Bilan de production établi à partir du Programme d’analyse des troupeaux de boucherie du Québec sur la période de 1996 à 2013. Ce rapport comporte trois sections. La première section présente des analyses et des résultats pour les cinq principales races rencontrées au Québec avec leurs croisements dominants pour des caractères de reproduction, de naissance,  de croissance et d’abattage. La deuxième section compare les données de reproduction, de naissance, de croissance et de vente incluant les taux de mortalité en présevrage selon les saisons de vêlage pour les profils race pure et des sujets croisés. La troisième section est une simulation des retombées économiques en lien avec les niveaux de performances techniques des entreprises participantes au programme pour trois caractères mesurés d’importance pour ce secteur. Lire la suite

En saituation de sécheresse, quoi faire cet automne pour augmenter ses réserves en fourrages ? Consultez l'ensemble des documents du Dossier sécheresse 2018

Diverses stratégies de gestion des troupeaux de bovins de boucherie en situation de pénurie de foin Consultez l'ensemble des documents du Dossier sécheresse 2018

Une haie brise-vent bien aménagée permettra de protéger adéquatement les bâtiments agricoles et l’aire de travail (cour de ferme) contre les effets du froid accentué par le vent et contre les amoncellements de neige indésirables

Rapport de visite de deux entreprises bovines sur la Côte-de-Beaupré et dans Charlevoix En matinée, à Saint-Joachim, M. Gilles Rivard, propriétaire de la Ferme Blondel, nous recevra pour la visite de l’abattoir de proximité Amexco inc.La Ferme Blondel élève des sujets de race pure Hereford. En après-midi, à Saint-Hilarion, Mélissa et Steve Tremblay nous recevront à leur entreprise pour nous montrer les installations d’entreposage de foin en vrac. Il y aura une démonstration des équipements pour la manipulation du foin, ainsi que la visite du plus gros troupeau de vaches de race Canadienne au pays. Lire la suite

En début d'année, on doit planifier nos dossiers de cultures en référence aux besoins fourrager. Le choix d'hybrides et les traitements à la récolte qui améliorent la digistibilité et la consommation volontaire sont des avenues à considérer.

Les déjections animales des ruminants sont des engrais riches en matière organique (débris microbiens non digérés) et en matière minérale (azote, phosphore P2O, et potassium K20). Cette retombée animale n'est pas négligeable. Pour des entreprises moyennes engagées en production laitière et bovine, près de la moitié de la fertilisation azotée peut être comblée avec la forme organique. Lire la suite

Présentation visuelle de la conférence prononcée dans le cadre du Rendez-vous agroalimentaire de l'Outaouais 2013 tenu le 31 janvier 2013 à Gatineau. (PDF, 516 ko)