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1352 documents disponibles
09 avril 2024
Conférence présentée dans le cadre du Webinaire sur les ravageurs du maïs sucré le 3 avril 2024. La présentation fait une rétrospective de la situation de la pyrale du maïs en tant que ravageur du maïs sucré. Mme Gagnon passe en revue les recherches récentes effectuées sur ce ravageur, en tentant notamment d’identifier
les raisons de son déclin. Enfin, elle aborde les perspectives concernant son avenir en tant que ravageur, en tenant particulièrement compte des changements climatiques. Une vidéo de la conférence sera disponible prochainement. Le Webinaire est une initiative de l'IRDA en collaboration avec le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), Agriculture et Agroalimentaire Canada et Groupe PleineTerre. Ce projet est financé par l’entremise du Programme Innovation bioalimentaire 2023-2028, Volet 5 - Soutien au transfert de connaissances et à la diffusion, en vertu du Partenariat canadien pour une agriculture durable, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec.
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02 avril 2024
Au cours des dernières années, les producteurs ont du avoir recours à l'utilisation de semences traitées avec des insecticides pour lutter notamment contre les ravageurs des semis dans les grandes cultures au Québec. Parmi les ravageurs des semis, les vers fil-de-fer (larve de taupins) peuvent attaquer les grains lors de
la germination, mais dans la majorité des parcelles dépistées au Québec depuis 2011, le nombre de vers fil-de-fer et les dégâts occasionnés ne justifient pas l'utilisation de semences traitées. Peu de choses sont publiées sur les vers fil-de-fer qui peuvent être confondus avec différentes larves et autres arthropodes également présents dans le sol. Enfin, ces organismes de petites tailles sont difficilement identifiables, car très peu d'outils d'identification visuelle sont disponibles actuellement pour caractériser ces importants ravageurs des semis. Dans ce contexte, il convenait donc de développer des méthodes de reconnaissance fiables qui permettront de considérablement mieux identifier et gérer les populations de vers fil-de-fer, en favorisant une approche raisonnée et intégrée, plus respectueuse de notre environnement et de notre santé. Notre objectif était donc de fournir des outils visuels conviviaux pour les agronomes, conseillers des clubs-conseil, dépisteurs et producteurs afin qu'ils puissent avoir une meilleure connaissance des neuf genres de vers fil-de-fer présents au Québec et qu'ils soient en mesure de reconnaître plus facilement ces espèces. Des fiches descriptives de chacun des neuf genres présents au Québec, ont donc été élaborées selon les connaissances disponibles et publiées au moment de leur conception, principalement sur la base de données canadiennes. Ces fiches ont été mises en pages et utilisées pour la réalisation d’un guide d’identification des vers fil-de-fer dans les grandes cultures au Québec. Ce document de 44 pages, disponible en version papier et numérique permet également d’offrir aux utilisateurs (chercheurs,
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19 mars 2024
Le ver-gris moissonneur (VGM), Euxoa messoria (Lepidoptera : Noctuidae) fait partie d’un complexe de vers-gris avec lesquels il est souvent confondu. Les larves de cet insecte sont parfois confondues avec la tipule des prairies puisqu’elles vivent essentiellement dans le sol. C’est une espèce univoltine (une génération
par an) qui survit à l’hiver au Québec. Les larves sont des ravageurs nocturnes et polyphages qui se nourrissent de racines, de jeunes plantules, de tiges à la base des plants et de feuillage. Au cours des dernières années, cet insecte a causé des dommages dans plusieurs régions de l’est du Québec (Capitale-Nationale, Chaudière-Appalaches et Bas-Saint-Laurent), notamment dans les cultures fourragères principalement les jeunes prairies composées de légumineuses (luzerne), nécessitant parfois de resemer les champs fortement affectés. On possède toutefois peu de connaissances sur le VGM dans les cultures fourragères au Québec. L’objectif du projet était d’acquérir et de transmettre des connaissances sur le ver-gris moissonneur (VGM). Malheureusement, en 2022 et 2023, le VGM et les dommages causés par l'insecte ont été trop faibles ou absents et le projet n'a pu être réalisé.
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14 mars 2024
Le Grand inventaire de mauvaises herbes du Québec arrive au Centre-du-Québec à partir de la saison 2024. Nous sommes à la recherche de 574 champs, toutes cultures confondues, autant en régie conventionnelle (incluant le semis direct) comme en biologique. Les participants pourront profiter du dépistage gratuit de jusqu'à
3 champs par entreprise. À terme, le Grand inventaire permettra de : obtenir une vision d’ensemble et actuelle de la distribution des mauvaises herbes au Québec; déterminer la fréquence et l’abondance des mauvaises herbes dans les principales cultures de chaque région agricole du Québec; évaluer les différents facteurs influençant la dynamique des mauvaises herbes et effectuer un constat de l’évolution des mauvaises herbes au cours de ces 40 dernières années. Si vous souhaitez participer au projet, vous pouvez vous inscrire en remplissant le formulaire disponible ici : https://tinyurl.com/grand-inventaire-2024 ou contacter l’équipe de malherbologie du CÉROM à l’adresse : inventaire@cerom.qc.ca ou par téléphone au 450 464 2715 poste 237.
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14 mars 2024
Ceci est la fiche synthèse du projet : " Développement, dans les systèmes de culture conventionnelle en grandes cultures, de diverses stratégies de lutte contre l’amarante tuberculée en vue de réduire l’usage des herbicides ". L’objectif général du projet était d’évaluer l’efficacité des différentes méthodes de lutte contre
l’AMATU. Les objectifs spécifiques du projet étaient de : 1.1) Évaluer l’efficacité des différentes méthodes de lutte intégrée contre l’AMATU. 1.2) Réaliser une analyse économique des coûts des méthodes de lutte intégrée, incluant l’arrachage manuel, contre l’AMATU. 2.0) Évaluer différentes méthodes sécuritaires et efficaces de disposition des plantes d’AMATU suite à un arrachage manuel. 3.0) Évaluer l’efficacité de deux moyens de lutte thermique (pyrodésherbage et vapeur d’eau) pour le contrôle de l’AMATU. Le projet a été une collaboration entre le CÉROM, le MAPAQ, l'IRDA, la CSC, en partenariat avec GMABE (volet désherbage à la vapeur d’eau) et il a été financé par le ministère de l’agriculture, des pêcheries et de l’alimentation dans le cadre du volet 3 du programme prime vert et est lié à la stratégie phytosanitaire québécoise en agriculture 2011-2021.
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08 mars 2024
Ce projet de recherche visait à optimiser les pratiques de binage tardif pour la suppression efficace des mauvaises herbes tout en maximisant le rendement des cultures semées à rangs étroits. Il s'est déroulé à la Plateforme d'innovation en agriculture biologique de l'IRDA à Saint-Bruno-de-Montarville en 2019, 2021 et 2022,
avec les cultures de haricot vert, de petit pois et de soya. Les objectifs de l'étude étaient : 1) l’évaluation des outils et vitesse appropriés pour le binage tardif; 2) la détermination des stades optimaux des cultures pour le binage tardif; 3) l'évaluation de l'effet de l'utilisation de voies d'accès et de l'espacement entre les rangs sur le rendement des cultures; 4) l'évaluation de l'impact de l'ajout d'un système de guidage avec caméra combiné à la bineuse sur la vitesse et la précision du binage. Les résultats de l’objectif 1 indiquent que l'utilisation des socs plats à 4 ou 6 km/h, ainsi que des socs à pattes d'oie à 6 km/h, semble être la stratégie de désherbage la plus efficace pour le binage tardif dans les cultures à rangs étroits étudiées. Pour les stades optimaux de croissance, le petit pois pouvait être désherbé jusqu’au stade de 5-6 entrenoeuds, le soya jusqu’au stade de trois feuilles trifoliées et le haricot vert jusqu’au stade de deux feuilles trifoliées, sans dommages. Pour l’objectif 3, l’ajout de voies d’accès n’a pas eu d’effet sur les rendements dans le petit pois, cependant, les parcelles avec voies d'accès semblaient favoriser une plus grande présence de mauvaises herbes. Pour le haricot vert, un espacement plus étroit (19 cm) a entraîné un rendement supérieur par rapport à un espacement plus large (76 cm), malgré que les espacements plus large (38 et 76 cm) facilitaient le contrôle des mauvaises herbes. Pour le soya, les rendements étaient généralement plus élevés avec un espacement de rang plus étroit (19 cm) sans binage tardif, tandis que le binage tardif avait tendance à réduire les rendements. Mais contrairement au haricot,
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