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Grandes cultures, Avertissement No 3, 14 mai 2021

Réseau d'avertissements phytosanitaires Avertissement - Grandes cultures
VER-GRIS MOISSONNEUR signalé dans Charlevoix : dépistage recommandé dans les zones qui ont été touchées en 2020. PERTINENCE DE L’UTILISATION DE FONGICIDES POUR PROTÉGER LE FEUILLAGE DES CÉRÉALES. Pics d’activité des adultes de la MOUCHE DES SEMIS. TIPULE DES PRAIRIES : des dommages pourraient être observés.
  
PRÉSENCE DU VER-GRIS MOISSONNEUR DANS CHARLEVOIX : DÉPISTAGE RECOMMANDÉ DANS LES ZONES TOUCHÉES PAR LE RAVAGEUR L’ANNÉE PASSÉE

Des larves de ver-gris moissonneur (VGM) ont été signalées dans les derniers jours dans un champ de luzerne et quelques champs de légumes dans la région de Charlevoix. En 2020, plusieurs champs de grandes cultures (prairies, avoine-pois, céréales) ont été infestés par des larves de VGM. Le premier cas avait été rapporté au RAP à la mi-juin à Saint-Jean-Port-Joli en Chaudière-Appalaches. Un peu plus tard, des cas ont été rapportés dans la municipalité voisine de Sainte-Louise. Plusieurs champs de la région de Charlevoix et dans plusieurs secteurs (surtout ouest) du Bas-Saint-Laurent (La Pocatière, Saint-Denis, Kamouraska, Saint-Pascal, Rivière-du-Loup, Saint-Arsène, Saint-Hubert et Saint-Germain) ont également été affectés par le ravageur. Certaines cultures ont été complètement détruites par l'insecte. Il est possible que les papillons aient pondu dans les champs des zones affectées à l’automne passé et que les œufs aient survécu en raison de l’hiver doux et du printemps sec. La survie de larves au printemps pourrait aussi être affectée par la présence ou non d’ennemis naturels.
 
Les vers-gris moissonneurs s'alimentent de feuilles et de tiges en débutant par la partie la plus haute des plantes. Il est possible d’observer des larves plus matures qui coupent les plants à partir du sol. Les larves ne s’attaquent pas aux parties souterraines des plantes.
 
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Photo 1 : Dommages foliaires causés par le ver-gris moissonneur

Source : S. Brousseau-Trudel (MAPAQ)

 

Un dépistage est recommandé dans les champs attractifs pour le VGM tels que les prairies, en particulier celles contenant des légumineuses comme la luzerne et le trèfle, et les champs de céréales, notamment dans les zones touchées en 2020. De fortes populations peuvent décimer un champ en l'espace de quelques jours.


Méthode de dépistage
Le dépistage des champs se fait tôt le matin ou en fin de journée, car les larves sont actives pendant la nuit. L’objectif est d’observer la présence de symptômes (grignotement, brèches dans les feuilles) et de trouver des larves afin de déterminer leur taille moyenne. Les zones du champ plus sableuses et les endroits qui sont ou qui ont été infestés de mauvaises herbes depuis l’automne dernier devraient être dépistés en premier. Creuser au pied des plants grignotés est un bon moyen pour trouver les larves qui se cachent dans le sol le jour. Les larves se trouvent dans les 5 premiers centimètres de profondeur.  
 
Il est aussi important d’identifier ou faire identifier les larves. Le VGM ne produit qu’une génération par année, alors que d’autres vers gris peuvent en produire deux ou trois. La gestion du problème peut donc être différente avec une autre espèce. La fiche d'IRIIS phytoprotection sur le VGM peut vous aider à identifier l’insecte. Également, le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ offre un service d’identification.
 
Image Agri-Réseau

Chenilles du ver-gris moissonneur

Source : Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (MAPAQ)



Seuils d’intervention
Il n’y a pas de seuil d’intervention établi pour les grandes cultures au Québec. Voici ceux recommandés dans les Prairies canadiennes :
  • Luzerne :  37-44 chenilles/m2
  • Céréales et oléagineux : 5 à 6 chenilles/m2
  • Pois : 2 à 3 chenilles/m2
  • Haricots secs et soya : 1 chenille de moins de 2 cm sur 1 m linéaire/rang ou 20 % de plants coupés

Pour évaluer la densité des larves au champ, il est possible de dépister de 5 à 10 sections situées au pourtour de zones dénudées couvrant chacune une superficie de 50 cm x 50 cm (19,7 po x 19,7 po). Les stations doivent être distancées d’environ 50 mètres les unes des autres. Pour déterminer le nombre de larves par mètre carré, il suffit de multiplier par 4 le nombre total de larves dénombrées dans tout le champ puis de diviser par le nombre de sections dépistées.


Méthodes de lutte
Si un champ est complètement détruit, un resemis peut être nécessaire, mais il est recommandé d’attendre entre 10 et 14 jours entre le moment où vous détruisez la culture et l’implantation de la nouvelle culture pour priver les larves présentes au champ de nourriture. Si vous pouvez retarder le semis d’un champ infesté, une gestion des mauvaises herbes deux semaines avant le semis est recommandée.
  
Dans les cas d’infestations dans des prairies, la stratégie pourrait être de devancer la fauche et limiter les pertes de rendement occasionnées par les larves. Dans le fourrage récolté, il serait possible de retrouver des larves. Toutefois, les modes de conservation (foin sec ou ensilage) vont rapidement tuer ces dernières. De plus, l’impact de la présence de larves sur l’alimentation du bétail n’est pas à craindre. Il est suggéré de visiter à nouveau les prairies lorsque le regain a commencé sa croissance, et ce, pour évaluer les populations de larves et s’assurer que les larves demeurées au champ n’occasionnent pas des dommages à nouveau.
 
Un insecticide homologué pour la culture ciblée peut être appliqué, idéalement lorsque les larves sont actives et s’alimentent, c’est-à-dire du soir au matin. Il est aussi possible d’opter pour des traitements localisés au niveau des zones endommagées et le pourtour de ces zones. Consultez le site Web SAgE pesticides pour connaître les produits homologués selon les cultures. Si un traitement est justifié, ce dernier doit être réalisé avant que la taille moyenne des larves n’atteigne 2,5 cm. Au-delà de cette taille, le traitement n’est plus efficace.
 
Selon le guide Vers-gris ravageurs des cultures dans les Prairies canadiennes : Guide d'identification et mesures de lutte applicables, les études réalisées jusqu’à maintenant ne permettent pas de cibler une pratique de travail de sol comme méthode de lutte.
 
Le Centre de recherche sur les grains (CÉROM) conduit un projet sur les ennemis naturels du VGM. Si vous trouvez des larves de cette espèce, vous êtes invité à contacter votre responsable régional RAP Grandes cultures du MAPAQ pour en savoir plus.
 
MALADIES DES CÉRÉALES : AUCUN CAS DE ROUILLE JAUNE RAPPORTÉ JUSQU'À MAINTENANT, SEULEMENT QUELQUES CAS D'OÏDIUM
Groupe de travail du RAP sur les maladies des grandes cultures
 

La décision d’utiliser des fongicides pour protéger le feuillage du blé devrait être basée sur un suivi au champ. Si aucune ou peu de taches foliaires sont observées, un traitement hâtif entraînera non seulement des pertes économiques, mais également des risques inutiles pour la santé humaine et pour l’environnement. De plus, considérez que la durée d’efficacité des fongicides foliaires est limitée à 2-3 semaines.
 
En ce moment, ce sont surtout la rouille jaune et l’oïdium qui doivent être surveillés dans les champs de céréales. Jusqu’à maintenant, aucune observation de rouille n’a été rapportée. Deux champs de blé d’automne affectés par l’oïdium ont été signalés en Montérégie-Est. Ces champs seront suivis dans les prochains jours, mais le niveau actuel d’infection dans ces champs ne requiert pas de traitement.


Rouille jaune
L’absence de la maladie a été vérifiée dans les parcelles de blé du CÉROM à Saint-Mathieu-de-Beloeil (Montérégie), chez le semencier Semican situé à Princeville (Centre-du-Québec), dans les parcelles de recherche de l’IRDA à Saint-Lambert-de-Lauzon (Chaudière-Appalaches) et dans les parcelles de blé d’automne de l’Université Laval à Saint-Augustin (Québec).
 
À partir du moment où la rouille jaune est détectée dans un champ, la fréquence de dépistage devrait être soutenue, au moins deux fois par semaine, afin de pouvoir intervenir rapidement si le seuil d’intervention est atteint.

Pour en savoir plus, veuillez consulter le bulletin d’information Nº 2 du 12 juin 2018 sur la rouille jaune.


Oïdium (blanc)
De l’oïdium (blanc) a été observé dans quelques champs de blé d’automne en Montérégie-Est (deux champs rapportés).
 
Cette maladie se caractérise par l’apparition de colonies blanc grisâtre (voir les photos 2 et 3) sur toutes les surfaces de la plante, mais les colonies sont plus apparentes sur les surfaces des feuilles du bas dirigées vers les tiges.
 
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Photo 2 : Oïdium

Source : Ciara Beard (Government of Western Australia)

 
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Photo 3 : Mycélium blanc et cléistothèces noirs sur feuilles d'orge

Source : Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (MAPAQ) (IRIIS phytoprotection)

 

L’oïdium se développe au mieux dans des conditions fraîches et humides, soit à une humidité supérieure à 85 % (minimum 50 %) et à des températures entre 15 et 22 °C. Un couvert très dense, refermé, qui maintient l’humidité peut favoriser le développement de la maladie même en l’absence de précipitations. Par ailleurs, au-delà de 25 ºC, la maladie est fortement ralentie et l’infection n’a généralement pas le temps de progresser suffisamment pour être une menace pour la culture.
 
Il faut donc suivre les températures journalières annoncées. Si des symptômes sont observés, il est important de s’assurer que les deux ou trois feuilles du haut des plants ne se sont pas atteintes par la maladie. C’est lorsque les feuilles du haut sont atteintes que la culture peut subir une perte de rendement. Une infestation hâtive et sévère peut même entraîner des plants rabougris et qui n’épieront pas. Les champs semés tôt et les champs de céréales d’automne sont donc plus à risque.
 
Lorsque les températures sont favorables à la maladie (en bas de 22 °C), visitez régulièrement les champs afin de la détecter. À partir du moment où l'on observe des taches sur les feuilles du bas, il est recommandé de dépister le champ deux fois par semaine puisque la maladie complète son cycle en 7 à 10 jours. Si jamais la maladie progresse dans le champ, voici quelques éléments à considérer :
  • Utiliser des cultivars résistants à la maladie : référez-vous au Guide RGCQ.
  • Éviter les excès de fertilisation : un apport trop important en azote favorise la propagation de la maladie.
  • Si le cultivar est sensible, que les symptômes progressent et que le potentiel de rendement est élevé, un traitement pourrait être envisagé, mais attention :
    • Certains fongicides ne peuvent être employés qu’une fois par saison. Il est important de lire les étiquettes des produits pour connaître les restrictions d’usage, dont l’intervalle minimum entre les applications de différents produits, si jamais un traitement contre la fusariose de l’épi serait aussi nécessaire.
  • Après l’émergence de la feuille étendard, il est recommandé de ne pas appliquer de fongicides à base de strobilurine (sauf TWINLINE qui est homologué pour lutter contre la fusariose), car ils peuvent augmenter le niveau de mycotoxines chez les céréales.

Cliquez sur les liens suivants pour accéder aux listes des fongicides homologués pour lutter contre l’oïdium dans le blé d’automne, le blé de printemps et l’orge.

Cliquez sur les liens suivants pour accéder aux listes des fongicides qui sont homologués pour lutter à la fois contre l’oïdium ET la fusariose dans le blé d’automne, le blé de printemps et l’orge.
 
Vous êtes invité à partager vos éventuelles observations d’oïdium ou de rouille jaune avec Isabelle Fréchette par courriel à [email protected] ou par téléphone au 450 464-2715, poste 242.
 
PICS D’ACTIVITÉ 2021 DES ADULTES DE LA MOUCHE DES SEMIS
Groupe de travail du RAP sur les ravageurs des semis
 

Les larves de la mouche des semis se nourrissent des grains de soya et de maïs pendant la germination. Elles s’attaquent aussi aux racines et aux plantules des cultures. Une forte mortalité des plantules, des manques à la levée ou des retards dans la levée peuvent être des signes de la présence de ce ravageur. Au Québec, selon les normales de saison, le pic d’activité de la mouche arrive plutôt vers la fin de la période des semis et peu de champs sont affectés par cet insecte. Par contre, lorsqu’un champ est très infesté, les pertes peuvent être considérables.
 
Le printemps plus doux en 2021 a causé un devancement de la période d’activité de la mouche des semis de 10 jours en moyenne. D’après le modèle du CÉROM, le pic d’activité maximal des adultes la mouche des semis est dépassé pour la Montérégie (9 au 11 mai). L’activité serait à son maximum dans Lanaudière et au Centre-du-Québec (11 au 15 mai) ainsi qu’en Estrie et dans l’Outaouais (13 au 18 mai). Le pic d’activité prévisionnel pour les autres régions se situerait après le 20 mai. Pour connaître les dates du pic d’activité de la mouche des semis pour les différentes régions du Québec, cliquer ici.


Principaux facteurs de risque
Il est important de connaître les facteurs de risque favorisant la mouche des semis afin de mettre en place des moyens préventifs et de lutte dans les champs les plus à risque.
  • Amendements organiques :
    • L’épandage de fumiers ou de lisiers ainsi que l’incorporation de cultures de couverture ou toute autre matière végétale fraîche, au printemps près de la date de semis, présentent un risque.
    • Notez que le fumier de poulet appliqué deux semaines ou moins avant le semis est particulièrement attractif, tandis que les autres fumiers solides sont attractifs s’ils sont appliqués deux jours ou moins avant le semis.
  • Travail de sol : Les champs fraîchement labourés, humides et riches en matière organique sont plus à risque que des champs sans travail de sol. Les champs sans travail de sol où seuls des résidus de soya ou de maïs sont présents ne semblent pas problématiques.
  • Conditions défavorables à la levée : Les semis précoces dans des conditions qui retardent la levée (froides et humides) ou des semis dans des sols lourds qui retiennent l’humidité ralentissent la germination et l’émergence des plantes. Les semences sont exposées plus longtemps à la mouche des semis.
  • Semis dans la période de pic d’activité de la mouche des semis : Un semis durant cette période, en présence des facteurs de risque listés plus haut, serait plus à risque de présenter des dommages par la mouche des semis. Ceci synchronise l’émergence des larves avec le stade de vulnérabilité de la culture (germination et levée). La mouche des semis a moins d’impact sur la culture une fois la levée terminée, notamment lorsque la plantule n’a plus besoin du grain pour se développer.

Prévention et méthodes de lutte
Lorsque des dommages sont observés, il est trop tard pour intervenir contre la mouche des semis. Cependant, il est nécessaire de réaliser un diagnostic et une évaluation des dommages pour déterminer s’ils sont bien causés par ce ravageur. En cas de dommages d’importance économique liés à la mouche des semis, des stratégies préventives devront être envisagées lors du prochain semis d’une culture sensible.
  • Amendements organiques et résidus végétaux : Si des engrais verts ou des fumiers sont incorporés au printemps, il est préférable d’attendre au moins deux semaines avant de semer.
  • Conditions favorisant la levée :
    • Éviter les semis hâtifs en conditions fraîches et humides qui retardent la levée.
    • Semer à une profondeur optimale, en fonction du type de sol et de l’humidité, afin de favoriser une levée rapide.
    • Bien refermer le sillon du semis pour assurer un bon contact entre le sol et la semence.
    • Augmenter la dose de semis dans les champs à risque permet, jusqu’à un certain point, de compenser des pertes potentielles.
  • Travail de sol :
    • Les dommages causés par la mouche des semis se produisent rarement dans les champs en semis direct.
  • Date de semis :
    • Éviter de semer les champs présentant des facteurs de risque lors du pic d’activité de la mouche des semis. Si un semis doit être fait pendant le pic, il est important de mettre en place les différents moyens énumérés plus haut. 
  • Traitement de semences insecticide :

Finalement, des dommages pourraient être observés environ deux semaines après les pics prévisionnels. Une attention particulière devra être portée à la levée dans les champs présentant des facteurs de risque. Si des dommages en lien avec la mouche des semis sont observés dans vos champs, vous pouvez rapporter ces cas en contactant le responsable régional RAP Grandes cultures du MAPAQ de votre région. Des dépistages pourraient être réalisés dans le cadre d’un projet de recherche sur le ravageur.
 
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Mouche des semis adulte

Source : Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (MAPAQ)

Image Agri-Réseau

Larves de mouche des semis

Source : S. Boquel (CÉROM)


Liens utiles  

TIPULE DES PRAIRIES : DES DOMMAGES POURRAIENT ÊTRE VISIBLES
  
Les champs infestés par la tipule des prairies présentent de larges zones jaunies ou dénudées. Afin de répertorier la présence de la tipule des prairies et des dommages aux grandes cultures dans toutes les régions du Québec, le RAP Grandes cultures invite toutes les entreprises agricoles et leurs conseillers à signaler la présence de l’insecte ou de dommages en faisant parvenir la fiche de signalement remplie à [email protected]
 
Vous êtes invité à communiquer avec votre responsable régional RAP Grandes cultures du MAPAQ afin de faire confirmer l'identification du problème. Sous certaines conditions, il pourrait être possible d’envoyer des échantillons au CÉROM pour compléter le diagnostic (à discuter avec le responsable régional).
 
Pour obtenir plus de renseignements sur ce ravageur, vous pouvez consulter les publications suivantes :
  • La tipule des prairies : biologie, identification et stratégie d’intervention. Fiche technique Tipule des prairies du RAP Grandes cultures.
  • Comment distinguer la larve de la tipule des prairies Tipula paludosa (Diptera : Tipulidae) d’une larve de vers gris (Lepidoptera : Noctuidae). Fiche d’information. 2008. Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ. Disponible en ligne.
 
Toute intervention de contrôle d’un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique, physique et chimique). Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) préconise la gestion intégrée des ennemis des cultures et la réduction des risques associés à l’utilisation des pesticides.


 
Cet avertissement a été révisé par Pierre-Antoine Thériault, agronome (MAPAQ). Pour des renseignements complémentaires, vous pouvez contacter l’avertisseure du réseau Grandes cultures ou le secrétariat du RAP. La reproduction de ce document ou de l’une de ses parties est autorisée à condition d'en mentionner la source. Toute utilisation à des fins commerciales ou publicitaires est cependant strictement interdite.
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Organisation : Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
Auteur(s) : RAP - Réseau Grandes cultures
Date de publication : 14 mai 2021
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