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56 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Fiers de diffuser leur expertise
16 février 2024
Le cas du maïs sucré – En 2016, le ver-gris occidental du haricot (VGOH), Striacosta albicosta, a fait son apparition dans les champs de maïs sucré au Québec, tandis que la pyrale du maïs (PM), Ostrinia nubilalis, exerce une pression moindre depuis plusieurs années. Cette situation soulève des questions concernant l’évolution
des populations de lépidoptères ravageurs du maïs sucré et suscite la nécessité d’adapter les stratégies d’intervention. Pour répondre à ces questionnements, l’IRDA a mis sur pieds en 2020 le projet : « Dynamique des populations des ravageurs lépidoptères du maïs sucré et recommandations d’adaptations des stratégies de lutte ».
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27 juillet 2023
La tordeuse des canneberges, Rhopobota naevana (Hübner) (Lepidoptera : Tortricidae), est un ravageur majeur de la culture de la canneberge. Les dommages engendrés par cet insecte peuvent causer jusqu'à 95% de perte de rendements. Actuellement, le seul moyen de limiter les dommages est l’application d’insecticides de synthèse
ou de bio-insecticides. Les parasitoïdes oophages du genre Trichogramma (Hymenoptera : Trichogrammatidae), largement utilisés comme agents de lutte biologique contre différentes espèces de lépidoptères, pourraient toutefois représenter une méthode alternative pour lutter contre R. naevana. Un récent projet suggérait que Trichogramma minutum Riley pourrait représenter une espèce prometteuse pour lutter contre ce ravageur. Cependant, en raison de caractéristiques propres à la culture, les lâchers de trichogrammes à l’aide de trichocartes ne sont pas envisageables. L’objectif du projet était donc de développer, optimiser et évaluer l’efficacité de méthodes de lâchers inondatifs et mécanisés de trichogrammes pour lutter la tordeuse des canneberges.
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31 octobre 2022
Les producteurs de pommes appliquent annuellement des traitements fongicides pour réprimer la tavelure du pommier causée par le champignon Venturia inaequalis. Ces traitements doivent être renouvelés régulièrement selon les risques d’infection, l’apparition de nouvelles feuilles et le lessivage par la pluie. La fréquence
des traitements recommandée est surtout basée sur des critères empiriques qui varient largement selon les experts. L’objectif de notre projet était d’établir l’impact combiné de la sortie des nouvelles feuilles et de la pluie sur l’efficacité´ de différents fongicides pour mieux cerner la durée d’efficacité´ des traitements. En 2018 et en 2019, nous avons mené 23 expériences de lessivage au cours de pluies naturelles (13) et simulées (10). Les résultats pour les 10 molécules testées montrent que la croissance du nouveau feuillage est déterminante pour l’efficacité des traitements et que la perte d’efficacité liée au lessivage a moins d’impact. Les pluies naturelles d’intensité faible (< 2 mm/h) permettent une légère redistribution de la bouillie sur les feuilles partiellement protégées lors du traitement. Cependant, cet effet est assez mineur et n’était pas visible pour les pluies de plus de 15 mm. Seuls le Captan et l’Allegro étaient redistribués par les pluies artificielles de 4 mm/h. En considérant que la croissance d’une nouvelle feuille correspond à une perte d’efficacité de 40 %, le projet a permis d’établir un seuil de renouvellement des traitements qui tient compte à la fois de la croissance et du lessivage. Des ajustements quant à la fréquence des traitements sont possibles en fonction des produits utilisés et de leur dose d’emploi. Les résultats de ce projet nous permettront dorénavant de minimiser les incertitudes dans les recommandations et optimiser le nombre de traitements.
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31 octobre 2022
Les producteurs de pommes appliquent annuellement des traitements fongicides pour réprimer la tavelure du pommier causée par le champignon Venturia inaequalis. Ces traitements doivent être renouvelés régulièrement selon les risques d’infection, l’apparition de nouvelles feuilles et le lessivage par la pluie. La fréquence
des traitements recommandée est surtout basée sur des critères empiriques qui varient largement selon les experts. L’objectif de notre projet était d’établir l’impact combiné de la sortie des nouvelles feuilles et de la pluie sur l’efficacité´ de différents fongicides pour mieux cerner la durée d’efficacité´ des traitements. En 2018 et en 2019, nous avons mené 23 expériences de lessivage au cours de pluies naturelles (13) et simulées (10). Les résultats pour les 10 molécules testées montrent que la croissance du nouveau feuillage est déterminante pour l’efficacité des traitements et que la perte d’efficacité liée au lessivage a moins d’impact. Les pluies naturelles d’intensité faible (< 2 mm/h) permettent une légère redistribution de la bouillie sur les feuilles partiellement protégées lors du traitement. Cependant, cet effet est assez mineur et n’était pas visible pour les pluies de plus de 15 mm. Seuls le Captan et l’Allegro étaient redistribués par les pluies artificielles de 4 mm/h. En considérant que la croissance d’une nouvelle feuille correspond à une perte d’efficacité de 40 %, le projet a permis d’établir un seuil de renouvellement des traitements qui tient compte à la fois de la croissance et du lessivage. Des ajustements quant à la fréquence des traitements sont possibles en fonction des produits utilisés et de leur dose d’emploi. Les résultats de ce projet nous permettront dorénavant de minimiser les incertitudes dans les recommandations et optimiser le nombre de traitements.
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19 octobre 2022
Cette affiche présente en un coup d'œil plusieurs informations utiles en PFI concernant les traitements phytosanitaires pour le framboisier. Vous y retrouverez : Le nom commercial des produits, la matière active et le groupe de pesticide L'efficacité des fongicides, insecticides et acaricides sur les principaux ravageurs
et maladies Les cotes de toxicité sur les ennemis naturels Les délais de rentrée (DRE) Les délais avant récolte (DRA) Les indices de risque pour la santé et pour l’environnement (IRS et IRE) Les produits qu’il est possible d’utiliser en régie biologique
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19 octobre 2022
Cette affiche présente en un coup d'œil plusieurs informations utiles en PFI concernant les traitements phytosanitaires pour le fraisier. Vous y retrouverez : Le nom commercial des produits, la matière active et le groupe de pesticide L'efficacité des fongicides, insecticides et acaricides sur les principaux ravageurs et
maladies Les cotes de toxicité sur les ennemis naturels Les délais de rentrée (DRE) Les délais avant récolte (DRA) Les indices de risque pour la santé et pour l’environnement (IRS et IRE) Les produits qu’il est possible d’utiliser en régie biologique
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14 septembre 2022
Le document est la dernière version mise à jour et augmentée du guide des cultures de CIPRA et il inclut les informations de tous les modèles implantés depuis la version 2018. CIPRA est un logiciel convivial qui permet de visualiser les prévisions d’attaque d’insectes ou de maladies, l’incidence de désordres physiologiques
de même que la phénologie de certaines plantes cultivées. En utilisant des modèles mathématiques alimentés par les données météorologiques en temps réel, le CIPRA génère des graphiques permettant d’évaluer d’un coup d’œil les indices de risques de certaines maladies, le développement de populations d’insectes et la croissance de cultures spécifiques. Ce document est également disponible sur le site des publications d'Agriculture et Agroalimentaire Canada, en anglais et en français (Publications du gouvernement du Canada - Canada.ca).
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12 juillet 2022
Le charançon de la prune, Conotrachelus nenuphar (Hbst.) (Coleoptera: Curculionidae), est un insecte prédominant en pomiculture. C'est un insecte qui n'a actuellement pas de méthode de lutte efficace en agriculture biologique et qui peut causer plus de 50% de dommages en quelques années. Les insecticides couramment utilisés
en régie conventionnelle font partie de la famille de néonicotinoïdes et des organophosphorés et seront très prochainement restreints ou interdits d'utilisation. Le Kaolin est le principal produit phytosanitaire utilisé en régie biologique contre le charançon, il forme une barrière physique qui dissuade l'insecte à pondre ou de se nourrir sur les fruits. La lutte au charançon sans insecticide est à souhaiter pour diminuer les effets négatifs sur l'environnement et la santé humaine. Dans cet essai, nous voulions tester une méthode de lutte physique qui briserait le cycle biologique du charançon par la destruction des larves lorsque celles-ci sont dans les pommes au sol (suite à la chute physiologique des pommes (June drop)). La destruction des pommettes au début juillet vise à tuer les larves avant qu'elles entrent dans le sol et qu'elles deviennent des pupes. La cueillette des pommes tombées est une pratique efficace prônée pour diminuer le nombre d'insectes, mais elle demande beaucoup de temps et est onéreuse. Pour ce faire, nous avons utilisé le prototype EliminaeMD qui a été mis sur pied au Québec et qui a été adapté pour le travail en vergers.
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28 juin 2022
Traduction au français d'une affiche présenté lors de la 74ème réunion annuelle de la Société canadienne de malherbologie. Gatineau, Qc. 23-27 novembre 2020. L’amarante tuberculée est une mauvaise herbe d’importance économique, présente au Québec depuis 2017. La plupart des populations de la province sont détectées
tard dans la saison, lorsque la lutte chimique ou mécanique n'est plus une option. Afin de minimiser l'augmentation de la banque de graines, le désherbage manuel a été la méthode de contrôle la plus courante, du moins pendant la première année de la découverte. Cependant, l'élimination des résidus est problématique : si elles sont laissées dans le champ, les plantes sont capables de se réenraciner et de produire des graines viables, bien qu'en petites quantités et le brûlage des plantes désherbées n'est pas possible en raison des lois provinciales. Nos recherches préliminaires ont montré que l’amarante tuberculée de grande taille peut survivre plusieurs semaines à l'intérieur de sacs à ordures et continuer à produire des graines viables. La présente étude a testé les deux options restantes : la solarisation et l'enfouissement. La solarisation consiste à collecter les résidus dans des sacs poubelles et à les exposer au soleil pendant plusieurs semaines avant de les jeter. Nous avons testé le temps (2, 4, 6 ou 8 semaines) qu'il faudrait pour tuer efficacement l’amarante tuberculée (graines, petites plantes et plantes adultes) par solarisation et enfouissement. L'effet de la profondeur d'enfouissement a également été examiné à 0, 5, 10, 15 et 20 cm. Nos résultats montrent que la solarisation jusqu'à 8 semaines n'est pas une méthode efficace pour lutter contre l’amarante tuberculée : les petites plantes et les tiges restent capables de se réenraciner ; les graines étaient capables de germer à l'intérieur des sacs poubelles. De plus, le taux de germination était plus élevé pour les graines solarisées que pour le traitement non solarisé. Les plantes enterrées
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