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1378 documents disponibles
Mise à jour
24 juillet 2024
Ce projet vise à mieux comprendre la répartition de la consommation de carburants et de combustibles sur les fermes québécoises, pour les différents types d’usage (opérations culturales, chauffage, etc.), de façon à appuyer la priorisation des efforts de réduction de la consommation de ces sources d’énergie. Dans le cadre
de ce projet, un modèle a également été développé afin de calculer pour chacun de ces usages, la consommation de carburants et de combustibles. L'outil informatique servant à déterminer la consommation de carburants ou de combustibles selon la production est disponible. Cliquez ici.
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Mise à jour
23 juillet 2024
Voici un guide pratique de solutions envisageables par les propriétaires pour contrer les effets de la déprédation causés par les cerfs de virginie. Une population trop élevée de cerfs entraîne une augmentation des dommages aux activités agricoles et forestières de la région (culture de pommes, de vigne, de framboises,
de fraises, de luzerne, de maïs, de trèfle, d’arbres de Noël, de feuillus, etc.). De tels problèmes de broutage excessif s’étendent même jusqu’à l’horticulture ornementale. La densité élevée de cerfs entraîne également une hausse des accidents routiers impliquant des collisions avec ces animaux. Ce document technique vous permettra de mieux connaître les outils disponibles (répulsifs, clôtures, protection individuelle, chiens, chasse, etc.) afin de diminuer les dommages causés par le cerf de Virginie en agriculture. Ce guide a été réalisé par un comité de spécialistes de la Société de la faune et des parcs et du Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation. Consultez également le Guide des bonnes pratiques pour le contrôle de la déprédation animale en milieu agricole pour des informations complémentaires.
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Mise à jour
23 juillet 2024
Une utilisation efficace de l’ensilage de maïs passe tout d’abord par le choix judicieux de l’hybride, puis de divers paramètres de culture, ensuite d’éléments de récolte et de conservation et, finalement, du niveau d’incorporation dans la ration. Texte d'une conférence présentée dans le cadre du 33e Symposium sur les Bovins
laitiers "Cap sur la pérennité".
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![Grandes cultures, Avertissement No 16, 23 juillet 2024](/documents/Vignette_113635.jpg)
Nouveau
23 juillet 2024
POURRITURE À SCLÉROTES DANS LE SOYA : RISQUES EN AUGMENTATION DANS PLUSIEURS RÉGIONS, IMPORTANCE D’ÉVALUER LES RISQUES CHAMP PAR CHAMP T. Copley1, V. Samson 2, B. Duval2 et J. Breault2 1. Chercheuse (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) L’apparition des apothécies de la pourriture à sclérotes est favorisée par des conditions
fraîches (moins de 25 °C) et un sol humide en surface (premiers 5 cm). Les conditions des derniers jours et des jours à venir augmentent le risque d’apparition des apothécies dans plusieurs régions, particulièrement dans les champs où les rangs sont fermés. Un champ pourrait donc être à risque si le soya est en floraison (stades R1 à R3). En plus des observations d’apothécies de la semaine dernière dans les régions de Chaudière-Appalaches, des Laurentides, de l’Estrie et de l’Outaouais, des apothécies ont aussi été observées dans un champ dans la région de Laval, à Sainte-Marthe en Montérégie-Ouest, à Saint-Bruno-de-Montarville et deux champs à Saint-Damase en Montérégie-Est. Les apothécies ont été observées dans des champs dont les rangs sont fermés depuis au moins deux semaines. Les risques d’apparition d’apothécies sont présentement élevés pour les régions de Chaudière-Appalaches, de l’Outaouais et des Laurentides. Pour la région de l’Estrie, les risques sont élevés dans le secteur de Lawrenceville, et modérés pour Windsor et Stratford. Les secteurs de Victoriaville au Centre-du-Québec, de Cap-Tourmente dans la Capitale-Nationale et de Frelighsburg en Montérégie-Est sont aussi à risque élevé pour l’apparition des apothécies. Les risques sont modérés pour les secteurs de Sainte-Geneviève-de-Batiscan et de La Croche en Mauricie, de Saint-Hilaire et de Saint-Bruno-de-Montarville en Montérégie-Est, et de Saint-Grégoire en Montérégie-Ouest. Ces risques sont présents pour la période allant jusqu’au 28 juillet. Les risques étant en augmentation dans plusieurs régions, évaluez la situation champ par champ pour le soya qui n’a pas encore atteint le stade
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![Grandes cultures, Avertissement No 15, 19 juillet 2024](/documents/Vignette_113618.jpg)
Nouveau
19 juillet 2024
Puceron du soya : intensifier le dépistage. Risque de pourriture à sclérotes en hausse dans certaines régions. VGOH : masses d'oeufs observées, c'est le temps de dépister; seuils et stratégies d'intervention. Cicadelle de la pomme de terre : luzerne et autres cultures à surveiller. PUCERON DU SOYA : LE DÉPISTAGE
DOIT S'INTENSIFIER DANS CERTAINS CHAMPS S. Mathieu1, J. Saguez2, B. Duval1, S. Boquel2 et M.-E. Cuerrier1 1. Agronome (MAPAQ); 2. Chercheur (CÉROM) Pour la semaine débutant le 15 juillet, des pucerons du soya ont été observés dans la majorité des champs dépistés dans le cadre du RAP Grandes cultures, mais à des niveaux variables (0 à 540 pucerons par plants, voir tableau 1). Pour consulter les données par site, cliquez ici. Quelques champs situés en Montérégie-Est, dans le Centre-du-Québec et dans Lanaudière ont atteint le seuil d’alerte de 250 pucerons par plant, ce qui signifie qu’il est nécessaire d’intensifier le dépistage en visitant les champs aux 3 à 7 jours pour suivre l’évolution des populations. Le dépistage consiste à compter le nombre moyen de pucerons par plant sur au moins 20 plants, en notant l’abondance des ennemis naturels. Tableau 1 : Sommaire des populations de pucerons du soya pour 62 sites du réseau de surveillance pour la semaine du 15 juillet 2024 Présentement, le stade physiologique du soya varie du stade végétatif à R4. Cliquez ici pour accéder à un guide sur les stades du soya. À partir du début de la floraison (R1) et jusqu’au stade des premières graines (R5), le soya peut subir des pertes de rendement si les deux conditions suivantes sont rencontrées : Le seuil d’alerte de 250 pucerons par plant est atteint; La population de pucerons est en augmentation. Toutefois, l’atteinte du seuil d’alerte ne signifie pas qu’un traitement insecticide doit être appliqué immédiatement, mais plutôt qu’un dépistage plus soutenu est nécessaire (tous les 3 à 7 jours).
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![Grandes cultures, Avertissement No 14, 17 juillet 2024](/documents/Vignette_113602.jpg)
Nouveau
17 juillet 2024
POURRITURE À SCLÉROTES : RISQUES VARIABLES SELON LES RÉGIONS T. Copley1, M.-E. Cuerrier2, S. Mathieu2 et V. Samson2 1. Chercheuse (CÉROM); 2. Agronome (MAPAQ) Selon les modèles prévisionnels, les températures élevées et les vents persistants, ainsi que la réduction de la quantité de pluie prévue pour les prochains
jours, contribuent à un risque généralement faible pour l’apparition des apothécies et l’infection du soya par la pourriture à sclérotes, et ce, jusqu’au 21 juillet prochain. Toutefois, parmi plus de 60 sites suivis, des premières apothécies ont été observées les 9 et 10 juillet à Saint-Isidore dans la région de la Chaudière-Appalaches et le 12 juillet à Pontiac en Outaouais dans des champs de soya où la canopée était fermée. Des apothécies ont également été observées à Saint-Vallier dans la région de la Chaudière-Appalaches, à Sainte-Anne-de-la-Rochelle en Estrie et à Mirabel dans les Laurentides le 15 juillet. Les apothécies (voir photo), champignons produisant les spores infectieuses de la pourriture à sclérotes, nécessitent des conditions fraîches (< 25 °C) et humides pour germer. Selon les modèles prévisionnels, les températures maximales supérieures à 25 °C et une vitesse de vent supérieure à 10 km/h contribuent à assécher la surface du sol, particulièrement dans les champs dont les rangs ne sont pas encore fermés, réduisant les risques d’apparition des apothécies. Les risques d’apparition d’apothécies sont présentement élevés pour les secteurs suivants : Saint-Éphrem-de-Beauce, Beauceville et Saint-Prosper en Chaudière-Appalaches; Victoriaville au Centre-du-Québec; La Pêche et Saint-André-Avellin en Outaouais; Frelighsburg en Montérégie-Est; et secteur de Mont-Tremblant dans les Laurentides. Les secteurs Papineau-Labelle (Laurentides), East-Broughton (Chaudière-Appalaches) et Saint-Christophe-d’Arthabaska (Centre-du-Québec) sont à risque modéré. Les autres secteurs et régions sont à faible risque selon les modèles prévisionnels, et ce,
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