ravageurs relativement faciles à distinguer. Adulte de la chrysomèle rayée du concombre Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (MAPAQ) Adulte de la punaise terne Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (MAPAQ) Mais, on retrouve aussi la punaise de la courge (Anasa tristis) et la punaise de la courge cornue (Anasa armigera) qui sont deux ravageurs très similaires. Adulte de la punaise de la courge Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (MAPAQ) Adulte de la punaise de la courge cornue Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (MAPAQ) Les bonnes pratiques pour gérer ces ennemis sont disponibles dans les fiches techniques suivantes : Punaise terne dans le poivron en serre Chrysomèle rayée du concombre en serre Punaise de la courge et la punaise de la courge cornue Malheureusement, les connaissances actuelles ne permettent pas de bien comprendre le comportement de ces ravageurs. Par exemple, les sites d’hibernement des punaises et des chrysomèles sont peu connus, empêchant les producteurs aux prises avec ce ravageur d’agir sur la première génération d’individus. De plus, peu de solutions sont disponibles pour lutter contre la chrysomèle et les punaises. D’un autre côté, ce sont de gros insectes, la lutte physique est possible en évitant leur entrée dans les serres grâce aux moustiquaires. Sinon, il faut les capturer et les détruire. Aucun insecticide n’est
Lire la suite
1 à 10 sur 458