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Fiers de diffuser leur expertise

Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)

Mise à jour

23 juillet 2024
Voici un guide pratique de solutions envisageables par les propriétaires pour contrer les effets de la déprédation causés par les cerfs de virginie. Une population trop élevée de cerfs entraîne une augmentation des dommages aux activités agricoles et forestières de la région (culture de pommes, de vigne, de framboises, de fraises, de luzerne, de maïs, de trèfle, d’arbres de Noël, de feuillus, etc.). De tels problèmes de broutage excessif s’étendent même jusqu’à l’horticulture ornementale. La densité élevée de cerfs entraîne également une hausse des accidents routiers impliquant des collisions avec ces animaux. Ce document technique vous permettra de mieux connaître les outils disponibles (répulsifs, clôtures, protection individuelle, chiens, chasse, etc.) afin de diminuer les dommages causés par le cerf de Virginie en agriculture. Ce guide a été réalisé par un comité de spécialistes de la Société de la faune et des parcs et du Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation. Consultez également le Guide des bonnes pratiques pour le contrôle de la déprédation animale en milieu agricole pour des informations complémentaires. Lire la suite

Mise à jour

23 juillet 2024
Une utilisation efficace de l’ensilage de maïs passe tout d’abord par le choix judicieux de l’hybride, puis de divers paramètres de culture, ensuite d’éléments de récolte et de conservation et, finalement, du niveau d’incorporation dans la ration. Texte d'une conférence présentée dans le cadre du 33e Symposium sur les Bovins laitiers "Cap sur la pérennité". Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 16, 23 juillet 2024

Nouveau

23 juillet 2024
POURRITURE À SCLÉROTES DANS LE SOYA : RISQUES EN AUGMENTATION DANS PLUSIEURS RÉGIONS, IMPORTANCE D’ÉVALUER LES RISQUES CHAMP PAR CHAMP T. Copley1, V. Samson 2, B. Duval2 et J. Breault2 1. Chercheuse (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) L’apparition des apothécies de la pourriture à sclérotes est favorisée par des conditions fraîches (moins de 25 °C) et un sol humide en surface (premiers 5 cm). Les conditions des derniers jours et des jours à venir augmentent le risque d’apparition des apothécies dans plusieurs régions, particulièrement dans les champs où les rangs sont fermés. Un champ pourrait donc être à risque si le soya est en floraison (stades R1 à R3). En plus des observations d’apothécies de la semaine dernière dans les régions de Chaudière-Appalaches, des Laurentides, de l’Estrie et de l’Outaouais, des apothécies ont aussi été observées dans un champ dans la région de Laval, à Sainte-Marthe en Montérégie-Ouest, à Saint-Bruno-de-Montarville et deux champs à Saint-Damase en Montérégie-Est. Les apothécies ont été observées dans des champs dont les rangs sont fermés depuis au moins deux semaines. Les risques d’apparition d’apothécies sont présentement élevés pour les régions de Chaudière-Appalaches, de l’Outaouais et des Laurentides. Pour la région de l’Estrie, les risques sont élevés dans le secteur de Lawrenceville, et modérés pour Windsor et Stratford. Les secteurs de Victoriaville au Centre-du-Québec, de Cap-Tourmente dans la Capitale-Nationale et de Frelighsburg en Montérégie-Est sont aussi à risque élevé pour l’apparition des apothécies. Les risques sont modérés pour les secteurs de Sainte-Geneviève-de-Batiscan et de La Croche en Mauricie, de Saint-Hilaire et de Saint-Bruno-de-Montarville en Montérégie-Est, et de Saint-Grégoire en Montérégie-Ouest. Ces risques sont présents pour la période allant jusqu’au 28 juillet. Les risques étant en augmentation dans plusieurs régions, évaluez la situation champ par champ pour le soya qui n’a pas encore atteint le stade Lire la suite

Nouveau

19 juillet 2024
Stratégie d'intervention recommandée au Québec contre le puceron du soya
Grandes cultures, Avertissement No 15, 19 juillet 2024

Nouveau

19 juillet 2024
Puceron du soya : intensifier le dépistage. Risque de pourriture à sclérotes en hausse dans certaines régions. VGOH : masses d'oeufs observées, c'est le temps de dépister; seuils et stratégies d'intervention. Cicadelle de la pomme de terre : luzerne et autres cultures à surveiller.   PUCERON DU SOYA : LE DÉPISTAGE DOIT S'INTENSIFIER DANS CERTAINS CHAMPS  S. Mathieu1, J. Saguez2, B. Duval1, S. Boquel2 et M.-E. Cuerrier1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Chercheur (CÉROM) Pour la semaine débutant le 15 juillet, des pucerons du soya ont été observés dans la majorité des champs dépistés dans le cadre du RAP Grandes cultures, mais à des niveaux variables (0 à 540 pucerons par plants, voir tableau 1). Pour consulter les données par site, cliquez ici. Quelques champs situés en Montérégie-Est, dans le Centre-du-Québec et dans Lanaudière ont atteint le seuil d’alerte de 250 pucerons par plant, ce qui signifie qu’il est nécessaire d’intensifier le dépistage en visitant les champs aux 3 à 7 jours pour suivre l’évolution des populations. Le dépistage consiste à compter le nombre moyen de pucerons par plant sur au moins 20 plants, en notant l’abondance des ennemis naturels.   Tableau 1 : Sommaire des populations de pucerons du soya pour 62 sites du réseau de surveillance pour la semaine du 15 juillet 2024 Présentement, le stade physiologique du soya varie du stade végétatif à R4. Cliquez ici pour accéder à un guide sur les stades du soya. À partir du début de la floraison (R1) et jusqu’au stade des premières graines (R5), le soya peut subir des pertes de rendement si les deux conditions suivantes sont rencontrées :    Le seuil d’alerte de 250 pucerons par plant est atteint; La population de pucerons est en augmentation.  Toutefois, l’atteinte du seuil d’alerte ne signifie pas qu’un traitement insecticide doit être appliqué immédiatement, mais plutôt qu’un dépistage plus soutenu est nécessaire (tous les 3 à 7 jours). Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 14, 17 juillet 2024

Nouveau

17 juillet 2024
POURRITURE À SCLÉROTES : RISQUES VARIABLES SELON LES RÉGIONS T. Copley1, M.-E. Cuerrier2, S. Mathieu2 et V. Samson2 1. Chercheuse (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) Selon les modèles prévisionnels, les températures élevées et les vents persistants, ainsi que la réduction de la quantité de pluie prévue pour les prochains jours, contribuent à un risque généralement faible pour l’apparition des apothécies et l’infection du soya par la pourriture à sclérotes, et ce, jusqu’au 21 juillet prochain. Toutefois, parmi plus de 60 sites suivis, des premières apothécies ont été observées les 9 et 10 juillet à Saint-Isidore dans la région de la Chaudière-Appalaches et le 12 juillet à Pontiac en Outaouais dans des champs de soya où la canopée était fermée. Des apothécies ont également été observées à Saint-Vallier dans la région de la Chaudière-Appalaches, à Sainte-Anne-de-la-Rochelle en Estrie et à Mirabel dans les Laurentides le 15 juillet. Les apothécies (voir photo), champignons produisant les spores infectieuses de la pourriture à sclérotes, nécessitent des conditions fraîches (< 25 °C) et humides pour germer. Selon les modèles prévisionnels, les températures maximales supérieures à 25 °C et une vitesse de vent supérieure à 10 km/h contribuent à assécher la surface du sol, particulièrement dans les champs dont les rangs ne sont pas encore fermés, réduisant les risques d’apparition des apothécies. Les risques d’apparition d’apothécies sont présentement élevés pour les secteurs suivants : Saint-Éphrem-de-Beauce, Beauceville et Saint-Prosper en Chaudière-Appalaches; Victoriaville au Centre-du-Québec; La Pêche et Saint-André-Avellin en Outaouais; Frelighsburg en Montérégie-Est; et secteur de Mont-Tremblant dans les Laurentides. Les secteurs Papineau-Labelle (Laurentides), East-Broughton (Chaudière-Appalaches) et Saint-Christophe-d’Arthabaska (Centre-du-Québec) sont à risque modéré. Les autres secteurs et régions sont à faible risque selon les modèles prévisionnels, et ce, Lire la suite

Mise à jour

16 juillet 2024
La chrysomèle du haricot dans le soya
12 juillet 2024
Le nématode à kyste du soya
Grandes cultures, Avertissement No 13, 12 juillet 2024
12 juillet 2024
Nématode à kyste du soya : période idéale pour les symptômes au champ. Puceron du soya : le dépistage doit s'intensifier par endroits, populations faibles. Risques variables pour la pourriture à sclérotes. Fusariose de l'épi (blé de printemps) : peu de risque, sauf dans les champs plus tardifs. VGOH : faibles captures de papillons, planification du dépistage des masses d'oeufs et des larves. Chrysomèles des racines du maïs : cols d'oie et dommages. Cécidomyie du chou-fleur : stades sensibles dépassés. Le dépistage et le désherbage de mauvaises herbes en prérécolte et postrécolte des céréales d'automne.     NÉMATODE À KYSTE DU SOYA : JUILLET ET AOÛT, PÉRIODE IDÉALE POUR OBSERVER DES SYMPTÔMES AU CHAMP M.-E. Cuerrier1, A. Dionne2, H. Brassard1, T. Copley3, B. Duval1 et V. Samson1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Phytopathologiste (LEDP-MAPAQ); 3. Chercheuse (CÉROM) Le nématode à kyste du soya (NKS) est reconnu comme étant l’un des plus importants parasites de la culture du soya à travers le monde. Sa présence a été confirmée au Québec en 2013. Depuis cette confirmation, selon les dépistages réalisés par le RAP Grandes cultures, le nombre de champs aux prises avec le NKS augmente, de même que le niveau des populations dans les champs infestés (tableau). On en retrouve désormais dans toutes les principales régions productrices de soya au Québec, et même dans les régions périphériques. Depuis quelques années, les niveaux de populations de NKS sont suffisamment élevés pour causer des symptômes visibles dans certains champs. Un tel cas, montrant des zones affectées au champ (jaunissement et diminution de la vigueur des plants), a d’ailleurs récemment été rapporté au Centre-du-Québec.   Comment détecter des champs aux prises avec le NKS? Le NKS est un ver microscopique invisible à l’œil nu. Il endommage le système racinaire et utilise l’eau et les nutriments disponibles au détriment de la culture. Bien que la plupart du temps aucun Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 12, 9 juillet 2024
09 juillet 2024
RISQUES GÉNÉRALEMENT FAIBLES POUR LA POURRITURE À SCLÉROTES  T. Copley1 et M.-É. Cuerrier2 1. Chercheuse (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) Selon les modèles prévisionnels, les températures élevées des dernières semaines réduisent le développement des apothécies et le risque d’infection du soya par la pourriture à sclérotes dans la majorité des régions, et ce, jusqu’au 13 juillet prochain. Dans plus de 60 champs de soya suivis dans le cadre du RAP Grandes cultures et des projets de recherche menés par l’équipe en phytopathologie du CÉROM, aucune apothécie n’a été observée jusqu’à maintenant. Les apothécies (voir photo), champignons produisant les spores infectieuses de la pourriture à sclérotes, nécessitent des conditions fraîches (< 25 °C) et humides pour germer. Les températures élevées actuelles créent des conditions défavorables au développement des apothécies, mis à part dans quelques secteurs. Les secteurs à risque selon les modèles prévisionnels (du 9 au 13 juillet) sont les suivants : Matawin (Lanaudière), le secteur de Papineau-Labelle et du Mont-Tremblant (Laurentides), La Pêche (Outaouais) et Saint-Éphrem-de-Beauce (Chaudière-Appalaches). Les secteurs de Beauceville (Chaudière-Appalaches) et de Victoriaville (Centre-du-Québec) sont maintenant à faible risque selon les modèles prévisionnels. Les autres secteurs et régions sont à faible risque selon les modèles prévisionnels, et ce, jusqu'au 13 juillet, en raison des températures chaudes prévues cette semaine. Chaque semaine et ce, jusqu’à la fin du stade critique du soya (fin R3 – premières gousses), le niveau de risque pour chaque région sera publié par le RAP Grandes cultures deux fois par semaine, soit les mardis et les vendredis. Pour de plus amples informations concernant la maladie, vous pouvez vous référer à la fiche technique La pourriture à sclérotes chez le soya et l'avertissement N° 11 du 5 juillet 2024. *L'information tirée des modèles prévisionnels ne prend pas en compte le stade de développement Lire la suite
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