
Chargement en cours
- Toutes les organisations
- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
- Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ)
- Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
- Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ)
- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Caïn Lamarre S.E.N.C.R.L./Avocats
- Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)
- Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole inc.
- Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
- Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA)
- Centre d'expertise en production ovine du Québec (CEPOQ)
- Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
- Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA)
- Fédération des producteurs d'œufs du Québec (FPOQ)
- Financement agricole Canada (FAC )
- Fondaction
- Fonds d'investissement pour la relève agricole (FIRA)
- Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA)
- Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ)
- Institut de valorisation des données (IVADO)
- Institut nationale d'agriculture biologique (INAB)
- La Financière agricole du Québec (FADQ)
- Lactanet
- Le Bulletin des agriculteurs
- Les Apiculteurs et Apicultrices du Québec (AADQ)
- Les Éleveurs de porcs du Québec (EPQ)
- Les éleveurs de volailles du Québec
- Les Producteurs de grains du Québec (PGQ)
- Les Producteurs de lait du Québec (PLQ)
- Les producteurs de pommes du Québec (PPQ)
- L'Union des producteurs agricoles (UPA)
- Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
- Mouvement Desjardins
- Ordre des agronomes du Québec (OAQ)
- Sollio Groupe Coopératif
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
366 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Fiers de diffuser leur expertise


Nouveau
26 mai 2023
Dommages de tipule des prairies en Estrie et Chaudière-Appalaches. Mise à jour des dates du pic d'activité de la mouche des semis. Ver-gris noir: surveillance des champs à risque. Conditions favorables à la dérive d'herbicides. TIPULE DES PRAIRIES : DOMMAGES RAPPORTÉS EN ESTRIE ET EN CHAUDIÈRE-APPALACHES
S. Boquel1, G. Régimbald2, V. Samson2 1. Chercheur (CÉROM); 2. Agronomes (MAPAQ) Des dommages causés par la tipule des prairies sont été rapportés en Estrie et en Chaudière-Appalaches. Les cultures affectées sont une prairie de graminées, du maïs ensilage, du seigle d’automne, du blé grainé et du maïs sucré. De plus, parmi les 20 sites suivis dans le cadre du RAP Grandes cultures, des taux élevés de captures sont également observés dans des prairies à Saint-Malo en Estrie (134 larves/m2) et à Beauceville en Chaudière-Appalaches (178 larves/m2). La vigilance est donc de mise dans ces régions. Selon les seuils d’intervention utilisés en Europe et transposables au Québec, des populations printanières de plus de 25 à 50 larves/m2 dans les céréales et de plus de 100 larves/m2 dans les fourrages sont susceptibles de causer des pertes de rendement. Les larves sont reconnaissables à leur corps gris-brun dépourvu de pattes. Elles peuvent toutefois être confondues avec des larves de vers gris. Cette fiche technique présente les critères distinctifs des deux types de ravageurs. Le comportement des deux espèces est différent lorsqu’on les dérange; la tipule se tortille alors que le ver-gris s’enroule sur lui-même. Les champs infestés par la tipule des prairies présentent de larges zones jaunies ou dénudées. Des plants plus petits et grignotés pourraient également être observés. Afin de répertorier la présence de la tipule des prairies et des dommages aux grandes cultures dans toutes les régions du Québec, le RAP Grandes cultures invite toutes les entreprises agricoles et leurs conseillers à signaler la présence de l’insecte ou de dommages
Lire la suite
19 mai 2023
Ces fiches ont été conçues comme aide-mémoire afin d’en faciliter l’utilisation. Une formation plus approfondie en biosécurité permet de mieux comprendre quand, comment et pourquoi utiliser les recommandations qu’elles contiennent. Les fiches ne sont pas seulement limitées aux organismes nuisibles aux productions végétales.
En effet, un intervenant peut avoir à visiter différentes productions végétales et/ou animales dans la même journée ou dans la même semaine. De plus, bien que vous visitiez une production végétale, il est possible que, durant la visite, vous soyez en contact avec d’autres productions que celle visitée ou d’autres agents pathogènes, par exemple dans les cas suivants : présence de fientes d’oiseaux migrateurs : danger de grippe aviaire; rencontre du producteur dans une étable : danger d’agents pathogènes transmissibles aux humains ou aux animaux; chemin de ferme qui traverse une autre production : risque de contamination d’autres productions, etc.
Lire la suite

19 mai 2023
Faibles captures de légionnaires uniponctuées. Ver-gris noir : captures en augmentation dans la plupart des régions, situation habituelle en ce temps de l'année. Pics d'activité 2023 des adultes de la mouche des semis. Gels printaniers : faut-il s'inquiéter? FAIBLES CAPTURES DE LÉGIONNAIRES UNIPONCTUÉES S. Mathieu1, B.
Duval1, Y. Faucher1, J. Breault1, J. Saguez2 1. Agronomes (MAPAQ); 2. Chercheur (CÉROM) Jusqu’à maintenant, les captures de papillons de légionnaire uniponctuée (LU) sont très faibles, voir nulles pour la majorité des régions. Toutefois, au cours de la semaine du 1er mai, une cinquantaine de spécimens ont été capturés dans un piège Héliothis à La Présentation, en Montérégie-Est. La vigilance sera de mise dans ce secteur de la Montérégie, notamment dans les champs où l’on retrouve des graminées comme les céréales, le maïs, le seigle d’automne en culture intercalaire, les prairies, etc. En se fiant sur les données historiques de captures, les populations de papillons devraient progressivement augmenter dans les prochaines semaines. Il est toutefois important de noter que les épidémies de légionnaires uniponctuées sont très rares depuis plusieurs années et que les ennemis naturels exercent un très bon contrôle des larves de cet insecte. Les interventions phytosanitaires sont rarement nécessaires. Pour plus d’information, consultez le bulletin d’information La légionnaire uniponctuée : identification, dépistage et stratégie d’intervention. Papillon de légionnaire uniponctuée Source : LEDP (MAPAQ) VER-GRIS NOIR : CAPTURES EN AUGMENTATION DANS LA PLUPART DES RÉGIONS, SITUATION HABITUELLE EN CE TEMPS DE L’ANNÉE Y. Faucher1, J. Saguez2, S. Mathieu1, B. Duval1, V. Samson1 1. Agronomes (MAPAQ); 2. Chercheur (CÉROM) Au cours de la dernière semaine, les captures de papillons ont augmenté (données disponibles ici) dans la plupart des régions au Québec. La date d’arrivée des papillons se compare à celle de l’an passé et aucune observation
Lire la suite

12 mai 2023
LES SEMIS DE MAÏS, PÉRIODE IDÉALE POUR DÉPISTER LES VERS FIL-DE-FER Groupe de travail du RAP Grandes cultures sur les ravageurs du semis Le dépistage des vers fil-de-fer (VFF), qui sont considérés comme les principaux ravageurs des semis, doit être effectué pour évaluer les populations présentes dans le champ, identifier
les espèces et déterminer si un traitement de semence insecticide est nécessaire pour les prochaines saisons de culture. Le printemps est la meilleure période pour dépister ces ravageurs à l’aide de pièges-appâts installés dans le sol. Le dépistage doit être effectué au moment des semis, lorsque les VFF sont actifs. La température du sol à une profondeur de 10 à 15 cm (4 à 6 pouces) doit se situer entre 8 et 26 °C depuis au moins une semaine. Les captures les plus abondantes ont souvent lieu lorsque la température du sol est d’environ 12 à 15 °C. Comment faire ce dépistage? Le protocole à suivre est disponible en cliquant ici. De plus, une formation a été offerte au printemps 2021 et vous pouvez visionner l’enregistrement de la formation, de même que les présentations, en cliquant ici. Pour plus d’information Ravageurs des semis : dépistage et seuils économiques d'intervention Grille de référence et ligne directrice concernant la recommandation sur l’utilisation des traitements de semences insecticides dans le maïs et le soya de l’Ordre des agronomes du Québec VFF Qc Vers fil-de-fer dans un piège-appât B. Duval, agr. (MAPAQ) DÉPISTAGE, DÉTECTION DE LA RÉSISTANCE ET CONTRÔLE EN DÉBUT DE SAISON DE LA VERGERETTE DU CANADA RÉSISTANTE AU GLYPHOSATE S. Mathieu1, B. Duval1, V. Samson1, A. Picard1, A. Marcoux1 1. Agronomes (MAPAQ) Le début du mois de mai est un bon moment pour dépister la vergerette du Canada (VC) dans les champs en semis direct ou dans les zones non perturbées afin de vérifier qu’elle ne présente pas de résistance au glyphosate. En 2022, le sous-réseau Grandes cultures du RAP et la vigilance du milieu
Lire la suite

20 avril 2023
Sept astuces préventives pour protéger la santé de vos cultures Planifier les rotations, désherber en début de saison, semer au bon moment et à la bonne profondeur, éviter le développement de résistance aux pesticides, s’informer sur les facteurs de risques des maladies, dépister les insectes et s’abonner
aux communiqués du RAP Grandes cultures sont toutes des actions qui peuvent être mises en œuvre en début de saison pour prévenir et mieux contrôler les ennemis des grandes cultures tout en favorisant la rentabilité des entreprises agricoles. 1. Planifiez vos rotations En plus des bénéfices économiques découlant de l’amélioration de la qualité des sols, une succession d’au moins trois cultures différentes dans un champ donné réduit la pression de certains insectes, mauvaises herbes et maladies. Un sol bien structuré et riche en matière organique rend les racines moins sujettes aux maladies. Autre exemple, la rotation des cultures est très efficace pour contrôler la chrysomèle des racines du maïs. Le printemps est un bon moment pour planifier l'ensemencement d'une céréale d'automne après la culture du soya, de prairies, ou pour planifier l’implantation de cultures de couverture en fin de saison. 2. Pensez à désherber en début de saison Malgré quelques percées de chaleur, les températures fraîches de début de printemps limitent le développement de mauvaises herbes dans la plupart des champs. Pour certains champs, il est toutefois nécessaire de prévoir une stratégie de désherbage puisque les cultures tirent avantage à être exemptes de mauvaises herbes au moment de la levée. Des périodes critiques durant lesquelles les cultures doivent être préservées de cette compétition pour l’eau, la lumière et les éléments fertilisants ont été établies. Par exemple, la période critique pour le maïs s'étend du stade 2 feuilles au stade 8 feuilles. Les mauvaises herbes qui apparaîtront au-delà de ces périodes auront
Lire la suite

14 avril 2023
SURVIE À L'HIVER DES CÉRÉALES D'AUTOMNE : L’ÉTAT ACTUEL Y. Dion1, M. McElroy2, et S. Mathieu, V. Samson et H. Brassard1 1. Agronomes (MAPAQ) 2. Chercheur (CÉROM) Les conditions agroclimatiques et environnementales observées dès l’automne passé, celles de l’hiver dernier et celles qui prévalent actuellement
ce printemps dans la grande région montréalaise, le sud-ouest du Québec et les régions adjacentes, laissent présager une survie des céréales d'automne à l’hiver de bonne à très bonne, voire exceptionnelle. En Montérégie, on observe que le feuillage est demeuré vert. Cette situation s’explique par la faible profondeur de gel du sol à l’hiver, par de bonnes couvertures de neige isolant les plantes des forts froids, ainsi que par la fonte des neiges et un dégel rapides causés par des conditions favorables. Les céréales d’automne entament un processus d’endurcissement au froid à partir de l’exposition à de basses températures en automne. La tolérance des plants atteint son maximum à la suite d’une longue séquence de basses températures (figure 1). Au cours de l’hiver et du printemps, le niveau de cette tolérance au froid s’affaiblit selon les températures auxquelles sont soumises les céréales. Plus le réchauffement est important et prolongé, plus le niveau de tolérance au froid est réduit. Figure 1 : Endurcissement au froid (température minimale de survie) du blé d’automne de septembre à mai Source : Struthers et Greer, 2001, dans le Guide de production : céréales d’automne, CRAAQ, 2018 Les données agrométéorologiques de plusieurs stations météorologiques ont été observées et, dans l’ensemble, les températures du sol se sont maintenues entre 0 et -10 °C et pour de longues séquences à des températures égales ou supérieures à -5 °C. De plus, une seule période de froid extrême a été observée en début février et sur une très courte période. Les conditions du printemps sont cruciales : les fluctuations de températures
Lire la suite
08 février 2023
Depuis quelques années, les producteurs agricoles manifestent un intérêt grandissant par rapport à l’utilisation de drones en agriculture. Offrant l’avantage de capturer des images aériennes à basse altitude, l'utilisation de drone permet de diagnostiquer et de délimiter rapidement les zones problématiques (carences,
maladies, écoulement de l’eau, etc.). Les correctifs nécessaires apportés uniquement à ces zones diminuent considérablement les impacts environnementaux et économiques liés à l’utilisation des intrants.
Lire la suite
1 à 10 sur 366