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Fiers de diffuser leur expertise

Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)

Mise à jour

15 mars 2024
MISE EN GARDE BIEN QU’IL NE SOIT PAS PERMIS D’UTILISER L’HYPOCHLORITE DE SODIUM À LA CONCENTRATION RECOMMANDÉE DANS LE PRÉSENT PROTOCOLE POUR LE TRAITEMENT DES SEMENCES EN RÉGIE BIOLOGIQUE, UNE DÉROGATION DU CONSEIL DES APPELLATIONS RÉSERVÉES ET DES TERMES VALORISANTS (CARTV) A ÉTÉ ACCORDÉE POUR LES SAISONS DE CULTURE 2024 ET 2025. LE TRAITEMENT EST DONC AUTORISÉ POUR LES DÉTENTEURS D’UNE CERTIFICATION BIOLOGIQUE EN RESPECTANT LE PRÉSENT PROTOCOLE, POUR PRÉVENIR LE VIRUS DU FRUIT RUGUEUX BRUN DE LA TOMATE (TOBRFV) DANS LES TOMATES. CETTE DÉROGATION EST UNIQUEMENT APPLICABLE SUR LE TERRITOIRE DU QUÉBEC. Le virus du fruit rugueux brun de la tomate (ToBRFV) a été détecté pour la première fois en 2014, en Israël. Depuis, le virus a été trouvé dans plusieurs pays d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Asie. Le ToBRFV peut considérablement réduire la productivité des cultures de tomate et la qualité marchande des fruits. Au Québec, sa présence a été confirmée pour la première fois en 2021, dans des serres de tomate. Le ToBRFV fait partie de la famille des Tobamovirus reconnus pour être hautement transmissibles par contact. Bien qu’inoffensif pour l'humain, il cause des pertes de rendement considérables sur les plants et les fruits. Même à l'extérieur de la plante-hôte, ce virus est persistant longtemps dans l'environnement, ce qui le rend difficile à éradiquer et a souvent pour conséquence la cession de la production de tomates sur un site, et ce, pour plusieurs années. Le virus peut se transmettre par les semences. Or il n’existe aucune certification, à ce jour, qui garantit l'absence de virus au niveau des lots de semences achetés. D'ailleurs, des chercheurs italiens ont détecté la présence du virus dans plusieurs lots testés de nombreux semenciers. Des études récentes ont démontré l'efficacité d'un trempage de semences, dans une solution d’hypochlorite de sodium (2,5 %), pour éradiquer le virus. Une solution d'eau de Javel aurait donc la capacité d'éradiquer le virus qui se Lire la suite
Cultures maraîchères en serre, Avertissement No 2, 5 mars 2024
05 mars 2024
Prévention du mildiou dans les serres de tomates. Information sur les mélanges de produits à base de savons ou d’huiles avec du soufre. PRÉVENTION DU MILDIOU DANS LES SERRES DE TOMATES En 2023, plusieurs cas de mildiou, maladie causée par Phytophthora infestans, ont été recensés au Québec. Ces cas ont été retrouvés majoritairement dans des cultures de tomates et de pommes de terre. Dans la tomate, la maladie a été diagnostiquée autant dans les champs que de cultures abritées (tunnels et serres).   Symptômes de mildiou sur un fruit Photo : Climax Conseils. SENCRL Symptômes de mildiou sur un fruit Photo : INRA   Symptômes de mildiou sur des feuilles Photo : Riva Khanna, agr. (MAPAQ) Symptômes de mildiou sur une tige Photo : Climax Conseils, SENCRL Le mildiou est une maladie extrêmement destructrice et plusieurs efforts sont déployés chaque année pour détecter son apparition et surveiller sa progression. Les échantillons trouvés lors des années où la maladie était présente sont analysés par le Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) pour, entre autres, déterminer le génotype présent. En 2023, c'est le génotype US-23 qui a été trouvé dans presque tous les échantillons analysés. En 2016, Frost et al. ont démontré que la vigueur des génotypes de Phytophthora infestans normalement retrouvés lors d’épisodes de mildiou (US-22 et US-24) diminuait avec l'augmentation de l'exposition aux températures froides. Toutefois, le génotype US-23 a survécu plus longtemps à des températures de 4 et -3 °C que les génotypes US-22 ou US-24. Cela veut dire que des tissus infectés en 2023 par cet oomycète, et qui ont été enfouis ou laissés dans la serre, pourraient être encore viables en 2024. En effet, des campagnes de mesures de températures en serres non chauffées ont démontré que les températures de sol dans des serres individuelles non chauffées et faiblement isolées restent relativement élevées. Cela veut dire que du mycélium pourrait survivre, par Lire la suite
22 février 2024
À tous les producteurs en serre et leurs conseillers, Le MAPAQ, le CRSNG et le Mitacs ont octroyé une subvention pour le projet d’envergure « Atteinte de la cible zéro enfouissement par une plateforme de valorisation des résidus serricoles » dirigé par Philippe Constant, professeur à l’INRS. En développant des procédés de tri et de conditionnement des résidus et en combinant de multiples options de valorisation, ce projet repoussera les frontières actuelles limitant la valorisation des résidus serricoles. De multiples voies de valorisation des résidus seront examinées pour la première fois dans le cadre d’un projet intégré, mais nous avons besoin de votre collaboration pour adapter les voies de valorisation aux réalités du secteur serricole québécois. L’équipe de recherche vous invite à participer à une enquête pour identifier la nature et la quantité de résidus végétaux et de plastiques générés dans le cadre de vos opérations. Un portrait précis permettra de proposer des solutions concrètes pour que le secteur serricole atteigne la cible zéro enfouissement. Je vous invite à contacter Philippe Constant () qui prendra en charge l’enquête pour laquelle vous êtes invité.e à participer. Je vous remercie d’avance pour votre précieuse collaboration.   Lire la suite
Cultures maraîchères en serre, Avertissement No 1, 15 février 2024
15 février 2024
Dommages dans l’épinard à la suite de traitements insecticides avec du TROUNCE.   DOMMAGES DANS L’ÉPINARD À LA SUITE DE TRAITEMENTS INSECTICIDES AVEC DU TROUNCE Dans les derniers jours, deux producteurs se sont retrouvés avec des dommages s'apparentant à une phytotoxicité dans l’épinard à la suite d’un traitement insecticide contre les pucerons. Dans les deux cas, un traitement avec un produit contenant des sels de potassium d’acide gras et des pyréthrines (TROUNCE) a été effectué pour contrôler des populations de pucerons.   Pucerons sur des feuilles d’épinard  Geneviève Legault, agr. / Julie Marcoux, dta (MAPAQ) Pucerons sur des feuilles d’épinard  Geneviève Legault, agr. / Julie Marcoux, dta (MAPAQ)   Les conditions de culture chez les deux producteurs sont similaires : les épinards sont cultivés dans des serres minimalement chauffées et non chauffées. Dans le cas de la serre non chauffée, la culture est menée sous une couverture flottante de protection contre le froid de 40 g/m2, placée sur des arceaux.   Conditions de culture en serre non chauffée sous couvertures flottantes Geneviève Legault, agr. / Julie Marcoux, dta (MAPAQ) Conditions de culture en serre minimalement chauffée  Geneviève Legault, agr. / Julie Marcoux, dta (MAPAQ)   Les applications d'insecticides ont été effectuées à l’aide de pulvérisateurs dorsaux à la concentration recommandée (5 litres de concentré/100 litres d’eau) mais avec des quantités de solution insecticide différentes, c’est-à-dire que des volumes variant de 800 à plus de 3 000 litres de solution insecticide/hectare ont été appliqués. Sur l’étiquette du produit et pour les cultures basses, aucune information sur le volume de solution insecticide à appliquer n’apparaît, hormis de « vaporiser les nouvelles pousses, les tiges et le dessous des feuilles » et de « vaporiser la quantité nécessaire sur toute la surface des plantes ». Cependant, une indication pour l’utilisation Lire la suite
10 octobre 2023
Le nettoyage et la désinfection des serres
22 août 2023
Spécial phytoprotection bio
11 août 2023
Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) souhaite vous informer de la présence dans plusieurs régions du Québec de la maladie du mildiou (Phytophthora infestans), affectant les productions de pommes de terre et de tomates. Cette maladie très agressive peut causer des pertes économiques importantes pour les producteurs agricoles. Les structures qui permettent à cet organisme de se reproduire (spores) sont facilement transportées par le vent et peuvent parcourir plusieurs dizaines de kilomètres, propageant ainsi la maladie. Celle-ci se développe rapidement et les plantes atteintes peuvent être détruites en quelques jours. En raison de ce risque, le mildiou est donc l’affaire de tous. Sa présence doit obligatoirement être déclarée au MAPAQ si elle est détectée dans une zone de culture protégée (i.e. Bas-Saint-Laurent et Saguenay-Lac-Saint-Jean). Dans toutes les régions, c’est une maladie réglementée : des mesures doivent être prises pour éviter sa propagation et détruire les végétaux infectés. Le mildiou ne pose pas de risque pour la consommation humaine : les tubercules de pommes de terre et les tomates issus de plantes infectées peuvent être consommés sans danger. Toutefois, pour éviter la propagation de la maladie, les tubercules récoltés dans les jardins ne doivent pas être entreposés pour une longue période ou replantés l’année prochaine. Voici le document d’information du MAPAQ. Pour toute question à cet effet, nous vous invitons à communiquer avec votre direction régionale du MAPAQ. Lire la suite
Cultures maraîchères en serre, Avertissement No 3, 1er août 2023
01 août 2023
Plusieurs cas de mildiou répertoriés dans le concombre de serre et situation à surveiller dans le basilic et la tomate de serre.   CAS DE MILDIOU DÉTECTÉS ET CULTURES À SURVEILLER Les conditions climatiques des dernières semaines favorisent l’émergence de multiples maladies fongiques. Parmi les plus dévastatrices, on compte le mildiou. Même si le nom commun de la maladie est le même pour plusieurs cultures, c’est un champignon différent qui est responsable des dommages dans les différentes cultures. Plusieurs cas de mildiou du concombre ont été recensés dans les dernières semaines, autant en champs qu'en serre. Dans cette culture, c’est le champignon Pseudoperonospora cubensis qui en est la cause. C’est un parasite obligatoire qui n’affecte que les cucurbitacées et dont les premières attaques sont causées par des spores qui arrivent par les vents du sud. Il peut causer des pertes importantes en très peu de temps et se disperse facilement dans la serre par les courants d’air, l’eau, les insectes, les travailleurs et les outils. Une détection précoce et une intervention rapide est primordiale pour éviter des pertes de rendement importantes. Les symptômes débutent initialement par des taches jaunes et angulaires, qui deviennent brunes. Sur la face inférieure des feuilles, les taches sont brunes et se couvrent de sporanges, leur donnant une teinte brun-violacé. Les infections débutent toujours sur les vieilles feuilles et progressent vers les jeunes feuilles.   Mildiou sur la face inférieure d'une feuille de concombre Julie Marcoux (MAPAQ) Mildiou sur une feuille de concombre Julie Marcoux (MAPAQ) Pour contrer le mildiou, il faut maintenir la température élevée et l’humidité relative basse. La présence d’eau sur les feuilles durant plus de deux heures est essentielle pour que l’infection puisse avoir lieu. Il faut donc éviter l’arrosage par aspersion et la brumisation dans la journée et assurer une bonne aération entre les plants. Il est pratique courante Lire la suite
14 juin 2023
Virus du fruit rugueux brun de la tomate (ToBRFV) – Recommandations pour les producteurs en serre avec de courtes saisons de production
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Infolettre Légumes de serre

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