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06 novembre 2025
L'objectif principal de ce projet a été de développer une méthodologie de détection moléculaire rapide, fiable et sensible qui assure l’identification des virus des framboisiers et des fraisiers. Ce processus de détection et d’identification des virus (PDIV) combine les techniques de SHD à des outils d’analyses bio-informatiques pour aider le phytopathologiste à faire un diagnostic. Les techniques SHD peuvent être basées sur la plateforme NextSeq d’Illumina ou MinION d’ONT selon des considérations techniques, économiques et d’efficacité diagnostique. Les objectifs spécifiques du projet ont été de : ? Développer une collection d’échantillons de fraisiers et de framboisiers sains et virosés ainsi que de séquences génomiques de chaque virus ciblé; ? Comparer l’efficacité des méthodes diagnostiques ELISA et RT-PCR actuellement utilisées par le LEDP à celles d’un PDIV basé sur des techniques SHD. Ultimement, le PDIV conduira au développement d’un outil d’aide à la décision (OAD) pour le diagnosticien; ? Comparer les coûts d’implantation et d’utilisation des méthodes diagnostiques actuellement utilisées par le LEDP à ceux du PDIV + OAD; ? Former le personnel du LEDP et d'autres utilisateurs potentiels à l’emploi du PDIV, de sa base de données et de son interface conviviale, l’OAD. Lire la suite

Nouveau

06 novembre 2025
Ce projet a consisté à répondre à l’objectif principal qui vise à évaluer la capacité d’identifier par séquençage à haut débit (SHD) des organismes phytopathogènes bactériens et fongiques qui infectent des pommes de terre et des plantes en grandes cultures, et en cultures maraîchères.  En partenariat avec le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ (LEDP) et le Laboratoire de phytopathologie du CEROM, nous avons obtenu et traité des échantillons provenant de nos partenaires entre 2019 et 2022. Nous avons validé les protocoles d’extraction d’acides nucléiques nécessaires selon le type d’échantillon, développé les protocoles de séquençage haut débit sur plateforme MiSeq et MinION (Livrable L3). Au total cinq systèmes de détection ont été retenus pour l’évaluation sur MiSeq et deux systèmes sur MinION. Des tests additionnels ont également permis d’évaluer l’approche NanoMiSeq permettant de soumettre moins d’échantillons en même temps à la phase de séquençage. Cette approche sera plus adaptée au débit analytique du LEDP en saison estivale. Nous avons de plus évalué une approche de préparation de librairie en une seule étape qui permet de réduire les coûts d’opération reliés à l’analyse par SHD. Nous avons également développé un nouvel outil informatique permettant de créer des bases de références taxonomiques en regroupant des séquences de plusieurs bases de données de référence publiques et selon le système d’amplification utilisé pour le SHD. Cet outil (ASVMaker) a été publié dans la revue « Plants » (Annexe 2-4). La base de données taxonomiques de référence spécifiques produite avec cet outil s’intègre dans notre stratégie de double identification (application pour les données obtenues par MiSeq et NanoMiSeq) Nos résultats montrent un fort potentiel des approches SHD pour identifier les genres pathogéniques ciblés (Livrable L2). Pour certains d’entre eux (essentiellement des genres fongiques), il est possible d’identifier des Lire la suite

Nouveau

06 novembre 2025
L’industrie viticole québécoise connaît une forte expansion et adopte des cépages moins rustiques, ce qui entraîne de nouveaux défis, notamment la gestion des virus identifiés comme un facteur majeur limitant la production. Plus de 95 virus affectent la vigne, souvent de manière latente, rendant la détection précoce essentielle. Le projet visait à développer une méthode rapide et économique pour identifier l’ensemble du virome à l’aide de séquençage portable (Oxford Nanopore), comparée à Illumina Miseq. Les analyses (2019-2022) ont montré que l’extraction de dsRNA est plus efficace et moins coûteuse que l’ARN total. L’outil a été validé sur plusieurs cultures et transféré au LEDP avec protocoles simplifiés et formations. Les résultats ont révélé un virome très diversifié dans les vignes symptomatiques et asymptomatiques, avec apparition des symptômes surtout en automne, sans corrélation entre charge virale et symptômes, ce qui remet en question les méthodes classiques de diagnostic. La coinfection et la composition du virome de fond pourraient expliquer ces variations. Lire la suite

Nouveau

06 novembre 2025
Les maladies susceptibles de causer des dommages à la vigne sont causées par un large éventail d’organismes: phytoplasmes, virus, bactéries, levures, pseudochampignons et champignons. Ces organismes affectent les différents organes de la vigne soit les racines, bois, sarments, feuilles et baies. Les symptômes visuels varient selon les conditions météorologiques, l’état de santé de la vigne (stress, carence), l’âge des organes affectés et la population de l’agent pathogène (taille et diversité génétique). Le diagnostic de ces organismes et des maladies qu’ils causent est donc complexe d’autant que certains de ces organismes peuvent être dans un stade ‘latent’ sans causer de symptômes apparents ou être plusieurs à affecter simultanément la vigne. De plus, certains des champignons pathogènes se sont adaptés aux fongicides, adaptation généralement exprimée par des mutations dans leur génome. Les individus résistants présentent des phénotypes semblables ce qui rend le diagnostic visuel impossible. Par contre, il est possible de détecter les individus résistant à l’aide de tests moléculaires. C’est dans ce contexte que le projet a été réalisé et visait à développer des tests moléculaires qui permettent de détecter et d’identifier ces organismes ainsi que les mutations liées à la résistance aux fongicides. Les champignons ciblés sont les nouvelles espèces de Botrytis cinerea (pourriture de la grappe/moisissure grise), Elsinoë ampelina (anthracnose), Erysiphe necator (blanc), Guignardia bidwellii (pourriture noire), Phomopsis viticola (excoriose), les nouvelles sous–espèces de Plasmopara viticola riparia, P.v. aestivalis et P.v. vinifera (mildiou), Colletotrichum spp. (pourriture de maturité des baies), Greeneria uvicola (pourriture amère), Pilidiella diplodiella (rot blanc) et Pseudopezicula tracheiphila (rougeot parasitaire). Lire la suite

Mise à jour

06 novembre 2025
Cette revue de littérature se positionne dans un contexte où les fongicides chimiques, malgré les efforts pour en réduire l'usage, restent centraux dans les stratégies de protection des cultures. Le problème est amplifié par le retrait progressif des fongicides multisites (peu sujets aux résistances), ce qui accroît la pression sur les fongicides unisites, qui présentent un risque modéré à élevé de développement de résistance. La résistance aux fongicides n'est pas un phénomène nouveau. Dès la fin des années 1960, des cas ont été signalés, mais ils ont été largement sous-estimés car ils étaient apparus après des décennies d'utilisation. La donne a changé à partir des années 1970, où les cas de résistance sont devenus plus fréquents et beaucoup plus rapides à apparaître après la commercialisation des produits. L'exemple le plus frappant est celui du bénomyl, pour lequel une résistance est apparue après seulement deux ans d'utilisation, un phénomène qui s'est répété pour d'autres familles de fongicides. L'objectif de cette revue n'est pas de répéter ce qui est déjà bien documenté dans des ouvrages de référence existants. Son ambition est de synthétiser et de discuter l'état actuel des connaissances sur la résistance aux fongicides pour en faire une ressource accessible et informative, destinée prioritairement aux conseillers, agronomes et producteurs sur le terrain. En résumé, cette revue de littérature vise à fournir une synthèse pratique et actuelle sur le défi urgent de la résistance aux fongicides, en s'adressant directement aux acteurs du monde agricole qui doivent y faire face. Lire la suite

Évènements en vedette

  
Formation sur l'analyse de coût de revient - Ste-Marie & en ligne 11h15 de formation continue accréditée par l'OAQ
Le vendredi 28 novembre 2025

Pour entreprises et intervenants (gestion, financement, commercialisation, transformation) qui souhaitent calculer ou analyser les coûts de revient, pour des productions végétales ou animales, des secteurs agricoles et agroalimentaires DURÉE 2 jours 30 octobre et 5 novembre 2025 11h de formation continue reconnues par l'Ordre des agronomes du Québec OBJECTIFS · Rendre l’analyse de coût de revient plus accessible pour les entreprises agricoles et agroalimentaires. · Développer une expertise en matière de calcul de coût de revient et dans l’utilisation de l’Agro-calculateur. · Favoriser l’autonomie et le développement des conseillers-conseillères de première ligne dans le calcul des coûts de revient par l’accompagnement en mentorat. · Permettre aux conseillers d’offrir le service à leur clientèle agricole et agroalimentaire · Permettre aux intervenants de mieux utiliser et/ou de recommander des analyses de coût de revient. FORMATEURS Anne Le Mat, agr. MBA Anne Le Mat est une agroéconomiste, diplômée de l'Institut National Agronomique Paris-Grignon en 1997 en agriculture comparée et en développement agricole. Après plus de 10 ans à l'international, elle a complété sa formation par un MBA de l'Université de Sherbrooke, où elle a gradué en 2011. Elle travaille au sein du CETAB+ depuis 2014 avec trois champs d'activités complémentaires : le service-conseil en gestion, l'évaluation économique dans les projets de recherche et la diffusion des connaissances relatives à l'économie et à la rentabilité pour l'agriculture biologique et de proximité. Lors des formations et des conférences, elle s'assure de rendre claires et accessibles les informations et les méthodes qui vous seront utiles en lien avec vos projets et votre gestion. Martin Auger, agr. Martin Auger possède plus de 30 années d'expérience en calcul de coût de revient auprès des entreprises agro-alimentaires du Québec. Il a accompagné au fil de ces années près de 300 entreprises agro-alimentaires pour le calcul de leurs Lire la suite

Du mercredi 03 au vendredi 12 décembre 2025

Transformation artisanale de fruits (beurres, gelées, sirops, déshydratation) Maîtrisez les procédés artisanaux de transformation des fruits en gelées, beurres et sirops. Formation hybride avec laboratoires, analyses qualité et bonnes pratiques de fabrication.     Durée : 17 h   Formule : Hybride (en ligne et en présence) Théorie en ligne : 3 décembre de 9 h à 12 h Laboratoire au choix : La Pocatière (11-12 décembre 8 h 30 à 16 h 30) ou Saint-Hyacinthe (4-5 décembre 8 h 30 à 16 h 30) Date limite d'inscription: 26 novembre 2025   Nombre de places : 16 Consultez les dates disponibles   Avec le soutien financier du    POURQUOI SUIVRE CETTE FORMATION? Cette formation vous permet de développer une expertise concrète dans la fabrication de produits fruitiers transformés et dans la valorisation des surplus agricoles. Elle s'inscrit également dans une démarche de valorisation des surplus de production, en offrant une solution concrète et rentable pour transformer des excédents de fruits en produits à forte valeur ajoutée. Vous apprendrez à appliquer les bonnes pratiques de fabrication, à effectuer des analyses de qualité et à maîtriser les procédés artisanaux. Cette formation répond à une demande croissante pour des produits locaux, authentiques et bien maîtrisés, tant dans les marchés de niche que dans les circuits courts. Elle s’adresse aux artisans, transformateurs et passionnés souhaitant professionnaliser leur production. COMPÉTENCES ET SAVOIRS-FAIRE DÉVELOPPÉS Distinguer les différentes transformations possibles avec les fruits. Appliquer les bonnes pratiques de fabrication artisanale. Contrôler la qualité des matières premières et des produits finis. Réaliser des analyses physico-chimiques et organoleptiques. Utiliser adéquatement les équipements de laboratoire. Planifier et exécuter les étapes de fabrication de gelées, beurres et sirops. Interpréter les résultats et ajuster les procédés en conséquence. Identifier Lire la suite

Infolettre Petits fruits

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