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546 documents disponibles
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18 mars 2025
Le Grand inventaire de mauvaises herbes du Québec se poursuit au Centre-du-Québec pendant la saison 2025. Nous sommes à la recherche de 574 champs, toutes cultures confondues, autant en régie conventionnelle (incluant le semis direct) comme en biologique. Les participants pourront profiter du dépistage gratuit de jusqu'à
3 champs par entreprise. À terme, le Grand inventaire permettra de : obtenir une vision d’ensemble et actuelle de la distribution des mauvaises herbes au Québec; déterminer la fréquence et l’abondance des mauvaises herbes dans les principales cultures de chaque région agricole du Québec; évaluer les différents facteurs influençant la dynamique des mauvaises herbes et effectuer un constat de l’évolution des mauvaises herbes au cours de ces 40 dernières années. Si vous souhaitez participer au projet, vous pouvez vous inscrire en remplissant le formulaire disponible ici : https://tinyurl.com/grand-inventaire-2025 ou contacter l’équipe de malherbologie du CÉROM à l’adresse : inventaire@cerom.qc.ca ou par téléphone au 450 464 2715 poste 237.
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16 mars 2025
La maladie du blanc peut être causée par plus de 850 espèces de champignons ascomycètes appartenant à l’ordre des Erysiphales. Cette maladie regroupe des phytopathogènes reconnaissables par leur mycélium d’apparence poudreuse que l’on retrouve le plus souvent à la surface des feuilles de leurs plantes hôtes. Ils peuvent
affecter toutes les plantes à l’exception des gymnospermes, comme les pins, les sapins ou les genévriers. Ils figurent parmi les champignons phytopathogènes les plus communs dans le monde et ont été répertoriés dans divers climats : tempéré, aride, tropical et même subarctique. Encore aujourd’hui, de nouvelles espèces sont identifiées dans plusieurs régions du monde, dont l’Amérique du Nord. Livrable d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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16 mars 2025
L’altise à tête rouge (ATR) est un coléoptère originaire d’Amérique du Nord de couleur noir métallique avec une tache rouge noirâtre sur la tête. Ce ravageur engendre d’importants dommages dans les pépinières ornementales en s’attaquant à plus de 50 plantes hôtes faisant partie de différentes familles végétales. Cette espèce
d’altise peut causer des pertes de valeur esthétique significatives lors de fortes infestations, mais ne provoque pas à elle seule la mort des végétaux. Contenu dans cette fiche : Quels sont les hôtes de l’altise à tête rouge ? Quelle est l’importance des dommages observés ? Quels sont les symptômes et éléments de diagnostic ? Insectes ravageurs à ne pas confondre avec l’altise à tête rouge, cycle de vie de l’altise à tête rouge dans les contenants de pépinières ornementales, Stratégies d’intervention.
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16 mars 2025
Cette fiche présente les chenilles qu'on peut rencontrer sur les végétaux en pépinière. Vous y retrouverez les éléments suivants : Biologie, les larves à ne pas confondre avec les chenilles, les chenilles par catégorie de dommage, cycle des lépidoptères, lutte alternative/préventive, lutte biologique, lutte chimique. Livrable d'un
projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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16 mars 2025
La lécanie de Fletcher est une cochenille à carapace molle indigène d’Amérique du Nord. En pépinière ornementale, on la retrouve dans certaines productions de conifères, notamment les thuyas, où elle cause parfois des dommages esthétiques importants. Elle peut s’installer progressivement au fil des années, au point de devenir
problématique. Cette fiche présente les hôtes principaux de la lécanie, l'importance des dommages, les symptômes et diagnostic, son cycle de vie et les stratégies d'intervention contre ce ravageur. Livrable d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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16 mars 2025
La qualité esthétique d’une plante est évaluée selon des critères comme la dimension, la forme, la couleur, le nombre et la dimension des fleurs ou fruits ornementaux, la densité du feuillage, la symétrie des branches, la fragrance, etc. L’importance de ces critères esthétiques des végétaux variera selon l’utilisation.
Ainsi, les dommages et la présence d’insectes ravageurs ou de maladies peuvent avoir un impact négatif sur cette qualité esthétique. Des techniques de productions adaptées et l’usage de produits phytosanitaires peuvent être utilisés pour préserver une qualité optimale des végétaux. Cette fiche présente les indicateurs et évaluation de la qualité, la notion de surqualité des plants, les 5 étapes de mise en oeuvre de la gestion intégrée, l'importance du niveau de tolérance des ravageurs, etc. Livrable d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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16 mars 2025
Au Québec, il y a trois punaises identifiées qui peuvent faire des dommages dans les thuyas. La plus connue est la punaise terne qui s’attaque à plus de 400 autres espèces de végétaux, dont plusieurs ont une valeur économique importante. Deux autres espèces ont été identifiées pour la première fois au Québec en 2019. Comme
il s’agit possiblement de nouvelles espèces, il n’existe donc que très peu d’informations connues et disponibles à leur sujet, et pas encore de noms français reconnus pour celles-ci. La punaise terne est un insecte piqueur-suceur de la famille des Miridae indigène de l’Amérique du Nord. Ce ravageur est répandu et très polyphage s’attaquant à plus de 50 espèces de plantes cultivées, notamment des cultures maraichères et ornementales. La punaise terne peut engendrer des dommages dans la culture de Thuja spp. (thuya) et constitue un enjeu majeur lors de fortes infestations. Voici le contenu de cette fiche technique : descrition des punaises qui s'attaquent au thuya, Quels sont les hôtes du ravageur ? Quelle est l’importance des dommages observés ? Quels sont les symptômes et éléments de diagnostic? Insectes ravageurs à ne pas confondre avec les punaises, Cycle de vie de la punaise terne, Stratégies d’intervention. Cette fiche est un livrable d'un projet financé dans le cadre du Plan d'agriculture durable.
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13 mars 2025
Pour son entourage, une pépinière est une entreprise qui offre de multiples retombées positives. Elle participe à la vitalité économique de sa région. Elle fournit du travail à plusieurs travailleurs québécois et étrangers. Elle participe au reboisement de notre territoire, au verdissement et à l’embellissement de nos villes
et nos maisons. Ces entreprises gèrent leurs opérations, leurs finances, leurs ressources humaines, leurs ventes, etc., dans un objectif de rentabilité et de pérennité. Ce qu’on oublie parfois, c’est qu’elles sont aussi des écosystèmes abritant une diversité d’espèces, dont certaines à statut précaire. Qu'est-ce qu'un écosystème ? Qui sont nos alliés ? Comment favoriser les auxiliaires ? Article paru dans le numéro spéciale du magazine Québec Vert mars/avril 2024 et sur le Blogue de l'IQDHO qui a été rédigé pour un projet financé par le programme Prime-Vert dans le cadre du Plan d'agriculture durable (2020-2030).
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12 mars 2025
En horticulture ornementale, la production de thuyas est appréciée notamment pour leur esthétique et leur rusticité, toutefois, elle nécessite des quantités élevées d’engrais azoté (environ 150 kg d’azote par hectare). Afin d’assurer une croissance optimale en production, il est d’autant plus important d’améliorer la fertilisation
tout en minimisant les pertes de nutriments dans l'environnement. L’équipe de recherche de l’IQDHO s’est intéressée davantage à cet enjeu avec son projet de « Évaluation de la fertigation dans la culture de thuyas en champ – IA221719 ». Cette étude récente, réalisée sur deux ans, a démontré que l'efficacité de la fertilisation, qu'elle soit granulaire, par fertigation ou hybride, dépend fortement des conditions de pluviométrie. En période de sécheresse et de faible humidité, la fertigation offre un avantage, car elle favorise la percolation de nitrate jusqu'à la rhizosphère des thuyas. En revanche, dans des conditions de sol humide, la fertilisation granulaire se révèle plus performante, grâce à une diffusion progressive et une solubilisation plus lente. Article paru dans le journal Gestion et techologie agricoles (GTA) : jeudi 6 mars 2025 et sur le Blogue de l'IQDHO
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