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Nouveau
16 juin 2025
MOISISSURE GRISE DANS LA TOMATE De nombreux cas de moisissure grise causés par le champignon Botrytis cinerea ont été rapportés dans les derniers jours par les dépisteurs du Réseau d’avertissements phytosanitaires consacrés aux cultures maraîchères et fruitières en serre. Les récentes conditions de faible luminosité combinées
avec de l’humidité extérieure élevée ont favorisé l’apparition des symptômes. Cette maladie est causée par un champignon qui s’attaque rarement aux tissus sains : il pénètre dans la plante, principalement en s’attaquant aux feuilles qui ont été affectées par de la brûlure marginale (figure 1) ou endommagées physiquement, ainsi qu’aux tiges en infiltrant des moignons laissés par l’effeuillage. Les symptômes visibles sur les feuilles sont des taches beiges à brun pâle, qui évoluent en taches zonées sur les folioles (figure 2A) ou en forme de « V » à partir de la marge des folioles (figure 2B). La maladie peut finir par ceinturer complètement la tige et mener à un flétrissement du plant (figure 2C). La maladie affecte la qualité des fruits en entraînant des taches dites fantômes (figure 2D) et en provoquant du pourrissement. Figure 1 : Foliole présentant de la brûlure marginale Isabelle Fréchette, agr. (MAPAQ) Figure 2 : Dommages causés par la moisissure grise Photo A : LEDP (MAPAQ) Photo B : Yveline Martin, agr. (MAPAQ) Photo C : Carlos Baez, agr. Photo D : LEDP (MAPAQ) Voici différentes stratégies pour prévenir ou limiter la propagation de la maladie : Avant tout, le plus important est de déshumidifier correctement la serre. Dans les serres chauffées, la stratégie recommandée consiste à effectuer des pulses de chauffage, combinés à une ouverture minimale des côtés, afin de favoriser le renouvellement de l’air. Il est également important d’assurer une ventilation adéquate durant la journée, en alternant des cycles simultanés de chauffage et de ventilation,
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25 novembre 2024
Mise en garde En date d’aujourd’hui il y a des questionnements en regard de la certification biologique et du traitement à l’hypochlorite de sodium (eau de Javel). En effet, bien que l’hypochlorite de sodium soit dans la liste des produits permis, il n’est pas clair si la concentration nécessaire pour le traitement des
semences est permise. Dans l’attente d’une réponse claire, nous vous recommandons de contacter votre certificateur avant de faire le traitement à l’eau de Javel. Le virus du fruit rugueux brun de la tomate (ToBRFV) a été détecté pour la première fois en 2014, en Israël. Depuis, le virus a été trouvé dans plusieurs pays d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Asie. Le ToBRFV peut considérablement réduire la productivité des cultures de tomate et la qualité marchande des fruits. Au Québec, sa présence a été confirmée pour la première fois en 2021, dans des serres de tomate. Le ToBRFV fait partie de la famille des Tobamovirus reconnus pour être hautement transmissibles par contact. Bien qu’inoffensif pour l'humain, il cause des pertes de rendement considérables sur les plants et les fruits. Même à l'extérieur de la plante-hôte, ce virus est persistant longtemps dans l'environnement, ce qui le rend difficile à éradiquer et a souvent pour conséquence la cession de la production de tomates sur un site, et ce, pour plusieurs années. Le virus peut se transmettre par les semences. Or il n’existe aucune certification, à ce jour, qui garantit l'absence de virus au niveau des lots de semences achetés. D'ailleurs, des chercheurs italiens ont détecté la présence du virus dans plusieurs lots testés de nombreux semenciers. Des études récentes ont démontré l'efficacité d'un trempage de semences, dans une solution d’hypochlorite de sodium (2,5 %), pour éradiquer le virus. Une solution d'eau de Javel aurait donc la capacité d'éradiquer le virus qui se trouve principalement à la surface du tégument. Les traitements à l'eau chaude, effectués pour contrer le chancre bactérien, autre
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06 septembre 2024
Le développement de projets de serres connait un essor sans précédent dans les régions nordiques du Québec (Société du Plan Nord 2021). Le projet de laboratoire nordique est né de la volonté de conduire des recherches qui viennent répondre aux enjeux auxquels les communautés nordiques sont confrontées dans la conception,
la mise en place et la pérennité de leurs initiatives agroalimentaires. Cette collaboration a débuté avec des projets d’élaboration ou de l’amélioration de projets de serre des communautés de Kuujjuaq, Radisson et Matagami avec des chercheuses et chercheurs du Centre d’innovation sociale en agriculture (CISA) du Cégep de Victoriaville et de l’École de technologie supérieure (ÉTS). Ces collaborations ont mené à la conception du projet de prototype de laboratoire nordique (avril 2022-mars 2024) coordonné par le CISA, en collaboration avec le Centre d’expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+) et l’ÉTS, ainsi qu’une vingtaine de partenaires dans les régions du Nord-du-Québec et de la Côte-Nord. Le projet a rapidement évolué vers deux directions complémentaires : • La première fut de soutenir des partenariats entre les organismes de recherche et de transfert technologique avec les organismes porteurs de projets agroalimentaires. Ces partenariats ont permis de renforcer les capacités locales par de l’accompagnement technique et organisationnel dans le domaine de l’agriculture. • La deuxième consistait à créer des opportunités de réseautage entre les différents acteurs impliqués dans les systèmes alimentaires des différentes régions nordiques du Québec afin de briser les silos et réduire l’impact les distances. Ces deux directions se rejoignent dans le présent rapport sous la forme d'une collection de fiches à destination des porteuses et porteurs de projets agroalimentaires actuels ou futurs, afin d’alimenter leur réflexion. Consultez et téléchargez le rapport complet Téléchargez la fiche synthèse du projet 2022-2024,
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